Ceux qui vendent du pétrole, du gaz, du charbon, des centrales nucléaires dangereuses de plusieurs milliards qui ne fonctionnent même pas, comme l’EPR,
ces gens qui possèdent aussi les médias ne veulent pas que vous sachiez.
Soi-disant le rendement énergétique serait très faible, comparé aux énergies polluantes.
De la manière dont je vois les choses, le rendement réel est +100%.
Bin oui.
C’est évident.
Puisqu’au départ vous n’avez rien.
Vous n’y mettez pas de combustible, pas de matière première.
Regardez. Une démonstration :
Par exemple, imaginez un très beau paysage.
Au hasard, une plage.
Imaginez que vous regardez les filles qui marchent sur la plage,
leur poitrine gonflée par le désir de vivre, quand elles se déshabillent et font semblant d’être sages.
Le vent qui les décoiffe, et les sourires fugaces. Vous regardez les vagues qui jouent avec leur corps,
le soleil sur leur peau qui joue à cache-cache…
Vous imaginez bien ?
Et bien tout ça, c’est de l’énergie. Partout.
Du soleil, de la chaleur, du vent, de l’eau agitée créant une éternelle colossale force marémotrice, de la gravité qui maintient tout au sol, du moindre petit grain de sable aux beaux gros seins lourds des filles qui marchent sur la plage,
Tout ça c’est de l’énergie, partout !
Et pas de la petite énergie, avec une autonomie pourrie, comme une pile au lithium à 6,40 euros qui dure 1 heure 15 puis sera jeté en empoisonnant 2000 litres d’eau. C’est de l’énergie inusable.
Des forces qui existent depuis le début de l’univers et qui fonctionneront toujours jusqu’à la fin des temps. Et certainement même encore après.
Tout ça, c’est plein de règles physiques surpuissantes. Elles sont tellement évidentes que c’est justement le problème, on ne les remarque plus. On ne voit pas à quel point elles sont magiques et que la nature est bien faite.
Elle nous donne tout ce dont on a besoin. Tout autour de nous est vie et énergie.
Donc à la base, pas de matière première. Pas de combustible à acheter.
Si vous avez le moyen de canaliser ces énergies, même si le rendement de vos appareils est faible, par rapport au rien du départ, c’est +100%.
Ensuite, si vous faites intelligemment les choses, vous pouvez récupérer l’énergie perdue par les autres appareils, qui eux consomment, et que vous utilisez de toute façon.
Par exemple, ajouter une turbine à vapeur dans un système qui produit énormément de chaleur pour son activité. Dans une centrale nucléaire, dans une usine de traitement de la canne à sucre, dans des systèmes d’incinération, dans une fonderie,…
Au lieu de laisser se perdre la vapeur, elle peut être transformée en un mouvement mécanique ou en énergie électrique.
Si au départ vous n’investissez pas une somme délirante, la rentabilité apparait très vite.
Par exemple j’ai un ami qui a ajouté derrière sa cheminée quelques canalisations d’eau qui traversent les murs pour aller dans les deux chambres de ses enfants et la sienne.
La cheminée du salon suffit maintenant pour tout chauffer, alors qu’avant son bricolage, les vieux murs épais empêchaient la chaleur de passer. Maintenant presque tout l’hiver il économise la consommation de 3 chauffages électriques.
Vous pouvez donc réutiliser une partie de ce qui se gaspille pour augmenter différemment l’efficacité. L’air chaud qui partait dans le conduit d’évacuation devient de l’eau chaude qui chauffe la maison.
Mais pas seulement…
Toujours pour quelques dizaines d’euros de simples tuyaux, avec une vitre et quelques matériaux de récupération, vous pouvez fabriquer un panneau solaire thermique pour avoir de l’eau chaude, du chauffage, chaque fois que le soleil brille.
La température de l’eau d’un petit bricolage vite fait de ce genre, varie entre 70 et 250° selon la qualité des matériaux et des formes et volumes de montage.
Vous n’êtes pas obligé de passer par une conversion électrique à chaque fois.
Nos ancêtres vivaient très bien (voir mieux pour beaucoup de choses, même), sans avoir à payer tous les mois un abonnement électrique pour avoir du 220 volts, sur un réseau énorme, hors de prix, qui gaspille de l’énergie rien que par la résistance des câbles longs de dizaines de kilomètres pour apporter l’électricité fabriquée dans d’autres pays.
Selon vos besoins, une petite éolienne en boite de conserve, sur un vieux ventilateur de pc, peut largement suffire pour recharger la veille batterie qui traine dans le garage, qui sert pour un peu de lumière quelques heures de temps en temps et un peu de musique.
Si vous avez un cours d’eau à proximité, une turbine hydraulique fait la même chose que l’éolien.
Ou même toujours sans passer par un générateur électrique, juste avec un axe décentré, une courroie ou quelques roues dentées, vous pouvez par exemple pomper l’eau de la rivière pour alimenter votre chasse d’eau.
Il existe souvent plusieurs manières d’avoir un résultat à peu près équivalent, avec des rendements légèrement différents, pour toujours la même source d’énergie.
Par exemple, selon le débit du cours d’eau, il peut être plus intéressant de remplacer la pompe par un bélier hydraulique, qui transportera aussi de l’eau vers une hauteur sans aucune source d’énergie nécessaire. Le poids de l’eau qui coule suffit.
Et le rendement pourrait vous étonner.
Regardez par exemple cette pompe bélier, fabriquée à partir d’un extincteur recyclé.
4 litres par minute :
La page d’où vient cette image vaut vraiment le coup d’oeil. C’est un travail superbe :
http://aventure-installation.blogspot.fr/search/label/Fabrication%20b%C3%A9lier%20hydraulique
Il existe beaucoup d’autres systèmes de pompage. Par exemple par la force d’aspiration d’une cuve d’air simplement laissée à chauffer au soleil.
D’une manière *générale* (il y a des exceptions dont on va parler très bientôt) on peut dire que l’on n’obtient vraiment pas le même rendement, la même vitesse, la même efficacité rapide qu’avec des machines à pétrole ou qui se branchent sur une prise de 220 volts.
… Mais si vous n’êtes pas dans l’urgence, pour vider une cave pendant une inondation, pour empêcher le niveau de monter trop haut et de détruire vos biens, mais juste pour remplir tranquillement votre cuve au fond du jardin, sans prise électrique ni laisser trainer dehors un appareil coûteux qu’on peut vous voler,
le bric à brac facile à faire en énergie libre, mérite qu’on s’y attarde un moment.
L’énergie libre n’est pas qu’une question d’eau qui se déplace, d’eau chaude, de vapeur, d’électricité, de solaire, de vent, de force d’une chute ou d’une rivière.
Il existe des dizaines de machines exploitants des principes et des règles naturelles différentes :
– la température de l’air,
– la force des marées,
– les moteurs à aimants permanents,
– des générateurs d’hydrogène et d’oxygène à partir d’eau ordinaire,
…
Selon vos besoins, vos habitudes, la place dont vous disposez, les notions scientifiques que vous possédez, vous allez plutôt vous sentir à l’aise avec des réactions chimiques, ou des turbines, ou des canalisations, ou des aimants, ou du feu, ou…
Jetez simplement un oeil dans les vidéos sur youtube, ou dans google. Il existe des milliers de prototypes. Les gens partagent leurs idées.
Je fais partie de ces dingues.
Et j’adore ça.
Savoir qu’on travaille à chercher des solutions non polluantes pour en finir avec le pétrole, le plomb dans l’essence qui rend des millions de personnes malades, la pollution du charbon,… que si on met au point quelque chose qui marche, et qui ne coûte pas grand chose à produire, on va permettre à 7 milliards de personnes dans le monde d’avoir accès à de l’énergie pratiquement illimitée, pour pomper de l’eau, pour s’éclairer, pour mieux vivre,
c’est vraiment sympa, agréable, moral.
C’est très épanouissant comme activité.
A une époque où tout le monde fait la gueule et déprime de plus en plus, mettre un petit coup de main vers la bonne direction me donne souvent un petit sourire en coin, et même parfois des lèvres étirées jusqu’aux oreilles, qui font mal à force de sourire aussi fort.
Ca ne se limite pas à bricoler une éolienne en boite de conserves pour pomper de l’eau.
Ou refroidir sa chambre, ou sa voiture quand le soleil cogne trop fort.
Ca ne se limite pas non plus à réduire sa facture de chauffage, ou de gaz pour la cuisine en utilisant des fours solaires ;
Vous pouvez même en faire votre activité professionnelle, alors que le chômage augmente.
Si vous avez une idée révolutionnaire vous pouvez déposer un brevet, qui vous rapportera sans rien faire.
Ou vous pouvez prendre les meilleures idées déjà en partage libre sur internet pour mettre au point vos propres machines et les vendre.
Vous pouvez commercialiser seulement des pièces détachées pour construire facilement vos machines.
Les débouchés sont énormes.
Personnellement pour le moment, en plus d’une mini pépinière qui est un échec complet à cause de la très mauvaise météo de cette année, de plusieurs sites web, d’ebooks en préparation, je passe aussi du temps à préparer le lancement d’une activité commerciale en rapport direct avec les énergies libres. J’ai le sentiment que ça va être un excellent plan dans pas longtemps.
Pour le moment, je me contente de proposer à la vente les produits et livres des autres, dans ma boutique, en touchant jusqu’à 5% de commission.
Vous pouvez vous inspirer de l’idée, mais il faut l’améliorer. Je n’ai pas encore vendu un seul livre sur le sujet. Donc, là pour le moment, ce que je fais n’est pas bon.
Je place tranquillement mes graines. Je prépare pour plus tard.
Tant qu’on n’aura pas viré ce gouvernement de nuisibles et fait en sorte que la création d’entreprise et le travail ne soient plus sanctionnés, que l’état ne nous vole plus presque tout (donc ce n’est vraiment pas pour cette année), je ne créerai pas une usine de montage en France, pour mes propres moteurs.
A priori ça devrait créer un wagon d’emplois, vu la quantité de compétences nécessaires. (Recherche et développement, fabrication, emballage, expédition, comptabilité, commerce,…)
Mais pour le moment, avec des charges totalement délirantes qui augmentent constamment, alors que la valeur réelle de la monnaie fond, il ne faut surtout pas créer d’emploi en France, on serait presque sûr de faire faillite.
Mais si vous allez dans cette voie, donc construire vos machines pas seulement pour vos besoins énergétiques mais éventuellement aussi dans un but commercial,
je rajoute encore quelques conseils très importants pour bien commencer :
Vous pouvez en faire votre activité, SI vous êtes passionné par le sujet.
Il y a tellement de choses à savoir, que si vous vous lancez la dedans, il vaut mieux être passionné.
Par exemple, sur les trois dernières années, j’ai vu plus de 700 prototypes de moteurs magnétiques ou surnuméraires à aimants. Sur le tas, il n’y en a que 6 qui marchent.
Apprendre à comprendre pourquoi ils ne marchent pas ne vient pas tout seul du jour au lendemain. Il y a énooooooooooooooormément de choses à savoir.
Grâce aux gens qui partagent leurs échecs, nous pouvons tous avancer plus vite vers la fabrication de vrais moteurs propres et performants.
Un échec sur une roue à eau sensée être perpétuelle peut vous apprendre des principes physiques utiles même sur des mécanismes sans aucun liquide.
Chaque fois que vous comprenez pourquoi ça ne marche pas, vous faites un grand pas.
Ensuite, le prix de vos machines ou de vos pièces doit être faible.
L’investissement doit être très rapidement rentable. Ca permettra au plus grand nombre de s’équiper avec vos appareils. Les pauvres qui pourront fabriquer à bas prix vos machines, comme ceux aisés qui pourront vous acheter directement des moteurs prêts à fonctionner.
Plus il y aura de moteurs propres sur la planète, mieux le monde entier se portera.
C’est une activité où même en ne voyant que votre intérêt, vous améliorez la vie de tous.
Ne pensez pas qu’à un modèle à bas coût en plastique moche.
Eventuellement pensez aussi à un modèle en acier brillant, avec du bois ciré, et un socle noir.
Pas le genre d’appareil qu’on planque à la cave, mais que les élites branchées exposent fièrement dans leur bureau, dans leur salon,…
Pensez aux gens différents de vous avant de commencer à investir au risque de vous planter.
Qui va acheter ?
Homme, femme, ado, sénior, actif, casanier, nomade, pro, perso,…
Posez vous les bonnes questions avant de faire des frais.
Pour qui, pour quoi, comment, combien, forte marge ou pas, etc…
Tout a un coût à prévoir.
Presque toutes les bonnes idées ont déjà été creusées.
Maintenant, c’est de l’amélioration. Du mélange d’idées, pour créer quelque chose d’innovant.
Vous pouvez par exemple mélanger plusieurs principes pour optimiser le rendement. Feu, vapeur, électricité, force motrice de l’eau qui condense et redescend en entrainant une deuxième turbine,…
En mettant en chaînes plusieurs idées, vous récupérez ce qui se perd, pour améliorer encore le rendement global de votre machine.
Quelques watts produits 24h/24 peuvent être stockés dans une batterie pour faire fonctionner des appareils trop puissants pour les brancher directement au moteur.
Complexifier le système en enchainant plusieurs mécanismes complémentaires et différents,
mélanger les énergies, c’est bien, MAIS :
Essayez de simplifier au maximum tout ce que vous pouvez.
Moins il y a de pièces, moins c’est cher à fabriquer.
Si vous vendez 500 machines en économisant 4 euros sur chacune, l’économie n’est pas négligeable, pour une pièce en moins, ou avec moins de matière première, ou des matériaux plus courants et abordables.
Moins il y a pièces, de frictions, de forces, de mouvements parasites, de surpoids, moins il y aura d’usure et de risques de pannes, donc de surcoût de fonctionnement.
Donc dès le départ, moins de clients mécontents qui vont faire une mauvaise publicité et détruire votre entreprise qui commence à peine.
Le mécanisme parfait est atteint quand vous ne pouvez plus rien enlever.
Entourez vous de personnes très compétentes.
De préférences des profs de science, ou des artisans avec de longues années d’expérience, ou des ingénieurs, des techniciens de centrales hydroélectriques,…
Et ne sous estimez pas vos idées.
Si vous créez une dynamique, vous êtes le boss.
Vous guidez, vous dirigez l’orchestre. Même si vos collègues sont plus compétents que vous, ils n’ont pas eu l’idée de s’y mettre avant que vous leur mettiez vos prototypes en mains.
Croyez en vous.
Par exemple, Troy Reed ne savait pas, contrairement à toutes les grosses têtes autour de lui, que l’on ne peut pas faire de mouvement perpétuel, qu’on ne peut pas faire d’énergie à partir de rien, une évidence enseignée par les profs de science.
Du coup, il a travaillé sur des idées nouvelles, des « hérésies » scientifiques, et maintenant il se promène dans une voiture qui n’a pas besoin d’essence, qui fonctionne juste avec des aimants puissants qui canalisent le champ magnétique terrestre.
Si vous vous sentez à l’étroit dans les règles des autres, imposez les vôtres.
Ce monde ne marche pas de toute façon. Il agonise. Nous n’avons plus grand chose à perdre à tout changer.
Vos nouvelles idées seront peut être celles qui rendront les gens heureux.
Se-Preparer-Aux-Crises.fr
J’aime regarder les filles qui marchent sur la plage.
Les hanches qui balancent et les sourires fugaces,
Je regarde les vagues qui jouent avec leur corps.
J’aime.
J’aime regarder les filles qui marchent sur la plage,
Quand elles se déhabillent et font semblant d’être sages,
Leurs yeux qui se demandent mais quel est ce garçon ?
J’aime regarder les filles qui marchent sur la plage
Leur ventre qui se colle sur le sable chaud,
Le vent qui les décoiffe et les sourires fugaces.
J’aime regarder les filles qui marchent sur la plage
Je regarde les vagues qui jouent avec leur corps…