Une grande manifestation est prévue pour le 26 janvier à Paris.
Un jour de colère pour rassembler tous les groupes désunis, qui ont un besoin impératif de changement, pour pourvoir survivre, pour sauver leurs emplois, leur identité, leur avenir.
Pour beaucoup, qui n’ont pas réfléchi à d’autres moyens de s’exprimer, cette opportunité va se transformer en piège.
C’est tellement prévisible.
Ils vont encore aller se faire parquer derrière des grilles infranchissables anti-émeutes de 4 mètres de haut, dans des rues sans cibles stratégiques, à devenir eux-mêmes encore une fois des cibles pour des milliers de matraques et de poison que le gouvernement avait trouvé trop inhumain pour merah.
Ca va être un carnage.
Au delà du piège, remarquez surtout le changement de ton dans les appels à manifester.
Il y a quelques mois c’était des promenades pour bisounours en tee-shirts pastels à la con, qui se croyaient trop forts en signant à 700.000 une pétition jetée aux ordures le jour même de sa réception, par un seul homme.
Et hop, dans vos culs.
Maintenant, il est question de colère.
Un moteur fort, qui entraine rapidement des destructions et des punitions.
Un des sentiments qui a le plus de mal à être contenu, et qui va avoir des conséquences si les mots justes sont encore ignorés.
La manifestation est annoncée pour le 26 janvier.
Splendide.
Il est temps d’en profiter.
Mais pas en vous transformant encore en cibles, le crâne en sang, et les yeux brûlés par les gaz.
Par contre, la volonté de quelques uns d’agir en force peut être utilisée très efficacement. Pour ne plus être ignorés.
Et avancer plus vite, vers l’intérêt commun.
Savez-vous ce qu’est une diversion ?
En combat, c’est le fait de porter intelligemment une attaque non destinée à la victoire, pour que l’ennemi protège en force cet endroit là, en laissant le champ libre ailleurs, pour lui faire énormément plus mal avec peu de moyens.
Donc, l’attaque de diversion, des milliers de gens en colère nous l’offrent sur un plateau.
Ceux qui le veulent vont pouvoir utiliser quelques ressources, quelques bonnes volontés, des envies d’agir pour viser des cibles stratégiques.
Un minimum d’investissement pour un maximum d’efficacité.
Dans les révolutions, envoyer toute une foule de milliers de gens faire couler le sang des deux côtés pour prendre un bâtiment symbolique du pouvoir est d’une connerie incroyable.
Chez nous, les malheureux forcés de défendre les lieux de dictature sont des français, avec une famille, comme nous tous,
qu’ils essaient de faire survivre bien avec à peine plus que le smic.
Ils sont seulement là au milieu.
Ce n’est pas un tas de pierres qui fait l’âme d’un bâtiment. C’est les gens qui y vivent.
Pourquoi attaquer un bâtiment près de milliers d’hommes en armes ?, alors qu’il est plus simple et terriblement efficace de faire pression sur son personnel, un par un, aux moments où il est facile d’agir, sans violence non contrôlée, en faisant une démonstration de force bien persuasive.
Pas besoin de destruction, de brûler tous les bureaux du PS même si ça me plairait beaucoup.
Je crois (c’est seulement ma conviction personnelle), je crois que le temps n’est pas encore à la destruction. Rien n’est encore près, politiquement, socialement, pour l’après.
Il ne s’agit pas de casser pour être encore pire dans la merde après avoir mis en place des crétins violents incapables de se contrôler.
Il s’agit d’améliorer nos vies.
C’est bien ce que vous voulez aussi, que nous voulons tous, non ?
Il faut encore quelques mois, pour que tous les mouvements commencent à faire autre chose de plus constructif que d’agiter des banderoles et gueuler dans des manifs annoncées longtemps à l’avance, pour que la dictature s’y prépare.
Ne soyez pas naïfs.
Tout est sur le bon chemin, mais il n’est vraiment pas encore temps de risquer de perdre des éléments motivés et fermement décidés à agir.
Perdre des chefs maintenant ne ferait que ralentir encore et toujours la venue du bon changement.
Je n’ai pas de pouvoir sur vos propres actes, mais je vous conseille simplement de ne pas faire de choses illégales, pour le moment.
C’est vous qui décidez. C’est votre vie.
Vous voyez ce que ça donne d’avoir fait confiance à des inconnus pour toutes les choses essentielles et importantes. C’est un désastre complet.
Donc, il est normal de commencer à penser à agir selon vos propres choix.
Je vous dis seulement ce que je ferais, moi. (Si j’étais coincé à Paris dans votre saloperie de ville invivable, gérée par des islamophiles francs-maçons pédés qui ont dépensé tout votre fric et vous ont endettés à vie pour des défilés avec des plumes dans le cul et des fêtes islamiques de rupture du jeune dans vos mairies laïques).
Je repèrerais très tranquillement toutes les cibles traitres, faciles à prendre, sur des cartes.
Je me documenterais sur internet, tranquillement dans mon lit, sous mes deux couettes parce que ma chambre n’est plus très bien chauffée maintenant que ça coûte un bras. Chez vous aussi c’est pareil ?
Je regarderais simplement par exemple les infos légales, les horaires des lieux, les noms des dirigeants, leurs photos de famille sur facebook, la couleur de leur véhicule, tout ça…
Et je ne m’en servirais pas pour nuire.
Le 26 janvier, pendant que presque toutes les « forces de l’ordre » seront occupées à encore mettre en sang la tête des français avec des milliers de coups de matraques, dans des pièges tendus entre des grilles infranchissables de 4 mètres de haut,
j’organiserais plein de promenades entre amis vers les bureaux, les domiciles, les entreprises, les écoles,… des nuisibles au pouvoir.
J’enverrais une petite nana trop mignonne sonner à la porte, et quand la grille est ouverte, 15 hommes avec un visage plein de haine et de colère à peine contenue s’engouffreraient dans le bâtiment.
Pas pour détruire.
Pas pour combattre.
Juste pour une démonstration de force.
Pas besoin de menacer quand la différence de force est plus qu’évidente.
Une promenade pacifique pour remettre une fleur fragile en mains propres,
et surtout une jolie carte avec un mot doux, parlant très simplement, directement, de manière courte, de ce que vous attendez du fonctionnaire, ou du « journaliste », ou du « juge », du « préfet »,…
Avec à la fin une formule de politesse très courtoise.
Probablement quelque chose du genre :
« …
Nous espérons que vous utiliserez votre pouvoir pour permettre un dénouement paisible, respectueux de tous, pour l’intérêt général.
Nous savons tous où vous trouver et nous reprendrons contact avec vous pour faire le point nécessaire sur l’avancement de ce douloureux dossier.
Veuillez agréer, l’expression de nos meilleurs sentiments militants ».
Voilà.
C’est ce que je ferais personnellement, si je n’étais pas juste un petit homme passionné par les énergies libres, la sécurité de citoyens honnêtes, le jardinage et les petites abeilles qui pollinisent mes tomates bio.
Si j’étais en train d’organiser l’air de rien la cohésion de 60 millions de français honnêtes pour qu’ils se débarrassent en un clin d’oeil des quelques traitres qui détruisent la vie de tous,
pour pouvoir expulser tous ces millions d’étrangers qui VOLENT le travail de millions des nôtres, qui nous obligent à payer tous les soins gratuits pour eux, mais payant pour nous, ainsi que le logement, etc…
Si j’étais en train de profiter d’internet pour inciter les gens à agir en sortant de ce système destructeur qui rend tous les peuples malheureux,
pour leur apprendre que les seules solutions ne sont pas du tout dans les pétitions de merde de 700.000 naïfs dont un seul traitre (qu’il faudrait punir prioritairement), peut se servir de papier cul en riant, le jour même de sa réception…
moi c’est ce que j’inciterais à faire.
Pacifiquement.
Juste une démonstration de rapport de force, pour aider à réfléchir mieux, pour le bien de tous.
Je ne prendrais pas le risque de sacrifier pour le moment un seul patriote résistant, dans une action illégale.
Ca serait perdre un moteur inestimable, des semaines ou des mois trop tôt pour avoir été efficace.
C’est clair que ça me démange d’en découdre.
Par exemple pour tous ces putains de « chances pour la France issues de la belle diversité enrichissante », qui ont brûlé encore 1070 voitures de citoyens, sous la protection du gouvernement qui a interdit à nos défenseurs d’utiliser leur flash-balls, et de regarder nos pompiers se faire lapider dans des traquenards sans intervenir.
Oh! putain ce que j’aimerais détruire à coups de masses, de pieds de chaises et de bidons d’essence toutes leurs voitures et leurs biens personnels, pour leur apprendre immédiatement la valeur de leurs actes et qu’ils saisissent bien le poids de la leçon, eux précisément eux, pas « on peut rien faire c’est personne » mais eux, précisément, et tous les connards de sacs à merde qui pourraient être tentés de nuire à mon peuple, ou de protéger les racailles impliquées dans 180 crimes et toujours toujours en liberté.
On peut même dresser des chiens.
Ces créatures sont d’après la loi, aussi intelligentes que nous. Ca doit donc pouvoir être éduqué pour ne plus se faire mordre tout le temps. Surtout qu’on est obligé de les nourrir, les loger, les soigner,…
nettoyer leurs merdes et leurs milliers de voitures brûlées depuis trente ans, c’est devenu insupportable.
Mon profond désir de justice, de vraie justice, voudrait ramener l’ordre presque d’un claquement de doigt, en quelques semaines, mais … il n’est pas encore temps.
Si j’étais du genre à conseiller les patriotes, tranquillement devant mon écran, je leur dirais d’avoir encore un peu de patience.
Quand 1000 français sont privés de leur voiture et que le ministère de l’intérieur, celui de la justice, le président, les associations racistes subventionnées, les « journalistes », les « juges », sont tous occupés à s’acharner sur la liberté d’un seul comique anti-système,
c’est phénoménal comme la colère rassembleuse monte en puissance.
Le manque d’écoute donne à toujours plus de gens l’envie d’agir par eux-mêmes.
Parlez-en.
Simplement.
Autour de vous.
En achetant le pain.
En faisant vos courses, en regardant les prix délirants, dans la file d’attente devant le tapis roulant devant la jolie caissière payée au smic qui doit maintenant encore sortir deux mois de salaire de plus en impôts et perte de pouvoir d’achat, de pertes d’aides, pour une politique de destruction de sa vie.
Testez la température.
Voyez sur qui vous pourrez compter, et qui il faudra écarter.
Pareil sur vos réseaux sociaux préférés, ceux sur lesquels vous êtes à l’aise.
Sur les forums de vos sites préférés.
Sur les tweets, les sms, pas que devant des ordinateurs.
De plein de manières et sur plein de supports différents.
Surtout que des sites internet peuvent disparaitre du jour au lendemain, pour des tas de raisons différentes. Par exemple :
panne de disque dur du serveur,
réseau détruit sur plusieurs communes parce que des pauvres roms ont encore emprunté 15 kilomètres de câble en cuivre pour se chauffer au plastique dans leurs centaines de bidonvilles installés aux coins de nos rues par des « élites » si bienveillantes et compétantes,
… ou pour des coupures de courant comme il arrive de plus en plus souvent rien qu’à cause du changement climatique inquiétant,
piratage,
censure très abusive de la part d’un putain d’hébergeur qui va le payer très cher et qui va faire faillite, et dont toutes les prochaines entreprises feront faillite aussi, étiquetées définitivement sur tout internet comme appartenant à des traitres,
décision de « justice » faisant fermer un domaine internet qui sera surement recréé instantanément dans la foulée à partir d’une des sauvegardes éparpillées sur internet dans divers pays, juste en ajoutant le chiffre 2 dans le nom de domaine et en mettant en valeur immédiatement le nom du « juge » et de ceux qui l’ont aidé d’une manière ou d’une autre,…
En ce moment, je suis convaincu que le meilleur choix est d’agir pacifiquement.
Juste en commençant à rejoindre plusieurs réseaux différents, sur des supports différents.
Eventuellement, envoyer à ses amis de confiance des copies de textes utiles, ne contenant rien d’illégal, surtout maintenant que le gouvernement français s’est autorisé à épier tout ce que vous écrivez, diffusez, tout ce que vous dites au téléphone,…
Copiez-collez, envoyez, partagez. Mais seulement de l’utile, pour ne pas noyer les informations et qu’elles restent efficaces.
Peu d’action, peu d’investissement, mais un maximum d’effet, inarrêtable.
Copiez…
Toutes les sources sur internet peuvent disparaître, pour plein de raison. Pas forcémennt pour faire taire, mais parce que rien ne dure éternellement.
Sauvegardez les textes qui vous inspirent. Diffusez-les à vos proches que vous aimez.
Pareil pour les vidéos, les images…
Et c’est bien de sortir de votre déprime pour commencer à parler plus aux gens dans le monde concret, à voir des vrais sourires, à tisser des liens,
C’est bien aussi.
C’est complémentaire et essentiel.
Ce qui vous voyez sur un écran, ou dans un livre, si ça ne reste que du blabla virtuel, ça ne sert à rien. C’est du vent. Comme les paroles des politiciens carriéristes en périodes électorales.
Vous valez mieux qu’eux, non ?
Une parole, c’est de l’honneur. C’est plus que de l’or. Moi c’est que je ressens.
Moi, là, tout à l’heure, je vais parler à des caissières jolies, dans un magasin bio que j’aime bien.
Au fait, en parlant des caissières… vous aviez déjà remarqué comme des gens simples ont souvent un énorme pouvoir sur nos décisions ?
Les caissières croisent en permanence des gens, comme vous et moi, pas un président des bisous et de la petite blague, ni un premier ministre franc-maçon qui utilise 42 de nos gendarmes pour protéger une seule de ces putains de maisons, qui pourtant d’après ses déclarations de patrimoine ne vaudrait presque rien, et surtout pas l’investissement d’autant de nos protecteurs détournés de leur envie d’être utile pour la sécurité des gens.
Les caissières jolies, elles parlent beaucoup pour s’occuper. Elles disent des choses simples que beaucoup de gens écoutent, en plus d’être un plaisir des yeux.
C’est bien de parler aussi sans passer par un écran, ou les sourires sont pires que dégueux :
(-: {-; d-: (o:
L’année va être exceptionnelle.
Si vous voulez y participer, pouvoir veiller vous-mêmes sur les personnes que vous aimez,
faites en sorte de ne pas vous faire éliminer bêtement.