Hier, 8 mars, c’était LA journée de la femme.
Youpi.
Je suppose que vous n’avez pas été augmentée, hein…
Bref c’était une journée comme toutes les autres dans un monde toujours plus fou.
Ha!, quelle Belle invention, le féminisme…
D’une certaine manière, ça me rappelle un peu l’histoire du petit cui-cui qui tombe du nid. Vous la connaissez déjà sûrement.
C’est un poussin qui ne réfléchit pas plus qu’une lolita, ni plus qu’une nana emportée par la vague d’un groupe de nanas qui dépensent bien plus qu’elles n’ont pour faire du shopping et acheter des bottes qui ne vont avec rien et qu’elles ne mettront que deux fois, si si, on en connait tous des comme ça,
, et donc, à force de faire bêtement ses trucs de poussin, hop! il finit par tomber du nid.
Et ouais.
Au sol, il crie, il crie, il crie, il crie, mais personne ne vient pour le ramener dans son nid.
Le soleil est couché, la nuit s’installe, et le petit poussin commence à greloter de froid. Il est tout seul et il pleure.
De l’autre côté de la route, un beau taureau viril a vu toute la scène. Il s’approche, regarde attentivement le petit poussin qui tremble de plus en plus, et là il se tourne, montre son derrière musclé, et au milieu de plusieurs pets magnifiques, lui fait une énoooooooorme, une incroyable, une gigantesque bouse sur la tête, SPRROOOOOTSH!!!
Le petit poussin en a partout, jusqu’en haut du bec.
Il dégouline de bouse, il respire de la bouse, il bave de la bouse,
Il est dans une bouse de 20 kilos, de 3 mètres de large. Le gros taureau a donné vraiment tout ce qu’il avait, il ne tient presque plus debout, il s’en va en titubant.
D’abord le petit poussin reste un moment sans voix, puis il se remet à pleurer, comme une fille.
Bon d’accord, il y a assez d’épaisseur de bouse pour qu’il puisse rester au chaud trois nuits d’affilées sans mourir de froid, mais l’odeur ne lui plait pas du tout.
Alors le petit poussin qui n’a plus froid, pleure de plus en plus fort.
Un vilain renard hypocrite qui a sa carte du parti socialiste depuis qu’il a l’âge de mentir et manipuler, passe par là pour rentrer dans son terrier entre deux détournements de fonds publics.
Il entend le petit poussin qui appelle à l’aide, à la solidarité, et qui attend au fond de sa bouse tout seul, que quelqu’un vienne tout faire pour lui, au lieu de prendre sa vie en main et de faire lui-même tout ce qui est bon pour lui.
Le renard socialiste regarde autour de lui : personne.
Alors il sort tout doucement le petit poussin de sa grosse bouse toute chaude qui pue, et il se met à le nettoyer.
Et quand il est tout propre, il le viole.
Puis il le tue.
Puis il le viole encore.
Il le mange à moitié.
Il le viole encore une fois, puis il finit de le manger et s’en va tranquillement chez lui compter ses pièces d’or.
L’histoire ne finit pas là. Il y a une morale, sinon ça serait trop triste :
Quand quelqu’un te met dans la merde jusqu’au cou, ce n’est pas forcément pour te nuire.
Et quand quelqu’un fait croire qu’il t’en sort, ce n’est pas forcément pour ton bien.
(En remplaçant le renard socialiste par le nom d’un vilain pokemon, on peut raconter cette histoire aussi aux enfants).
Bon, ceci dit, maintenant que j’ai préparé le terrain je vais pouvoir me mettre au-dessus de vous pour vous parler du féminisme…
J’aime pas les féministes.
Les vraies, les bêtes, les naïves haineuses.
Et les fausses, les hystériques dépravées exhibitionnistes qui vident des extincteurs sur les bébés, comme les femen, encore moins.
Elles se prétendent féministes, juste parce que le mot à une signification à priori positive. C’est un peu comme si hitler était rebaptisé « Père Noël », ou « sauveur socialiste », pour profiter du temps de la confiance pour vous mettre plein d’impôts comme jamais, de réduire les retraites, de taxer les allocations familiales,…
Ce que peu de gens savent, c’est pourquoi le féminisme est devenu aussi à la mode d’un coup, et s’est imposé en moins de deux générations, pour vous apporter le bonheur que vous savez :
Tout le monde fait au moins deux ou trois belles dépressions dans sa vie, certain(e)s n’ont même pas cessé d’avaler des antidépresseurs depuis 5 ans,
le sommeil ne vient plus,
les femmes souffrent énormément plus que les hommes de la crise économique, puisque plus de 8 enfants sur 10 vivent avec leurs mères et deviennent leur priorité absolue.
Elles doivent se contenter de revenus très modestes et ne s’achètent plus jamais de jolie robe lorsqu’elles deviennent maman. Les bottes qui ne vont avec rien, c’est terminé. Juste des tongs, même en plein hiver.
Dès le 8 du mois, elles sont à découvert et enrichissent les banquiers qui touchent sans rien faire des milliards d’agios de milliards de personnes civilisées, qui vivent dans des pays de rayonnante modernité et de joie de vivre, sans cellule traditionnelle stable permettant à tous les membres de la famille de vivre décemment.
Rockefeller a financé le lancement du mouvement féministe. Il a flairé de suite le super bon plan pour lui.
Allez hop, un zeste d’hypocrisie, des litres de bonnes idées mielleuses, et dès la génération suivante, plus personne ne s’en sort correctement.
Donc le recours au crédit est systématique, maintenant même juste pour faire soigner une dent cassée, puisque la sécu ne rembourse plus correctement les français(es) de souche, dont un(e) sur trois ne peut plus payer une mutuelle pour sa famille.
Il faut comprendre les priorités de ceux qui nous dirigent si bien. Quand des millions d’étrangers ont tous les soins gratuits, c’est pas seulement une « belle » idée juste et morale.
Ces gens n’ont pas d’argent, ne cotisent pas, ne peuvent pas payer. Donc c’est intéressant pour le bizness que l’état prenne toutes leurs dépenses à sa charge, avec plein de bon argent public.
Pof, des logements, des pensions, des soins médicaux, des médicaments, des dépenses d’insécurité, d’éducation, etc…
Et doublement gagnant, puisque les français(es) de souche qui doivent tout payer, sont obligé(e)s de s’endetter pour survivre.
Hop, quelques dizaines de milliers de petits crédits par ci, quelques prêts révolving à 20% par là,
quand ce n’est pas carrément le jackpot avec les frais d’opposition sur les découverts non autorisés.
Les banquiers profitent bien d’une situation qui devient pourrie pour 65 millions de personnes.
Il a suffit de mettre quelques millions de dollars dans des idées « révolutionnaires » qui ont fait de gigantesques dégâts.
Séparer la solide cellule familiale traditionnelle, qui a permis à l’humanité de survivre aux plaies d’Egypte, au déluge, à des épidémies de peste, à 14 siècles de djihad…
Quelques décennies de féminisme, de valeurs de douceur, de paix, d’harmonie et d’égalité, de droit de vote des gonzesses, pour diriger un monde noir, d’injustice, de brutes, de rapports de force, de méchants, de monstres, de terroristes, de banquiers,…
et on se retrouve à l’aube de l’extinction de l’humanité, en votant des lois pour que les homos socialistes puissent pondre des bébés clonés depuis leur anus.
On n’est pas égaux.
Ce n’est pas qu’une question d’emballage, de physique.
Le sexe influence la personnalité, la pensée, les capacités, les affinités, les dons, les actes.
Hommes et femmes ne sont en rien égaux.
… sauf en droits, ça c’est normal, dans une société civilisée.
Par contre, faut pas compter longtemps sur ça. Au rythme où la charia s’installe dans le pays des droits de l’homme, bientôt les femmes ne vaudront que la moitié d’un homme. Elles ne seront jamais jamais adultes, et ne vaudront toujours que le poids de la moitié d’un homme, même en étant 6 épouses réunies.
L’égalité s’arrête aux droits.
La nature impose tout le reste.
Aller contre la nature c’est être complètement con. La nature gagne toujours.
Le seul moyen de la vaincre, c’est de s’y soumettre.
On n’est pas égaux. Entre une petite poupée de 45 kilos en talons aiguilles qui tapote sur son iphone 5, et un bucheron avec de la moquette qui sort de sa chemise ouverte, il y a une différence.
Les deux ne font pas la même chose, ne pensent pas la même chose, ne réfléchissent pas de la même manière.
La première fera une politique tout en compromis, de faibles, l’autre fera une politique de lion.
Une gazelle ne dirige pas la savane comme un lion.
On n’est pas égaux.
On est complémentaires, pas égaux.
Les hommes sont doués pour jouer aux jeux vidéo et les femmes pour passer le balai. On a pas les mêmes programmations génétiques.
Si presque 9 enfants sur 10 vivent avec leurs mamans, ce n’est pas pour rien :
Jouer aux jeux vidéos et boire de la bière avec des chips, ça éduque un peu moins bien que d’apprendre à manger sain, équilibré, de sortir rencontrer d’autres enfants sur l’aire de jeu à côté de l’école, de marcher dans la rue en tenant la main d’une maman souriante, avoir une oreille attentive pour aider à faire ses devoirs,…
Les femmes ont un don exceptionnel pour ne pas engueuler les gosses alors qu’ils ne font que des trucs stupides pendant leur 25 premières années.
On ne peut pas rivaliser avec ça.
On a chacun nos spécificités, et c’est ce qui a fait que ça a marché.
Si l’espèce a survécue aux plaies d’Egypte, au déluge, à des épidémies de peste, à 14 siècles de djihad (je l’ai pas déjà écrit, ça ?),
C’est parce que des courageux chevaliers croisés dans des armures de 32 kilos sont partis combattre des milliers de barbares maures voleurs, pilleurs, esclavagistes, pour protéger tous les enfants qui s’amusaient à la maison pendant que super maman gérait tout comme une reine.
Pas égaux, complèmentaires.
Depuis que vous avez toutes succombées aux sirènes du féminisme, vous êtes malheureuses, vous dévorez des anti-dépresseurs par kilos, vous rendez les hommes malheureux, votre droit de vote sert à faire élire de pédés qui veulent se reproduire sans vous, sauf pour financer avec vos impôts leur reproduction médicalement assistée.
Pof ! Le féminisme c’est ça.
Quand j’étais complètement dingue de Tango et que je dansais tout le temps tout le temps tout le temps, en attendant le bus, en faisant la cuisine, en entrant dans la salle de bain, j’avais tout le temps un sourire jusqu’aux oreilles.
J’ai parlé du changement en moi à une copine danseuse de tango aussi, et sa réponse m’a profondément marqué.
Grosso modo, elle m’a dit :
« Avant j’étais malheureuse. J’ai toujours été malheureuse.
J’ai toujours essayé de faire comme les hommes et ça ne marchait pas.
J’ai trop bu pendant 20 ans, j’ai consommé des drogues, j’ai fait plusieurs tentatives de suicide…
… depuis que je me suis mise au Tango, j’apprends à être féminine, à ne rien faire comme les hommes, à ne même pas essayer de faire comme les hommes, et je me sens bien. C’est comme si j’avais enfin trouvé ma place. »
C’est exactement ce que je ressentais aussi.
Une petite leçon pour trouver le bonheur grâce à la danse…
… mais pas seulement la danse.
Faire ce pourquoi on est fait.
Prendre naturellement sa place…
Juste sa place. Pas celle d’un(e) autre, pas celle que la nature ne nous a pas destinée.
Pas des idées fumeuses de féministes déconnectées de la réalité.
Juste poser son bras, là,
Juste, juste, poser son bras, là.
Sa main, … là.
Tout s’emboite parfaitement, comme si on était justement complémentaires…
Comme en voiture, on ne peut pas être deux à conduire. Ca ne marche pas. Un seul doit diriger. De préférence celui qui voit par dessus l’épaule de l’autre, pour éviter de se cogner dans tous les obstacles.
Donc le plus grand.
Donc l’homme.
Un petit balancement sur place, pour faire sentir le pied d’appui avant de démarrer, et…
des petits pas,
Puis des pas plus rapides, Tan lan Tan Tan !…
Quand on fait ce qu’on sait faire, on peut mettre de la magie dans chaque geste.
Les femmes, légères et beaucoup plus souples, s’occupent des gestes aériens, un talon aiguille qui vole au moment ou deux violons chantent ensemble,
L’homme est un support qui met ses partenaires en valeur…
Ca a un côté cool pour le danseur. Mais faut pas le dire, c’est un secret connu seulement des danseurs de tango.
Pas de pression, le droit à l’erreur.
L’homme gère 95% de la danse du couple, les déplacements, les figures, la musique, le rythme, les pas, ses déplacements, les pas de sa cavalière, presque tout, mais on ne remarque que la danseuse.
Même les femmes ne regardent que les autres femmes, par jalousie naturelle.
Du coup, chaque fois qu’une nana fait un geste maladroit, on le remarque. Tout le monde pense à tort que c’est de sa faute, qu’elle danse mal, tout ça…
… alors que chaque fois qu’une femme fait un geste maladroit c’est de la faute de l’homme, mais personne ne le sait.
Ca j’aime bien.
… en plus, franchement, être entouré de petites nanas fines et sportives, parfumées jusque dans les cheveux, habillées de robes fines et de talons aiguilles, enlacées, parfois les yeux fermées, avec un petit sourire aux coins des lèvres, il y a pire comme loisirs.
Pas seulement en danse, à tous les moments.
Chaque moment en société dépend de relations, d’interactions avec les autres.
Quand on fait semblant de ne pas être ce qu’on est, ça ne marche pas.
Etre soi-même, connaitre, son rôle, sa place, ses atouts,… permet de ne pas se contenter d’une vie ordinaire.
Pas une demie vie en étant moyennement bon ou moyennement mauvais en presque tout.
Accepter d’être nul(le) pour certaines choses,
ne pas essayer de mal les faire,
devenir complémentaires avec celles et ceux qui savent, qui sont,
redevenir un élément d’un tout
et faire ce qui nous fait vibrer.
… et quand la musique commence à diminuer,
continuer à se sentir vivant, même longtemps après la dernière note.
Se-Preparer-Aux-Crises.fr