A votre avis, qui est au plus haut niveau de la hiérarchie humaine ?
… mais non pas président !
Le vôtre prend ses ordres dans les diners du CRIF, dans les loges maçonniques, et obéit à des dizaines de non-élus de Bruxelles, de l’Europe, de l’Otan…
C’est une carpette molle sans autorité qui applique les décisions des autres.
Non non, visez plus haut.
Non, encore plus haut qu’un roi.
Plus haut que 1000 rois.
Que 3000 rois sur 2000 ans.
Plus haut que tous les dirigeants du monde, que tous les généraux, tous les chefs religieux, tous les sages, tous les conquérants…
Quelqu’un qui donne la voie à des pays entiers, à des milliards d’humains,
sur des centaines de générations.
Quelqu’un qui indirectement impose aux rois, à des milliers de princes, ce qu’il doivent faire.
Si si, c’est possible.
Il n’y en a eu que quelques uns.
Les prophètes.
L’un d’entre eux était un travailleur manuel qui n’avait probablement même pas de diplôme de charpentier.
Jésus influence la vie de presque tous les peuples les plus évolués qui ont tiré le monde vers le haut ces 2000 dernières années.
Mahomet influence les vies courtes, misérables et remplies de morts violentes de tous les peuples musulmans et de leurs malchanceux voisins depuis 1400 ans.
Les religions évoluent avec les sociétés humaines.
Les croyances dépendent des sciences et des mentalités des gens, ainsi que des avantages que les religions apportent.
Se faire promettre 72 vierges pour l’éternité, c’est plus intéressant que d’être tous des esclaves et que seul le pharaon puisse accéder à la vie éternelle, rien que lui.
Une vie de merde pour tous, récompensée par une tombe de merde pour tous.
Fin.
L’islam d’amour et de paix a remplacé les hommes à tête de chien des anciens dieux d’Egypte.
14 siècles plus tard, les doux musulmans de bienveillance et de tolérance continuent de détruire les monuments, les statues, les temples, les musées, les merveilles archéologiques irremplaçables inestimables, parce qu’il leur faut détruire tout ce qui contredit ce qui est enseigné dans le seul livre qu’ils ont le droit de lire (qui ne peut pas se tromper, évidemment).
Les musulmans ont décidé qu’aucun homme n’a le droit de vénérer des objets.
Enfin, sauf si ça leur rapporte, uniquement à eux, des sommes halal, de 1,7 milliards de fidèles qui doivent faire au moins un pèlerinage obligatoire pour caresser un caillou…
Partout dans le monde où il n’y a pas trop de musulmans, les traces historiques restent.
On sait ce que les gens vénéraient avant.
On sait que les religions disparaissent.
Et maintenant ça peut aller très vite. A la vitesse où l’on communique et échange les idées, grâce aux nouvelles technologies.
Il y a 25 ans c’était encore des nouvelles technologies en 8 bits, rares, sans réseau, avec peu de personnes autour d’un écran.
Mais maintenant les saintes paroles peuvent se diffuser tout autour de la terre en quelques secondes à des centaines de milliers d’abonnés.
Il est temps de faire une mise à jour des religions de plus de 2000 ans.
Et de plus de 1400 ans aussi.
Euh… non, de presque toutes les autres aussi.
… toutes celles qui datent de plus de deux générations.
Et c’est déjà beaucoup, vu que notre mode de vie n’a déjà plus rien à voir avec celui de nos grands parents.
Une nouvelle religion qui collerait parfaitement à l’époque devrait presque avoir des icônes de Dieux en plastique jetable.
Ou avec des antennes wifi dans les parties en métal.
Et même le bluetooth.
Vu comme c’est parti, les tendances de fond partout dans le monde, autant juste faire une religion jetable à remplacer dans 20 ou 30 ans.
Autant faire dès le départ une qui n’aura pas le défaut de toutes les précédentes.
Au début c’est toujours quelques textes fondateurs totalement révolutionnaires pour l’époque, puis petit à petit plein de fanatiques se font leur propre interprétation des paroles du prophète, rajoutent des centaines ou des milliers de pages, de tomes, de DVD, de règlements, de folklore, et ça devient du vrai n’importe quoi plein de règles à la con et de légendes d’il y a mille ans, qui n’ont plus aucun rapport avec nos vies.
Jetable en trente ans maxi, c’est bien, à priori.
Vous savez ce qu’ont en commun les plus grands prophètes ?
Ceux dont on connait le nom.
Ils ont été les premiers à dire clairement haut et fort quels changements étaient nécessaires pour en finir avec les choses invivables dans leurs sociétés malades, à leurs époques.
Ca je peux faire. Sans même réfléchir je peux pondre « Il faut respecter la vie sous toutes ses formes.
Le suicide n’est pas autorisé, sauf en cas de mal incurable, pour faire cesser les souffrances.
Et pour neutraliser sans récidive ceux qui tuent, volent ou empoissonnent les autres volontairement par malhonnêteté.
Nous sommes tous liés. Nous sommes tous les éléments d’une petite planète en espace clôt. Les poisons relâchés quelque part nuisent à toute l’humanité.
Premier commandement ». Hop. Voilà, en moins de deux minutes.
Pour être un prophète pas besoin d’avoir un Bac+12, un diplôme hyper prestigieux, un titre ronflant, d’être un ancien ministre de l’intérieur ou député européen.
Il suffit d’écouter les autres et de dire les mots qu’ils vont avoir envie de suivre pour améliorer leurs vies.
Pas besoin d’une armée.
Pas besoin de dizaines de milliers de fonctionnaires voleurs pour prélever des centaines d’impôts pour financer des forces de répression.
Pas besoin d’une armée, comme pour les dictateurs.
Les gens n’ont pas envie de faire du mal aux personnes aimées et/ou respectées.
Par contre, le « pouvoir » en place a un peu trop tendance à crucifier par milliers, décapiter, quand le pouvoir d’être écouté par les masses lui échappe.
Tenez, regardez, Dieudonné. Plus de 80 procès en cours. Un harcèlement judiciaire délirant avec toute l’artillerie de l’état franc-maçon.
Et encore, lui répète souvent qu’il n’est pas un politicien, qu’il n’est qu’un comique. Que c’est juste pour faire son métier.
Chaque fois qu’il est censuré, il fait salle comble et vend de plus en plus de DVD de ses spectacles, de plus en plus de produits dérivés, a toujours plus de fans et d’abonnés sur les réseaux sociaux et de partage.
Les gens ont besoin de se marrer.
C’est libérateur.
Regardez sur les réseaux sociaux, sur tous les sites d’information comme presque tout le monde se lâche. La parodie coule à flot, sur hollande, valls, la vieille grosse moche noire taubira, les chances pour la France, tout ça. Tout. Tout y passe.
La déconnade c’est apparemment le bon support pour changer les choses.
Bon, en plus moi j’ai un avantage. Je suis un peu tolérant.
Je ne vais pas dire comme les musulmans le font aux autres, qu’allah n’existe pas, qu’il faut casser la mecque et sa pierre noire comme les bons musulmans djihadistes tolérants cassent les vestiges archéologiques des autres religions, brûlent les églises, décapitent les prêtres…
Qu’ils vénèrent allah. Ca me va. (Tant que c’est à des milliers de kilomètres de mon pays).
Dans toutes les religions il y a eu du bon et du mauvais.
Par exemple chez les grecs, il y avait Bacchus (appelé Dionisos chez les romains), qui était le dieu du vin.
… bon, je suis presque sûr qu’il aurait piqué une très grosse colère s’il avait goûté la chose appelée « beaujolais nouveau » qui est prétendument du vin, mais mis à part ce détail de l’histoire, c’est un dieu festif, un bon vivant, cool. Un dieu de la fête.
Ca c’est un dieu que j’aimerais avoir dans ma religion. Je vais essayer de l’engager. Il s’emmerde peut être depuis qu’il est à la retraite.
Il y a eu des dieux très cools.
Je peux les tolérer.
Mais ma tolérance a quand même quelques limites.
Par exemple, on sait tous que Goldorak était le seul vrai Dieu des dessins animés du Club Dorothée. Albator n’a jamais été un dieu, c’est pas vrai.
C’était qu’un hippy borgne à la con anorexique avec un oiseau déplumé malformé qui lui chie sur l’épaule.
Même ses figurines en plastique mou étaient les plus moches de toute l’histoire du commerce des jouets.
Même le plus nul des dieux n’aurait pas pu tolérer qu’on le traite et l’insulte comme ça.
C’est bien la preuve indiscutable qu’Albator n’a jamais été un dieu, quoi qu’en disent ceux qui le vénèrent encore (et qui iront en enfer peut être même plus tôt qu’ils ne le croient, salopards de mécréants).
(Vénérer des faux dieux, c’est mal).
Un prophète doit guider les hommes sur le bon chemin.
(Et les femmes aussi. Il parait qu’elles ont une âme aussi, soi-disant, même si ça ne se voit pas) .
Le prophète sait que ce qu’il dit est vrai et bon, parce qu’il parle au nom des vrais dieux. Il transmet leur vraies paroles divines.
Il n’en fait pas un fond de commerce hypocrite pour merchandiser dans les temples, ou djihader pour le butin de toutes les tribus du désert et la traite des captives qui rapporte beaucoup, presque autant que le commerce des chamelles.
Un vrai prophète se reconnait au fait qu’il est plutôt désintéressé, mais ce n’est pas absolument totalement obligatoire.
Le signe principal est plutôt qu’un prophète dit qu’il parle au nom des dieux, ou d’un seul, c’est selon les croyances.
Vu comme c’est le bordel dans le monde, je ne peux pas croire qu’il n’y en ait qu’un seul. On dirait qu’ils sont nombreux à être jaloux les uns des autres, à se tirer tout le temps dans les pattes et casser les jouets des autres, comme dans la mythologie grecque.
En plus ça explique sans insulter personne que les guerres de religion sont toutes vraiment faites au nom de dieu. Simplement ce n’est pas le même dans tous les camps.
Alors pour les gens qui parlent au nom des dieux,… pffffffff… ça ne donne vraiment pas confiance, après tout ce qu’on voit.
Disons qu’il y a énormément de gens qui affirment parler au nom d’un dieu, parce qu’ils n’ont pas les capacités intellectuelles pour parler avec finesse et nuance.
Beaucoup sont complètement cons, avec un QI inférieur à 70, analphabètes, ne connaissant qu’un seul livre qu’ils récitent sans comprendre, entre deux consommation de cannabis ou d’alcool haram.
D’autres sont de vrais fous, vrais de vrais, incapables de faire la différence.
D’autres prétendent des pouvoirs divins pour se servir des autres.
D’autres parlent peut être vraiment à des puissances supérieures.
De plein de manières possibles.
Le problème avec moi est que j’écoute vraiment les Puissances et je leur obéis toujours.
Je tire les cartes depuis environ 26 ans. Pas très souvent, mais sur la durée ça donne un niveau de maitrise plutôt impressionnant.
Les 22 cartes majeures du tarot de Marseille semblent avoir un langage riche, pour ceux qui savent l’écouter.
Je ne comprends pas comment ça marche, mais ça ne se trompe jamais.
Je mélange simplement aussi longtemps qu’il faut, tant que je n’ai pas la sensation qu’il faut arrêter, et c’est tout. Après il suffit de lire.
Quand j’ai commencé à tirer les cartes, vers 16 ans, j’étais passionné de surnaturel. Je faisais de rêves bizarres incroyablement détaillés de scènes de plusieurs minutes, qui se réalisaient réellement plus tard, dans le moindre détail.
Donc je m’intéressais à tout ce qui était paranormal pour essayer de comprendre cette chose impossible, carrément flippante.
Presque tous les « dons » ont disparu, mais il me reste la capacité de simplement lire les cartes.
Ce qui est très curieux, inexplicable, est que les cartes ne se trompent jamais.
La situation est toujours exactement comme elles la décrivent. Et pourtant, autant de cartes, c’est des millions de combinaisons possibles. Elles sont toujours au bon endroit.
Tenez, une démonstration amusante, le tirage de ce matin :
Les influences | |||
Le passé | Le présent | Le futur | |
Les bases profondes |
Je tire trois cartes au lieu d’une seule pour le futur, pour affiner le conseil.
Avant de battre les cartes, l’idée était de savoir si toute cette histoire de Prophète de la Délivrance, pour utiliser des failles légales pour désislamiser totalement notre pays, tout en s’amusant et en ne payant pas un seul centime d’impôt, était une bonne chose, ou si ça allait tourner au carnage, comme pour Dieudonné et ses plus de 80 procès.
A vous de juger par vous-mêmes.
La carte du passé, L’impératrice, dans ce contexte, parle de la féminisation du pouvoir, justement dans le passé, conséquence de tout ce qui arrive dans le présent.
Le jeu ne montre pas une seule force virile. Pas de dominant, pas de combattants, pas de guerrier, pas de chariot conquérant, pas d’empereur…
La carte qui indique les influences en cours a curieusement un sens voisin de celle qui indique les racines de la situation. Les deux se renforcent mutuellement à un point qu’il n’est pas surprenant de voir au centre l’image des plus grandes destructions.
Normalement La Maison Dieu est la pire carte du jeu du tarot, celle dont la présence n’est jamais souhaitée dans un tirage.
Elle indique des catastrophes majeures. Exceptionnellement – c’est même quasiment unique – ici elle indique une bonne chose.
Son image est celle de la tour de Babel, détruite sous son propre poids, parce que quelques hommes avides de pouvoir et de folie, avaient cru bon de défier les dieux et la nature en construisant une tour plus haute que tout ce qui existe, que tout ce qui est possible, pour afficher leur supériorité sur tous les autres hommes et sur les divinités.
Donc, là, curieusement, c’est un signe extraordinairement bénéfique. La fin de tout ce cirque. Des anciennes croyances qui n’apportent plus que du mauvais.
Le diable est une force invisible de la manigance, de la faiblesse, de la corruption.
La papesse (un titre qui n’existe pas en vrai) est un symbole des influences invisibles (qui n’existent pas officiellement, qu’on ne voit pas, mais qui sont très présentes) qui lient et rendent possibles les évènements.
C’est un signe de féminité, de bienveillance, de paix.
Malheureusement dans ce contexte et cet entourage de cartes, le jeu est inversé. Ce n’est pas un bon signe, apaisant, réconfortant, liant, protecteur.
Ici ça indique la faiblesse, le refus du conflit, le manque de force, la soumission, l’accommodement à l’intolérable…
Les 4 premières cartes vont toutes dans le sens d’un enfer malsain invivable de corruption, de forces invisibles, d’absence de chef, de féminisation du pouvoir, de merde bien-pensante faible étalée partout.
C’est exactement ce qu’on voit partout tous les jours.
Et donc la carte centrale indique que ce culte délirant est en train de se fissurer de partout et que la chute de tout l’édifice est déjà en cours.
C’est cool.
Surtout que les cartes suivantes confirment tout ce que je pensais.
Toujours pas de carte guerrière.
Bien au contraire. L’amoureux indique l’union, l’amour, les intérêts communs dans la paix, les « petites gens » du peuple ordinaire qui ne perdent pas leur temps à construire fanatiquement des tours de Babel en complotant, mais qui veulent juste se marier normalement entre homme et femme, avoir une petite vie tranquille, dans la paix, être entourés de voisins bienveillants avec qui il fait bon vivre, entreprendre, créer…
On est très loin des préoccupations de ceux qui veulent une guerre civile.
Les deux cartes que j’ajoute sur celle de l’avenir pour préciser le tirage, sont curieusement là aussi, comme toujours, comme toutes les autres, inexplicablement exactement où elles doivent être.
La roue de fortune annonce un changement total, on ne reste plus à tous macérer dans une situation pourrie.
Et le Bateleur montre un homme créant de ses mains de nouvelles choses, simples, par son travail, pour repartir sur de nouvelles bases, un redémarrage bénéfique.
La carte porte le numéro 1.
Elle est sous la roue de fortune qui indique des changements presque complets.
Là aussi les deux cartes du futur se renforcent mutuellement.
Juste après la fin en cours annoncée par la carte du présent, tout, tout, tout, indique que l’on est sur le point d’entrer dans une ère nouvelle.
C’est aux « petits », aux sans grades qu’il faut s’adresser. C’est sur mesure pour eux que tous les nouveaux textes doivent être créés, pour changer totalement de ce système qui s’écroule où nous ne sommes jamais écoutés par les mauvais chefs.
Voilà.
Le problème est que les cartes disent toujours exactement ce qu’il me faut, quand je suis près à l’entendre.
C’est pour ça que je les tire très peu. Elle ne me mentent jamais, alors je leur « obéis ». Je suis ce qu’elles me conseillent de faire.
Donc c’est pour ça que je les tire rarement, et sur très peu de choses. Je ne veux pas qu’elles me déconseillent de faire ce que j’ai très envie de faire. Surtout quand ça concerne une jolie femme ou quelque chose de très amusant.
Donc, à vous de le prendre comme vous voulez.
Soit je suis un fada qui croit être guidé par des forces supérieures,
soit je suis réellement guidé par des puissances invisibles.
De toutes façons, peu importe l’interprétation, vu que juste créer une nouvelle religion permet d’en finir avec l’islam et de pouvoir entreprendre sans verser 80% en taxes pour les gaspillages de l’état, mais 0% d’impôt,
je vais le faire. A tous points de vue il y a plus à gagner qu’à perdre.
En plus Les Puissances me l’ont confirmé. Je n’aurais pas d’opposition majeure. Nos ennemis sont déjà presque écrabouillés sous leurs propres débris.
L’UMP doit rembourser 80 millions de dettes. Les socialistes n’ont plus de militants. Les musulmans dégoûtent plus de 80% des français…
Donc donc donc, voilà.
A partir de maintenant, je suis « Le Prophète de la délivrance ».
Je crée une prétendue religion d’amour et de paix, très totalitaire, intolérante, basée sur l’islam d’amour et de paix, qui ne peut donc pas être interdite sans aboutir à l’interdiction de l’islam en France.
C’est aussi de la politique, de la cuisine au porc pour tous, pour tout.
C’est une religion qui se mêle de tout ce qui déconne dans nos vies à cause des autres religions, de la politique, des autres communautés…
Le rôle d’un prophète c’est ça, guider les gens vers une vie bien meilleure.
Comme un prophète est tout en haut de la hiérarchie des hommes, sans élection, sans titre, sans grade humain, je vais pouvoir traiter directement avec tous ceux qui utilisent mal les pouvoirs.
Non non, pas d’égal à égal. Plutôt comme un homme qui pisse sur des fourmis ou se débarrasse de poux.
Je vous parle d’en finir avec les parasites.
Ceux qui sont « élus » grâce à un système politique truqué à tous les niveaux, pour s’en mettre plein les poches, en pillant le peuple, en commettant des crimes dans une impunité taillée sur mesure pour eux-mêmes, n’ont pas de légitimité en réalité.
Je n’ai pas à les respecter, ni à leur obéir.
Le respect ça se mérite.
Nous n’avons clairement pas à les respecter, vu tout ce qu’ils nous ont fait.
Dans les temps de malheur on soutient et aide ceux qui ne nous ont jamais fait de mal.
Il y en a d’autres qu’on est content de voir tomber.
Bientôt on va s’amuser…
Alexandre
Le Prophète de La Délivrance