
Attention : dans cet article je vais vous manipuler. Puisque vous aimez ça.
Comme tout le monde j’ai vu à quel point il est facile de vous faire défiler bêtement par millions dans les rues de vos villes sales en criant « woaaaaaa, je suis charlie ! wouaaaaissss ! »,
alors je vais en profiter pour faire de vous mes esclaves.
Au moins vous serez dehors pour faire des choses utiles.
Pour changer.
Puis pas seulement vous : je vais aussi me servir de toute votre famille, en commençant par les petits, puis vos amis, vos collègues, vos flirts, vos déjà presque ex, toutes les personnes qui comptent pour vous et avec lesquelles vous aimez passer du temps.
Je vais vous pousser dans le sens que j’ai décidé pour vous et vous allez vous salir les mains avec moi sans que je ne vous verse un centime.
Je sais faire ça, c’est très facile. Je vais vous montrer comment le faire aussi.
C’est les mêmes principes que pour publier des pages plus lues que beaucoup de journaux de presse écrite subventionnée, sans jamais avoir dépensé un centime en publicité,
pas comme les médias qui brassent des milliards pour vous faire gober à force de répétitions polies et dégoulinantes de bien-pensance que des choses nuisibles pour tous seraient utiles, bonnes et saines.
Mon truc est seulement de vous parler presque comme si vous aviez un cerveau (même si vous ne le montrez pas souvent, il suffit de voir qui est votre président), et de vous montrer par des exemples très simples que ça marche,
que c’est valorisant, agréable et utile.
Le pire, c’est que vous allez avoir un sourire pendant des heures.
Et je ne vais pas même pas vous verser moins d’un fragment de pièce rouillée d’un centime d’ancien franc. De vous-mêmes vous allez rayonner à salir vos chaussures, vos pantalons, avoir les ongles noirs…
Alors attention, dans quelques lignes il sera trop tard.
Arrêtez de lire dès maintenant tant que vous le pouvez.
C’est votre dernière chance d’aller plutôt visiter les sites du parti socialiste ou d’allumer TF1, confortablement installé dans votre canapé en mangeant de bonnes chips salées et en rayonnant de bonheur devant ces actualités merveilleuses de gens comme vous qui se rassemblent pour régler efficacement le problème des meurtres islamistes en agitant des cartons « je suis charlie ».
…
Bien.
Je sais que tout le monde est toujours là à attendre la suite.
Forcément.
Vous avez besoin de solutions.
Votre quotidien devient tellement sinistre, vous êtes déjà les esclaves des pleurnichards politiques qui vous piquent tous vos sous avec des dizaines de nouveaux impôts pour loger, soigner, nourrir et payer des centaines de milliers d’envahisseurs musulmans chances pour la France,
vous déprimez,
les membres de votre famille et vos amis tombent au chômage grâce à cette europe merveilleuse,
de moins en moins de gens ont les moyens de se payer des loisirs, vous restez dans votre coin à ruminer des idées noires et vous sentir inutile, vous en avez marre des choses sans aucun sens, vous avez l’impression de n’avoir de pouvoir sur rien, de ne plus faire grand chose de valorisant, vous ne voyez plus que le côté à moitié vide du verre, et patati et patata.
Snifffff…
Donc ça vous plairait des loisirs gratuits, du sport doux en pleine nature, à respirer du bon air, qui sent la sève des pins, l’odeur de la terre,
avec le chant des oiseaux,
l’impression de faire des choses utiles à vous-mêmes et à toute la communauté ?
Parler et vous amuser en rencontrant des gens,
rassembler des bonnes volontés qui agissent dans votre sens.
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https://www.youtube.com/watch?v=IEexx5BR5eY
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Pas de pression.
Pas de contraintes.
Pas de charges, de taxes, d’impôts, d’impôt sur les impôts et d’impôt sur les impôts des impôts.
Que des choses sans l’argent qui nous tue.
Regardez, c’est pas un secret, ça fait déjà deux ans que je vous en parle. C’est toujours le même principe.
La nature nous donne tout.
Regardez la photo :
Vous pouvez vous approcher, ou cliquer dessus pour agrandir, ça ne va pas vous mordre.
C’est des glands, déjà germés.
Une petite poignée après l’autre, au hasard des rencontres, j’en ai finalement ramassé une grosse centaine l’année dernière en janvier, février, mars, aux bords des routes.
Il y en a partout. C’est gratuit, sans taxe, sans TVA, sans charges patronales ou salariales, sans CSG, sans rien.
Il suffit de se baisser.
La nature nous en donne autant qu’on veut.
Que des déjà germés, pour ne pas perdre de temps à planter les stériles.
Un petit peu de terre et/ou de terreau, dans des gobelets avec des trous en dessous pour évacuer le trop plein d’humidité.
99 centimes les 100 gobelets, réutilisables deux à trois ans.
Moins d’un euro pour donner des chances à 100 plantes.
Les glands qui germent tombés sur le goudron des routes ne donneront pas d’arbres.
Quelques cagettes en plastique récupérées gratuitement le soir devant les commerces de magasins de légumes, facilitent tout : le rangement, l’arrosage et le transport…
Ca ne craint rien.
En plus d’être jetable, du déjà jeté recyclé, ça ne craint pas l’eau ni de rester trois ans dehors au froid, au soleil, sous la pluie…
Pas besoin d’interminables précautions. On peut arroser plusieurs cagettes en moins d’une minute.
C’est empilable, donc ça ne prend pas de place.
On peut avoir sur la surface d’une serpillère des milliers de plantes pour quelques euros de gobelets.
Les étiquettes peuvent aussi être faites gratuitement avec un bout d’emballage en plastique alimentaire blanc, du papier de verre pour le dépolir, une paire de ciseaux, un crayon ordinaire et un petit bout de fil de fer.
Deux arrosages par semaine et très rapidement on obtient ça :
C’est quasiment sans entretient, en dehors de deux minutes d’arrosage par semaine.
Et après les grosses chaleurs trop sèches de l’été, au début de l’automne, une saison où la pluie tombe souvent, on peut mettre en pleine terre.
Vous n’avez pas forcément besoin d’aller loin.
Si par exemple près de chez vous des collines ont brulé récemment, que le nouveau paysage vous rend triste, la place est toute trouvée.
Vous pouvez refuser de laisser s’installer un désert.
Un sol sans plante, qui perd sa fine couche fertile à chaque pluie.
Une zone morte, sans petits ni gros animaux.
Alors que c’est tellement simple.
Pas besoin de budget.
Il suffit d’un peu de temps.
Même la main d’oeuvre peut être gratuite.
Sur les sites de loisirs ou dans les évènements des réseaux sociaux, il est facile de bien s’entourer.
Les gens adorent ce genre de sorties originales et utiles.
Ca change des randonnées interminables de dizaines de kilomètres juste pour tourner bêtement en rond.
Là, on marche très peu. On prend le temps d’admirer les plantes, de respirer l’odeur du vent, d’écouter le silence, de voir voler les papillons, d’apprendre aux gamins comment faire pousser des arbres.
C’est bien les arbres. Ca sert à fabriquer des lits pour être confortablement installé quand on regarde frauduleusement sans payer des vidéos sur youtube sur une tablette wifi cancérigène.
Ca sert aussi à faire les cercueils des fils de putes qui vous gouvernent et qui vont bientôt être pendus par le cou à des branches.
Les arbres, c’est mieux qu’un désert.
Bon, peut être que vous pouvez parler des arbres différemment aux gamins.
Du moment qu’ils s’amusent, c’est bien.
En faisant un petit trou, vous pouvez leur dire que l’avenir n’est pas forcément un bac +7 puis trois ans de chômage, puis un départ définitif pour l’étranger.
Vous pouvez leur montrer qu’avec quelques personnes de bonne volonté, en s’amusant, on peut planter sans se fatiguer une centaine d’arbres en une heure, chacun en faisant un tout petit peu.
Des solutions existent, mais les « chefs » ne les ont pas.
Si tout le monde vient avec une ou deux bouteilles d’eau, personne ne doit s’épuiser à porter des bidons de dizaines de litres.
Pas besoin de se tuer à la tache.
Il suffit de laisser le temps au temps.
Les choses se font naturellement quand c’est leur moment.
Pas besoin de construire des usines pour fabriquer des robots en plastique pour équiper de matériel ultra-haut de gamme des travailleurs capables de faire boire des ânes.
Quand l’âne à soif, il boit.
Les petits arbres poussent lentement.
Pas besoin de milliers d’heures de main d’oeuvre pour reboiser des forêts brûlées.
Il suffit de quelques petits trous faciles à faire, d’un peu d’eau, puis de laisser le temps au temps.
Des centaines d’espèces de plantes, de rongeurs, d’oiseaux, d’insectes, de petits lapins, reviendront d’eux-mêmes habiter les lieux, fertiliser les sols avec plein de bonne merde et polliniser les fleurs et les arbres…
Tout le monde est capable de faire des choses simples, non polluantes, non destructrices, utiles à tous.
On peut agir dans l’intérêt collectif en faisant des choses pour soi-même.
C’est facile.
Il suffit presque juste de le vouloir.
Les glands ont commencé à germer.
Pendant les prochains mois vous en verrez souvent par centaines si vous regardez où vous mettez vos pieds.
Peut être qu’au lieu de les écraser, vous pourriez leur donner plus de chances…
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