Il est temps de faire un petit rappel pour mettre le points sur les i :
Maintenant vous n’avez plus à poser la question « A quand la guerre civile en France ? » puisque nous sommes officiellement en guerre depuis novembre.
Le président et le premier ministre l’ont annoncée après les attentats extrêmement sanglants de Paris.
… Or, depuis RIEN n’a été fait pour que les tueries ne se reproduisent plus.
Les milliers de perquisitions illégales depuis la proclamation de l’état d’urgence ont donné une seule procédure pour terrorisme.
Apparemment l’état d’urgence sert surtout à museler d’avantage ceux qui dénoncent les problèmes volontairement organisés par les politiciens et les financiers, avec le soutien des médias.
Maintenant si un prêtre parle des dangers de l’islamisme, son site internet est bloqué sans jugement grâce aux mauvaises lois. Le serveur hébergeant son site (et ceux d’autres clients de l’hébergeur qui n’ont rien à voir avec ça) confisqué abusivement par des petits fonctionnaires collabos.
Dans ce contexte il est bon de commencer à ne plus faire de concessions à la bien-pensance obligatoire sous peine de procès très coûteux, et de nommer un chat un chat.
Les problèmes n’existaient pas avant que les politiciens les organisent.
Ils ont supprimés nos frontières, ils ont fait venir des millions de musulmans qui ne travaillent pas et sont coupables de presque tous les crimes en France (regardez les statistiques).
Ils ont des salaires, retraites et avantages gigantesques qu’ils se « votent » eux-mêmes entre VOLEURS, sans faire quoi que ce soit pour améliorer la vie de notre peuple, transformé en clochards, en sans-dents ou en proies.
Les « juges » vomissent des jugements où la justice n’existe pas.
Les « journalistes » désinforment et manipulent massivement, dans le sens voulu par ceux qui détournent des milliards d’argent public pour les subventionner.
Les « anti-racistes » et tous les bien-pensants subventionnés travaillent activement à détruire le mode de vie des français, notre culture, et nous poursuivent en injustice si on se défend.
A cause de tous ces gens,
A cause de tous ces gens,
nous sommes en guerre depuis trois mois.
Rien n’a été fait pour empêcher que de nouveaux massacres se produisent. Normal, puisque visiblement (le bilan est très clair) ils agissent pour rendre les crimes islamistes possibles sur notre sol.
Vous pouvez commencer à appeler haut et fort tous ces gens avec le bon mot :
TRAITRES !
Et surtout à l’écrire sur internet, sur les réseaux sociaux, pour qu’il ne disparaisse pas.
Les grands moralistes, les donneurs de leçon, les ayatollahs de l’antiracisme à sens unique, les salopards de fonctionnaires islamophiles qui censurent les sites patriotes sans jugement grâce à l’état d’urgence.
Des collabos.
Même s’ils portent un uniforme ou un titre, ils ne sont que des sales traitres.
Les français(es) qui sont déjà morts, ou déchiquetés, et les dizaines ou centaines de milliers qui vont encore l’être, c’est à cause d’eux.
L’histoire est la même, dans tous les pays, partout dans le monde, quand une dictature tombe, les traitres ont ce qu’ils ont mérité, et qu’ils ont souvent fait aux autres.
Et là on approche de la fin.
Ou plutôt d’un redémarrage.
Le retour de l’ordre, de la morale, de la justice, de la peine de mort des criminels, du bon sens le plus élémentaire.
Depuis une dizaine de jours dans plusieurs pays d’europe les policiers ont commencé à fuir des foules d’honnêtes citoyens en colère qui n’en peuvent vraiment plus.
Le changement arrive partout.
Je le sais parce que je lis les vraies informations sur internet, sur des sites patriotes, pas sur les médias du système.
Sur des sites qui ont été attaqués de plein de manières différentes, piratages, harcèlement judiciaire, sans succès. Maintenant il est soi-disant « légal » de les faire taire en les bloquant sans jugement comme dans une dictature.
Personnellement je m’en fous de me faire censurer. Je peux réinstaller en moins d’une heure une sauvegarde du site dans un pays non-censurable par des fonctionnaires français, loin d’europe, avec un nouveau nom de domaine non-filtré nationalement. Et je gagnerais même encore énormément de visiteurs et de légitimité en profitant de l’évènement.
Techniquement il n’est pas possible d’effacer totalement quelque chose qui a été diffusé sur internet, il reste toujours des enregistrements. Mieux, ou pire, en cas de censure, les gens recherchent, copient et rediffusent d’eux-mêmes encore plus ce qui à été interdit. C’est amusant quand c’est interdit.
Alors en cas de censure soi-disant légale je préfère prévenir : dans la foulée je mettrai tout en haut du site, sur la première ligne, en grosses lettres rouges clignotantes, les noms et adresses des collabos qui auront abimé mon site, ou l’adresse de tout leur service -tous coupables collectivement- si je ne peux pas identifier seulement le collabo coupable.
Je n’irai pas en « justice ». Le problème est justement la justice, la loi, l’état, les fonctionnaires…
Je ne vais pas perdre de temps à croire que les coupables du bordel ambiant vont enfin agir correctement.
Je préfère simplement diffuser des noms, adresses et listes de faits.
C’est tellement facile.
Juste qui a fait quoi, quand, où les trouver.
Alexandre