
Et merde ! ils l’ont fait !!!
Hier on a appris aux informations que les scientifiques ont fait en vrai ce qui est dans le début du film « Je suis une légende » et qui cause l’extermination de l’espèce humaine :
https://www.youtube.com/watch?v=TtcjY1ym8ws
La vidéo diffusée hier par itélé : combattre-le-mal-par-le-mal et une autre vidéo sur DailyMotion.
… hooooo, c’est mignon… une fillette en train de jouer.
Elle a simplement maintenant dans le sang le virus qui a tué des centaines de millions d’humains dans le monde. Une variante mutante expérimentale, en liberté.
On ne peut rien dire, parce que c’est une fillette, hein…
Les survivalistes utilisent beaucoup le mot « Zombie » sans y croire réellement.
Il désigne les gens qui errent livrés à eux-mêmes après une très grosse catastrophe, et qui peuvent devenir un danger pour vous et votre famille :
Ils peuvent vous agresser parce que vous possédez quelque chose qu’ils veulent, ils peuvent vous tuer, vous blesser,…
Si certains survivalistes s’entrainent en se basant sur les films de zombies c’est surtout parce que derrière la fiction et le folklore, c’est un bon moyen de savoir si vos systèmes de protections et de préparations seront efficaces contre une foule hors de contrôle.
Par exemple quand 15 a 20 barbares armés de manches de pioches, marteaux, pistolets à grenailles… viennent pour vous lyncher parce que quelqu’un les a regardés de travers, ça ressemble aux pires scènes face à des zombies complètement cons. Pourtant c’est déjà la réalité dans plusieurs des 800 zones de non-droit rien qu’en France.

Tentative de meurtre, en bande organisée, pour motif racial. Bienvenue en France.
Les films d’apocalypse due aux zombies ou à une contamination par un virus mortel sont un des thèmes les plus courants au cinéma :
28 jours plus tard, 28 semaines plus tard, Contamination, Bienvenue à Zombieland, Infectés, Contagion… des dizaines de films.
Le générique de fin de « La planète des singes : les origines » montre comme dans « l’armée des 12 singes » le carnage mondial que pourrait faire un virus mortel dont le porteur n’a aucun symptôme pendant quelques temps.
A notre époque d’échanges mondiaux, d’aéroports internationnaux, de mondialisation à outrance,… le risque d’une pandémie planétaire n’est pas à ignorer totalement.
On découvre déjà de nouveaux virus mortels un peu trop souvent. Par exemple :
Au Cambodge, 52 enfants morts à cause d’un syndrome pied-main-bouche
Puisque l’on vient d’apprendre que 60% des gosses qui naissent maintenant sur Paris ont des parents africains ou maghrébins, on peut légitimement commencer à s’inquiéter du virus africain mortel Ebola, qui ne cesse de revenir tuer des gens par vagues de terreur depuis 1973.
La période d’incubation sans symptôme peut aller jusqu’à trois semaines. Ce qui est plus que suffisant pour prendre l’avion.
Bon, donc… une bonne préparation à tous les risques implique d’avoir aussi quelques notions pour ne pas laisser des gens vous contaminer.
On a reparlera bientôt dans d’autres articles.
… mais donc, avec toutes les maladies qui existent déjà partout dans le monde, avec plein de souches différentes et de mutations, qui peuvent se répandre hors de leur milieu facilement à grande échelle grâce aux progrès des transports, maintenant en plus les scientifiques mettent des virus mortels mutants dans une petite fille !
La réalité dépasse les pires films d’horreur.
Vous avez vu l’équipement de sécurité autours de son domicile ?
Du blindage sur toutes les issues, les portes, les fenêtres.
Une énorme quantité d’explosif dehors, tout autour. Forcément, c’est un film, il faut que ce soit spectaculaire. Donc ça fait Boum! et boum! et Boum.
… mais même, sans être dans un film, les protections, les périmètres de sécurité se franchissent s’il y a assez de personnes déterminées en face.
Quelles que soient vos protections, elles ne seront pas forcément suffisante contre une attaque en nombre.
C’est toujours une question d’intensité.
J’ai vu un reportage édifiant sur une de nos putains de centrales nucléaires, dans le sud. Comme il y a eu des inondations destructrices pas très loin, une petite barrière anti-inondation pour seulement 80 centimètres d’eau a été installée, longtemps après la construction de la centrale.
Sauf qu’il y a 120 ans, la région a déjà connu des inondations de 1,5 à 2 mètres.
Et que j’ai vu il y a trois semaines lors de l’ouragan Sandy aux Etats Unis, des photos de digues anti-inondations totalement détruites et emportées par les eaux.
Les protections ne sont toujours qu’une question d’intensité. Dès que ça devient un peu trop, les protections, les services d’urgence sont débordés.

Dans les rues, à découvert, à la vue de tous, exposé aux dangers
Quand le héros sort de chez lui pour se ravitailler, il fait profil bas.
Il a une arme, mais il a peur.
On est loin des rambos indestructibles armés jusqu’aux dents à la mode dans les films post-apocalypse hollywoodiens.
C’est un homme. Il est fragile.
Dans une zone de danger, tout peut avoir des conséquences graves.
Il est discret.
Il fait en sorte de ne pas montrer où il habite.
Ca n’est pas spectaculaire, mais ça marche. Faire profil bas, sembler humble, modeste, discret, n’attire pas la convoitise et les risques qui vont avec.
Quand ça va mal, ceux qui possèdent quelque chose deviennent des cibles et les premières victimes.
lesurvivaliste.blogspot.fr/bienvenue-en-enfer
Même si vous croyez être excellent, ou que vous l’êtes réellement, le meilleur moyen de ne pas perdre est de rester loin des ennuis.