Une de mes soeurs a eu la très désagréable surprise de voir son compteur d’eau changé en secret par un compteur à ondes. Une lettre l’a informée juste après le remplacement, elle n’a donc pas pu s’y opposer.
Je l’ai vue quelques jours après et elle semblait complètement épuisée, sur les nerfs, avec un comportement totalement inhabituel, irréfléchi, absurde, du non-sens complet. Normalement c’est plutôt la personne la plus sensée et stable, fiable de toute la famille.
… donc j’ai immédiatement fait le rapprochement (peut être à tort) avec les pulsations d’ondes toutes les 10 secondes, irradiant depuis toutes les canalisations de son logement. Multiplié par les 4 compteurs de la collectivité, ça fait 6 par minute, fois 4 logements, fois 60 par heure, 24 fois par jour, soit 34 560 vagues d’ondes d’un coup chaque jour, toutes les 10 secondes, alors qu’elle à les mêmes gênes que moi qui suis électro-sensible.
Et elle n’a même pas pu s’opposer à l’installation des appareils dans son immeuble.
Vous avez déjà vu les photos du résultat d’une expérience de germination de graines de cresson exposées au wifi et sans wifi ?
Elles sont très très très impressionnantes, mais je n’ai pas une confiance absolue dans ce qu’on trouve sur internet. J’ai une excellente raison : je suis passionné d’énergies libres et avec des années de recul, des milliers et des milliers et des milliers de documents vus, j’arrive à la conclusion que 99,5% des vidéos, résultats, expériences sont truqués. Presque tout est falsifié.
Il n’existe que quelques machines réellement capables de canaliser une des énergies ambiantes pour la rendre utilisable.
Donc j’ai voulu faire une expérience (qui n’a pas encore eu lieu, bientôt) directement sur son nouveau compteur d’eau.
Des graines dans une cage de faraday en grillage très fin et à côté les mêmes graines simplement posées à côté, le tout près du compteur.
Les mêmes graines, le même terreau, des pots de même taille, mêmes matières, la même eau… et là j’ai eu un déclic. … à cause des soi-disant idées « complotistes » qui font flipper le gouvernement.
Mais je sais ce que je vois.
Par exemple aujourd’hui :
Voici un détail d’une petite portion de ciel. Le vent a soufflé fort en continu ces dernières heures.
Si ces nuages étaient des minuscules gouttes d’eau tout serait aligné dans le sens où le vent pousse la vapeur. Ici ce n’est vraiment pas le cas. Dans tout le ciel les blocs de nuages en plastique restent orientés dans les sens où les avions les ont tissés sur des dizaines de kilomètres toute la journée. Ils sont poussés mais gardent la même orientation.
Bien entendu, officiellement ceci n’existe pas, même si on peut tous le voir. Ceci n’a pas d’existence officielle ni légale.
L’argent des impôts des français est détourné pour répandre des dizaines de millions de tonnes de produits chimiques toxiques au-dessus de nos têtes et personne ne sait rien, soi-disant.
C’est une extermination.
Le plomb dans les canalisations est interdit depuis des décennies à cause de sa toxicité. Ces faux nuages contiennent de nombreuses substances comme le cadmium, au moins 10 000 fois plus toxique que le plomb.
Les dizaines de milliers de compteurs à ondes que l’on ne peut pas refuser sous peine d’une surfacturation gigantesque vont dans le même sens. Ce n’est pas de l’incompétence, bien au contraire.
On nous extermine.
Les hauts fonctionnaires sensés nous protéger organisent notre génocide.
Grâce à internet les gens commencent à réaliser le danger.
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En tant que survivaliste je connais une quinzaine de moyens de tuer les micro-organismes dans une eau pour la rendre potable.
L’exposition de l’eau aux rayons ultra-violets du soleil est une méthode qui ne coûte absolument rien et qui est plutôt rapide.
Il suffit de poser une bouteille en plein soleil pendant quelques heures.
En tant que malade à cause de la médecine moderne, de ses médicaments et surtout de ses vaccins, je me tourne de plus en plus vers les soins alternatifs (comme de plus en plus de français).
Depuis peu sur internet il est question de « solariser » l’eau pour la charger de l’énergie de vie donnée par le soleil.
Il suffit d’une bouteille en verre et d’un jour avec un beau soleil pour dynamiser l’eau.
La couleur du verre filtre plus ou moins la gamme lumineuse ce qui permettrait de charger l’eau traitée avec une forme d’énergie spécifique à différents problèmes de santé.
Je suis plutôt sceptique, mais…
En fait, j’ai déjà commencé depuis l’année dernière à utiliser de l’eau « solarisée » pour les semis et les boutures. Pas pour me soigner mais pour les plantes, puisque j’ai déjà constaté les effets très étonnants des pyramides d’énergie sur les plantes malades ou mourantes.
Pour l’eau solarisée sur les plantes, pour le moment je ne suis pas encore convaincu, mais l’été dernier a connu deux périodes de longues canicules, ce qui a tué presque toutes les plantes dans tout le pays, donc je n’ai pas de résultats positifs pour ce test.
Depuis je garde toutes les bouteilles de sirop, en verre blanc, pour faire des réserves d’eau à planter dans la terre pour l’été prochain. Comme un goutte à goutte immédiatement adaptable à chaque pot, à chaque plante, en fonction des feuillages, de la luminosité et de l’évaporation au sol. Il suffit de remplir la bouteille et de planter son goulot à l’endroit où on veut une terre humide une semaine. Cool.
Donc, les bouteilles en verre ne servent pas que de réserves d’humidité mais permettent aussi la « solarisation », « dynamisation » de l’eau.
… et surtout, l’eau ne se charge pas des perturbateurs endocriniens contenus dans les bouteilles en plastique, que le soleil ferait dégorger.
C’est beaucoup plus sain.
… donc, je teste doucement, je tâtonne, je vois ce qui marche sur plusieurs années et puis je ponds un article sur internet en disant ça, ça semble marcher, ça, ça ne marche pas.
Donc pour le moment, j’en suis toujours aux tests.
Mais l’idée générale pour ce que vous allez trouver dans cette page est de chercher si l’eau pourrait se charger d’une énergie solaire très bénéfique qui stimulerait la germination des graines, ou au contraire pourrait se charger d’une énergie tueuse, après irradiation.
Le four à micro-ondes dans la cuisine a une fréquence tueuse un peu proche des antennes des nouveaux compteurs merveilleux qui apportent le bonheur à déjà des centaines de milliers de nouveaux malades dans les pays occidentaux.
Donc, le four à micro-ondes va servir à irradier de l’eau.
Une bouteille en verre va être posée des heures en plein soleil, pour qu’elle se charge en énergie bénéfique.
Et une autre bouteille contiendra de l’eau d’abord irradiée au micro-ondes, puis posée des heures en plein soleil, pour voir si l’eau transformée en poison (d’après les théories sur le net), pourrait être régénérée par le soleil, ce qui laisserait un gros espoir pour les gens dont l’eau aurait été irradiée par un compteur à ondes.
Il faut aussi un quatrième test avec de l’eau sortie tout droit du robinet, non irradiée dans le four ni au soleil. Direct du robinet aux graines. … euh non, d’abord mise dans un verre pendant un long moment pour prendre la température ambiante pour ne pas choquer les graines.
Pareil pour les trois bouteilles traitées. Toutes à température ambiante.
Dans tous les cas, l’eau vient du même robinet. C’est la même eau.
Tout le terreau vient du même sac. Un sac acheté il y a un an qui se décompose lentement dans le jardin. J’ai déjà eu un problème avec un terreau trop frais qui a tué toutes mes plantes. Les matières organiques n’avaient pas encore été décomposées par les micro-organismes pour les transformer en matières nutritives et sans danger pour les plantes. Maintenant je préfère avoir quelques sacs de terreau d’avance pour les semis de l’année suivante.
Je sais qu’il est parfait puisque j’ai commencé à faire pousser des semis avec depuis janvier.
Que des pots en quatre exemplaires identiques.
On dirait que les graines sont quand même un peu sensibles à la forme des pots finalement. Ou plutôt à la matière.
Par exemple on dirait que les graines de radis poussent un peu mal dans du plastique mais donnent de beaux radis dans les pots en terre cuite.
Donc 4 pots identiques pour chaque variété de graine.
Une seule espèce de graine n’est pas assez significative. Il vaut mieux varier. Plusieurs espèces de plantes. Des légumes racines, des légumes feuilles, des légumes fruits, des légumes graines…
Ca devrait suffire pour le premier test.
Radis de 18 jours, laitue Appia, concombre long vert, haricot coco de Prague, poivron Giallo Asti et melon charentais.
Toutes les graines pour les 4 pots viennent à chaque fois d’un seul et même sachet.
Tous les pots sont rassemblés sur la même petite table basse, pour avoir sur tous les pots la même quantité de lumière et de chaleur.
La table est dans une pièce lumineuse mais le plus loin possible des fenêtres pour éviter que la lumière directe sur quelques pots ne fausse l’expérience.
L’eau du robinet est celle qui sert pour mes semis, donc là aussi je sais qu’il n’y a pas de problème. S’il y a un changement, ça viendra forcément du traitement solaire ou au four.
Une sacoche thermos doublée de métal empêche en grande partie des ondes qui seraient stockées dans l’eau chauffée quelques minutes dans un four à micro-ondes à puissance maximale, d’irradier les graines autour, ou de recevoir les énergies des bouteilles solarisées.
Même les bouteilles sont identiques.
La seule variable est donc le traitement de l’eau après l’avoir puisée au même robinet.
On va voir ce que ça donne.
Vendredi 8 avril vers 18 heures, premier arrosage…
Lundi 11 avril, vers 17 heures, donc trois jours entiers à une heure près.
C’est déjà surprenant. Ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais.
Je pensais que rien ne germerait dans l’eau qui a été « détruite » plusieurs minutes à puissance maximale dans un four à micro-ondes.
Je m’attendais à quelque chose de spectaculaire comme sur les photos de l’expérience du cresson.
Ce n’est pas le cas. Les graines arrosées à l’eau irradiée sont dans le même état que les pots autour.
Intéressant.
Donc mon expérience est ratée dès le départ. Je n’ai pensé qu’à la germination des graines mais c’est peut être plus subtil.
Il aurait fallu démarrer une expérience durable sur plusieurs cycles de reproduction des plantes, pas seulement une expérience sensée durer deux à six semaines.
Je n’y ai pas pensé et de toute manière je n’ai pas la place pour ça.
Donc on va devoir se contenter de la germination et du début de la pousse des plantules (pour celles qui pousseront).
Vous connaissez l’expérience du professeur Séralini sur les rats nourris aux OGM ?
Sur la première génération, les résultats ne sont pas trop inquiétants.
Les deuxièmes et troisièmes générations souffrent de tumeurs tuant de plus en plus tôt, de difformités, de stérilité, de diverses maladies dégénératives.
A la quatrième génération, c’est l’extinction.
Je crois que c’est le même problème avec les compteurs à ondes.
Vous vous souvenez de l’hécatombe de l’accident nucléaire de Tchernobyl ?, à côté de chez nous.
Ceux qui sont intervenus en premier ont eu la chance de mourir en quelques heures ou quelques jours.
Les 600 000 autres qui se sont relayés en restant 10 minutes sur place subissent ça depuis : (Les images sont très dérangeantes).
Les radiations sont comme les substances actives : c’est la dose qui fait le poison.
Pour le moment, à cause des chemtrails (nuages empoisonnés persistants volontairement répandus par des milliers d’avions), le fluor et l’aluminium dans l’eau « potable », les ondes les plus nocives utilisées massivement dans tous les appareils civils, la composition des vaccins, les milliers d’additifs alimentaires toxiques autorisés par les politiciens dans la nourriture des pauvres, la stérilité d’un couple sur trois…
je suis dans la conviction que nous sommes les victimes d’un complot organisé par les supposées « élites » (les francs-maçons) pour empêcher la surpopulation.
Pour le moment je suis dans l’idée que ces compteurs d’eau à ondes sont une nouvelle arme de dépopulation.
Le but est peut être de transformer le réseau d’eau potable en antenne tueuse supplémentaire, partout, ou si l’eau peut vraiment stocker une énergie invisible, transformer l’eau potable en poison sans qu’aucune analyse ne puisse y trouver une seule nouvelle substance ajoutée.
Si c’est ce que je crois, même si chez vous il n’y a pas de compteur connecté émettant des ondes, si vous réussissez à bloquer l’installation à votre domicile, à cause de tous les compteurs successifs et les milliers raccordés au réseau, l’eau que nous consommerons tous sera empoisonnée de façon invisible.
Cet article sera mis à jour plusieurs fois dans les prochaines semaines pour rajouter les photos du test et mes constatations…
Mardi 12 avril vers 17 heures, donc 4ème jour entier.
Au premier coup d’oeil, tous les pots semblent être au même stade de développement.
Ces deux photos sont celles des pots arrosés avec de l’eau qui est passée dans un four à micro-ondes plusieurs minutes à puissance maximale.
A priori, ça pousse comme les autres.
Ce n’est pas ce à quoi je m’attendais. Donc ça me fait réfléchir sur plusieurs points : la durée du test, la dose reçue, le cumul, les effets imprévus…
Par exemple, sur cette vidéo vous pouvez voir comment les toxicités des OGM et du roundup ont été frauduleusement dissimulées par monsanto.
Il n’y a aucun effet visible avant trois mois et justement les « études » étaient de 90 jours.
Après, on voit le résultat…
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Ces falsifications me font penser à autre problème hors de contrôle créé par le « progrès » scientifique géré par des égoïstes ne pensant qu’à se remplir les poches.
Sur le continent américain le bétail était malade à cause de mouches à viande. Des centaines de millions de mouches génétiquement modifiées ont été relâchées en pleine nature, pour s’accoupler avec les mouches qui transmettaient la maladie.
Soi-disant les mouches étaient toutes stériles, puisque irradiées avant de les lâcher.
… sauf que… en vérité, avec du recul, on est toujours autour de 2% d’individus résistants à tout, chaque fois qu’il y a eu une expérience scientifique massive sur une espèce. En fait, entre 0,5 et 5% d’échec presque systématiquement. Je simplifie volontairement en parlant de 2% de ratage.
Les moustiques génériquement modifiés et irradiés pour les stériliser ont aussi été très massivement relâchés partout sur la planète, par centaines de millions, pour réduire certaines maladies touchant l’homme.
Des lâchages massifs tous les ans.
2% d’individus non-stériles.
Donc on doit en être maintenant à des centaines de milliards de moustiques et de mouches génétiquement modifiées qui s’attaquent maintenant au bétail et aux humains, partout sur la planète.
Cool, non ?
Attendez, c’est pire encore. Il semblerait d’après les découvertes scientifiques plus récentes que des brins d’ADN sautent naturellement d’une espèce à une autre pour provoquer des mutations.
De l’ADN de soja modifié entraine une mutation dans l’ADN des insectes et des rongeurs (des humains ?) qui les mangent. Les bactéries qui digèrent les cadavres s’adaptent. Le virus en profitent. Les survivants aux virus intègrent une résistance aux virus, donc un codage d’ADN modifié par l’ajout d’un nouveau gène quelque part dans le cycle de la vie.
On est tous liés. Tout échange. Les plantes, les micro-organismes, les animaux, les champignons… tout répand des choses dans l’environnement, même sur les tas de cailloux morts, ce qui influence toutes les formes de vie qui viennent après.
Les conséquences peuvent être très durables.
Par exemple ici, on est tous contaminés par des pesticides interdits il y a déjà plus de 20 ans qui ne se dégradent pas.
Autre exemple, le mercure est maintenant dans toutes les eaux du monde.
A Tchernobyl, les oiseaux migrateurs qui s’installent ne survivent pas deux ans. Tous les oiseaux qui vont s’installer pendant peut être un million d’année vont mourir en moins de deux ans si les choses restent comme ça.
La nature s’adapte.
La nature s’adapte toujours à l’environnement. Mais c’est pas forcément en bien.
Il suffit de voir les statistiques sur la difformité des bébés dans toutes les zones qui ont connu une guerre récente avec des projectiles en uranium appauvri. Les gosses ressemblent aux mutants des films d’horreur des années 70 avec des masques en carton-pâte de 5 kilos avec un oeil à la place d’une oreille.
Tout ça on ne le sait pas. On ne le sait jamais.
Seulement les lanceurs d’alertes, ceux qui sont maintenant appelés des « complotistes » par les gouvernements, sont au courant des statistiques cachées pendant des décennies, à force de creuser en cherchant le pourquoi du comment.
Officiellement le nuage de Tchernobyl n’a jamais franchi nos frontières. Pourtant la corse est contaminée pour au moins 600 ans et des centaines de milliers de français sont maintenant malades de la thyroïde.
Voilà.
Bon, le bon côté de ce test est qu’à priori le poison – si l’eau se transforme vraiment en poison comme je le suppose – n’agit pas instantanément. Peut être que c’est comme le roundup et les OGM de monsanto, ça va prendre du temps mais le résultat pourrait être le même.
Bon, donc, puisque ça ne semble pas agir instantanément, apparemment si on éteint les antennes et tous les appareils irradiant des ondes, l’effet nuisible devrait cesser immédiatement.
Ce n’est pas l’eau qui est nuisible.
… enfin si, mais non.
L’eau est agitée des millions de fois par seconde dans un four à micro-ondes ou près d’une antenne à gigahertz.
C’est cette agitation, friction, qui produit un échauffement qui détruit les matières organiques, qui transforme l’eau en vapeur…
L’eau est la chose qui agit, mais elle agit parce qu’une machine monstrueuse pas du tout naturelle l’agite des millions de fois par seconde, ce qui n’est vraiment vraiment pas le comportement naturel de l’eau.
On va voir comment évoluent les photos dans les prochaines semaines, mais pour le moment c’est encourageant. Ca veut dire qu’il va suffire de débrancher les antennes pour se mettre à l’abri.
Ca peut être facile. Un coup de pince coupante sur l’antenne d’un compteur. Pour les antennes relais, trente étages hors de portée, il suffit d’enlever un fusible ou de couper un fil à portée de main qui amène l’électricité tout en haut.
Pour le moment c’est encourageant.
Je continue le test…