J’ai une solution simple à presque tous les pires problèmes des humains partout sur la planète, actuellement.
Sérieusement.
Comme par exemple le fait qu’1,7 milliards de personnes n’aient pas accès à l’eau potable, ou pour créer des centaines de millions d’emplois partout dans le monde pour résoudre le chômage de masse, en rendant partout inutile l’émigration économique, ou aussi pour remplacer le pétrole qui s’épuise, comment diminuer le besoin en électricité nucléaire, ou comment transformer les milliards de tonnes de déchets plastiques qui asphyxient nos océans en matière première pour construire des machines utiles qui vont permettre de recycler le plastique pour dépolluer notre monde…
Vraiment.
Je ne suis pas un politicien qui organise traitreusement les problèmes pour prétendre les résoudre (comme toujours avec plus de taxes), en se donnant le bon rôle devant les caméras.
En fait je ne suis pas non plus comme les millions de charlies qui se rassemblent pour pleurnicher dans la rue après un attentat mais ne font rien pour que ça ne se reproduise plus.
Ni comme les millions qui ont perdu leur temps à signer des pétitions contre la soi-disant « loi » pour légaliser le « mariage » contre nature.
En fait je ne suis simplement pas capable de décrocher un téléphone pour pleurnicher pendant des heures avec tous les amis, comme les gens « normaux », et c’est ce qui change tout.
Regardez cette image :
En quelques mots ça signifie que je suis biologiquement programmé pour être plutôt associal et pour chercher tout seul des solutions pour faire les choses moi-même sans avoir à attendre que les charlies se décident enfin à bouger.
C’est plutôt cool pour un survaliste d’avoir des tendances asperger.
On dirait que le destin fait bien les choses, souvent.
Ca aurait été un gaspillage si j’étais né musulman, n’ayant le droit de lire qu’un seul livre qui ne contient presque rien, alors que ce qui occupe le plus clair de mon temps est la recherche obsessionnelle d’informations, en croisant des milliers de données à priori sans rapport dans lesquelles je perçois des schémas.
Une énorme partie des inventions qui ont fait faire des bonds gigantesques dans l’évolution de toute l’humanité sont sorties du cerveau de quelques hommes blancs occidentaux avec une forte tendance asperger.
Tenez, Graham Bell, Thomas Edison étaient autistes aspergers. Ils ont inventé le téléphone ou l’ampoule électrique, par exemple.
Rien que pour l’ampoule, il a fallu 10 000 tentatives différentes avant de réussir. Cet investissement personnel démesuré est caractéristique.
Einstein était parait-il un autiste de haut niveau. Il lui a fallu de nombreuses années de plus que tous les autres gosses autour de lui pour enfin commencer à simplement parler.
On voit ce qu’il est devenu. Une star des livres d’histoire.
Il a permis au monde d’avoir l’énergie nucléaire pour faire fonctionner les ampoules, avoir de la lumière sans effort, juste en cliquant sur un bouton.
En partie grâce à lui presque toute l’humanité ne cherche plus l’autonomie énergétique et verse une rente à vie aux quelques uns qui possèdent les centrales énergétiques et qui décident de doubler doucement le prix tous les dix ans sans que vous ayez votre mot à dire, puisque vous êtes totalement dépendants.
En partie grâce aux innovations de son cerveau si brillant, la terre est remplie de milliards de tonnes de déchets nucléaires radioactifs jusqu’à la fin des temps, tellement abondants que pour vider les cuves du fluor radioactif impossible à stocker à un coût raisonnable, vos maitres nous le font boire dans l’eau « potable » comme un complément alimentaire « pour ne pas avoir de caries »…
Si si. Vous les gens « normaux » mignons charlies, vous gobez tout. Il suffit qu’une personne avec un niveau de hiérarchie sociale vous dise que le ciel est vert pour que les trois quarts d’entre vous l’acceptent.
Et l’autre quart prend des psychotropes légaux pour ne pas réagir au fait qu’un ciel vert n’est pas normal.
Regardez ce que vous avez comme président.
Regardez ce que son gouvernement nous fait, tout le temps. On est en dictature et vous votez encore pour eux.
Vous signez des pétitions et ne bougez pas quand vos biens sont pillés.
Vous trouvez que vous êtes vraiment « normaux » ?
Vous semblez plutôt totalement déficients.
En fait c’est quoi votre excuse pour tout laisser détruire, salir, ne pas agir ?
Vous n’avez jamais été obligés de vous endurcir en faisant plus d’effort que les autres en devant lutter aussi contre vous-mêmes pour faire des choses qui à vous semblent faciles ?
Vous avez eu la malchance d’être nés « normaux ».
Donc vous avez un handicap, vous ne pouvez pas agir comme vous en rêvez si avant une hiérarchie ne vous en donne pas la permission.
Je crois que vous avez un besoin vital des quelques personnes qui osent, pour vous remettre dans le droit chemin et vous empêcher de vous suicider en continuant à pousser tout le troupeau de moutons du haut de la falaise.
Bhèèèèèèèè,
pof !
Regardez votre grand espoir politique du moment, comme elle est brillante et emploie son temps intelligemment et efficacement :
C’est lamentable.
Aucun recul.
Une marionnette du système.
Ce n’est pas qu’elle. C’est vous, tous les gens « normaux ». Votre bon sens ne fonctionne pas correctement. Il se laisse facilement perturber par les mensonges et surtout, surtout par votre besoin de rester socialement accepté.
Si la hiérarchie dit que la terre est plate, c’est okay pour vous.
Si le pape vous dit d’héberger chez vous, dans votre famille chrétienne, deux islamistes, « par charité chrétienne », vous trouvez ça normal et généreux, pas du tout suicidaire.
Vous savez que pour le moment vous n’avez aucun avenir enviable.
Vos maitres ont décidé que vous deviez payer pour tout, tout le temps, de la naissance à la mort, et même au-delà, pour tout, même pour ce qui est gratuit.
Ce que vous avez déjà payé une fois, collectivement comme la sécu, vous le repayez une deuxième fois en mutuelle, en jour de prélèvement sur le salaire « par solidarité » pour combler le trou fictif de la sécu, vous payez une part non-remboursée sur les médicaments et tous les soins, etc…
C’est comme ça pour tout, dans tous les domaines.
Vos maitres organisent même des monopoles avec destruction de toute concurrence pour que vous restiez définitivement esclaves malgré vous. Vous n’aurez pas le choix et serez obligés de payer, comme pour le doublement du prix de l’énergie depuis la privatisation « pour faire des économies ».
Vous n’y pouvez rien. C’est dans votre nature. Vous êtes des mammifères sociaux. Vous avez besoin de maitres, de hiérarchie. Vous avez presque tous eu la malchance de naitre avec ce handicap de sociabilisation obligatoire, du souci du qu’en dira-t-on, du besoin d’être dans un groupe énorme avant d’oser bouger, et d’attendre qu’un des moins handicapés parmi vous se décide à prendre la parole ou à ouvrir le chemin.
Même pour parler à Dieu, pour l’écouter, vous croyez que vous devez passer par des pédophiles et des coupeurs de têtes. Vous n’osez pas lui dire « Hé Dieu t’es là ? il faut que je te parle, tu vas rire. Ou pas. Je crois que j’ai une solution valable pour sauver le monde que tu as abandonné… »
Tout ça, votre besoin d’être en groupe et d’avoir des chefs, je vois que c’est mauvais pour vous. Non, mauvais pour nous tous.
(Pof, l’air de rien, après vous avoir fait la morale comme à des gosses, je me fonds habilement dans votre troupeau. Béééh.)
(Je m’adapte à votre tendance puisqu’il est plus simple et rapide de changer une personne que des millions. Vous êtes programmés pour suivre, alors suivez-moi.)
Non non, moi, je ne vous suis plus.
Je n’ai pas envie de vous suivre vu l’enfer que vous laissez créer.
Alors je prends mon propre chemin en laissant la route libre derrière moi, pour ceux qui veulent changer de voie.
Et c’est là qu’on va s’amuser…
Vous n’aurez pas de laisses.
Ca va peut être vous faire bizarre au début parce que vous n’y êtes pas habitués, mais vous allez vous retrouver sans chaine, sans maitre.
Vous déciderez vous-mêmes si vous voulez vous éloigner, explorer d’autres voies, ou revenir sagement mendier à la CAF une aide pour payer votre loyer parce que même en travaillant 105 heures par semaine vous n’arrivez pas, à cause des 60% de charges directes et des centaines d’impôts plus ou moins directs, locaux ou nationaux, que vous êtes obligés de payer pour faire partie de ce monde épanouissant appartenant aux financiers.
Rien ne semble marcher correctement dans la voie que vous avez choisie. Ou que les politiciens, franc-maçons, financiers, ont décidé de vous imposer sans jamais vous laisser le choix. Mais sans que vous osiez refuser de toute façon.
Là je vais vous montrer quelque chose de différent. Réaliser vos rêves impossibles, ça vous plairait ?
Mais attention, ce n’est pas moi qui vais tout faire pour vous, c’est à vous de mettre la main à la patte. Il ne suffira plus d’appuyer sur un bouton. Si vous voulez du bon changement il faudra le mériter.
Je ne vous donnerai pas les choses essentielles contre votre esclavage, comme maintenant.
Je vais juste vous montrer que des choses les plus essentielles peuvent être produites sans payer pour tout, juste en faisant ce que vous décidez, vous.
Le soleil est une énergie gratuite totalement propre qui crée la vie sur notre planète sans polluer, depuis des milliards d’années.
Le rayonnement solaire apporte 99,97 % de toute l’énergie utilisée sur le globe, par les mers, les plantes, les animaux, le climat,… tout.
L’énergie dégagée par les activités humaines à partir de TOUTES les sources fossiles (pétrole, charbon, poison de schiste…) ET par le nucléaire, pour toute la planète, représente seulement 0,007 %.
Quand on voit le bilan au niveau pollution pour aussi peu, il est temps de tout remettre en question.
Le soleil tue aussi très vite, parfois. Allez dans le désert sans eau, ou restez trop longtemps en slip sur une plage a profiter d’hectares de reverbération de la lumière sur la surface brillante de l’eau et vous verrez comme vous cuirez.
Ou même, regardez simplement l’état des récoltes, des jardins. Cette année encore la perte est presque totale pour environ les trois quarts des agriculteurs français.
C’est un carnage.
Deux canicules dans l’été, mélangées à une sècheresse interminable, puis les deux tiers des départements ont eu l’interdiction de puiser de l’eau pour arroser les cultures.
Le soleil tue aussi lentement, sur la durée, mais il est terriblement efficace.
Un seul soleil.
Imaginez ce que vous pourriez faire si vous étiez chacun capable d’avoir la puissance de deux, quatre, six, dix, 20, 100 soleils, pour faire tout ce que vous voulez, détruire ou créer.
C’est ce que je vais vous montrer.
Pour lire le reste de cette page il vous faut garder cette idée en tête :
Appuyer sur un bouton électrique permet d’avoir instantanément des micro-ondes cancérigènes qui vont transformer la nourriture en masse morte, nocive pour le corps, grâce à des centrales nucléaires ou à charbon nuisibles pour toutes les formes de vies sur notre petite planète.
Mais on peut aussi faire cuire des aliments sans énergie polluante, juste en concentrant le soleil, gratuit, illimité.
Ca demande seulement plus de temps.
Pour avoir de l’eau chaude, on peut ne pas la faire couler à trois heures du matin pour faire la vaisselle grâce à un chauffe-eau moderne connecté à un réseau d’abonnement payant, qui puise son énergie dans une centrale nucléaire à 300 kilomètres.
L’eau peut être chauffée pendant la journée grâce à un capteur solaire thermique, et accumulée dans des ballons pour servir même en pleine nuit. Sans nuire à personne.
… sauf à ceux qui ont profité de l’arnaque de la « privatisation » des réseaux d’énergie bradés par les traitres qui vous gouvernent, auxquels vous ne versez plus leur part du butin si vous devenez autonome énergétiquement.
Pour les panneaux photovoltaïques reliés à des batteries c’est le même principe. L’énergie gratuite, non polluante, parfaitement propre du soleil est accumulée pour être réutilisée plus tard, sans nuire à notre planète (donc à nous-mêmes).
C’est un peu comme de comparer l’abattage d’un arbre en deux heures grâce à une tronçonneuse en plastique coloré, avec les 15 ans ou plus qui ont permis lentement de faire vivre et grandir cet arbre, en respectant tous les autres êtres vivants.
Si vous voulez du rapide, tout instantané, sans vous soucier des conséquences, ce n’est pas sur cette page. Retournez à votre vie normale, devant votre télé, avec de la bouffe pour chien micro-ondable, tellement plus du tout naturelle qu’il y a besoin d’inscrire des dates de péremption pour savoir que ce n’est vraiment plus consommable, et n’oubliez pas de prendre vos pilules pour dormir.
Si vous voulez passer à autre chose, c’est ici.
Mais rien donc n’est instantané.
Ce que vous ferez, c’est pour plus tard.
Pour vivre mieux.
Tout ce qui est bien fait demande du temps.
Le temps est justement ce qui semble recommencer à me manquer.
Ma santé est mauvaise. J’alterne des périodes cloué au lit et des périodes à activité très réduite.
Il m’a fallu plus de deux mois pour refaire de façon lisible les seulement quelques dessins qui manquaient pour finir cet article.
Visiblement je n’aurai peut être plus l’énergie ni le temps de vous faire de magnifiques présentations 3D, avec des vidéos de filles en maillot de bain qui utilisent mes machines pour faire la fête sur une plage. Pour la suite il faudra peut être vous contenter de mes gribouillages sur des post-it et des serviettes en papier quand je veux noter une nouvelle idée à ne pas oublier.
Pour les photos moches de prototypes en matériaux recyclés gratuits et laids, je n’ai plus touché à mes pièces détachées depuis déjà environ 6 mois, pour fabriquer le modèle définitif. Donc je ne crois pas que je pourrai encore fabriquer des machines par moi-même.
En attendant que je m’entoure de personnes motivées et compétentes, je vous écris simplement comment le faire vous mêmes, avec des petits dessins.
Je ne vais pas vous noyer sous des années de notes et des milliers de graffitis illisibles, mais juste ce qui est essentiel, sur seulement cette page.
Je rajouterai au fur et à mesure des infos utiles, des photos, des schémas, dans les commentaires en bas de la page, ou en améliorant cet article.
Tout a été testé et vérifié.
Ca marche.
… enfin, ça marche… normalement on ne fait pas un oeuf dur de cette manière. On le laisse dans l’eau bouillante pour qu’il soit cuit uniformément partout.
(Je suis passionné d’énergie libre, pas de cuisine, oups!).
Donc, voilà, à partir de maintenant je vous passe le relai.
Si vous voulez faire de jolies présentations en 3D, des vidéos dynamiques et motivantes, pleines d’espoir, pour inverser la tendance de la morosité et reprendre les choses en main, créer un cercle vertueux,
ne vous gênez pas.
Considérez que tout ce qui est dans cette page est en partie à vous.
Il n’y a pas de brevet, pas de copyright, c’est en licence libre.
Vous pouvez en faire tout ce que vous voulez, en retirer tous les avantages, sans limitation, c’est du 100% libre.
J’ai pu trouver parce que des centaines de milliers de gens partagent gratuitement sur internet les informations qui m’ont été utiles pour avancer.
Il n’y a que deux consignes que j’impose :
– Brevet interdit.
Pas de secret, pas d’exclusivité.
Ce qui est utile à tous appartient à toute l’humanité.
Chaque amélioration doit être librement utilisable gratuitement par n’importe qui.
– Pas de gaspillage ni de pollution.
Les machines doivent être très facilement réparables, pouvant durer des dizaines d’années.
Indifféremment si vous fabriquez même une seule machine, ou des quantités industrielles, elles doivent être composées de petites pièces simples, démontables, qui peuvent être remplacées ou fabriquées facilement à partir de matériaux élémentaires qu’on trouve en abondance n’importe où dans le monde, ou par de petites fournitures de bricolage très ordinaires.
Le but est de créer un cercle vertueux.
Non seulement diminuer la pollution due à l’énergie sale, mais en plus avoir de plus en plus de machines partout sur la planète, qui permettent de réduire de plus en plus fortement les besoins en énergie polluante,
tout en permettant par exemple de chauffer à l’énergie solaire du plastique recyclé pour le fondre en pièces pour avoir toujours plus de machines, pour valoriser les déchets en appareils d’intérêt général.
Inverser la tendance suicidaire collective vers une dépollution.
Ca va marcher pour une raison simple : vos bugs de gens normaux vous poussent à chercher le profit. Presque tout va mal dans le monde à cause de la recherche de profit. Donc autant s’en servir au lieu de subir.
Donc récupérer les déchets dont personne ne veut pour les transformer en milliers de machines en plastique moulé recyclé, c’est une matière première en quantité gigantesque qui ne coûte presque rien et peut enrichir tous ceux qui le veulent.
Le plastique recyclé est un matériaux sympa en bricolage.
On peut le déformer en le chauffant. Il peut être collé, soudé, percé…
Il existe une grande variété de plastiques plus ou moins faciles à découper, plus ou moins souples.
Ou peut superposer plusieurs épaisseurs extrêmement facilement pour avoir des pièces de la bonne épaisseur.
Pareil pour le caoutchouc.
Une chambre a air irréparable de vélo d’enfant peut être recyclée en plusieurs centaines de rondelles souples permettant d’apporter un peu de tolérance à un montage, pour faciliter le frottement de pièces sans bloquage.
Il suffit d’une paire de ciseaux, d’une perforatrice de feuille pour classeur qui traine dans vos tiroirs, dans vos vieilles fournitures scolaires de quand vous étiez gosses.
On peut superposer plusieurs pièces en solide plastique d’emballage pour avoir la bonne épaisseur.
Le plastique est actuellement une ressource illimitée dans nos vies.
Et gratuite puisque c’est théoriquement un déchet pour qui n’a pas appris à regarder.
Si vous avez un budget de seulement quelques euros, vous pouvez même récupérer des surfaces très réfléchissantes comme de vieux cd plutôt que de les jeter, ou l’intérieur d’emballages alimentaires.
Je n’ai pas essayé avec l’emballage très brillant de l’intérieur des sachets de chips, mais à priori ça semble utilisable.
Beaucoup de surfaces réfléchissantes peuvent être employées, faute de mieux.
Ce n’est pas hyper performant mais quand même intéressant de près.
Sur cette photo on voit une borne solaire premier prix à 99 centimes d’euros, qui la nuit tombée éclaire des heures de plus que les autres, avec plus de brillance.
Il suffit d’un morceau réfléchissant de l’intérieur d’un carton de lait et d’un petit bout de fil de fer ou de deux gouttes de colle, pour envoyer énormément plus de lumière sur le capteur photovoltaïque.
C’est tellement simple à faire que je ne comprends pourquoi l’avion Solar Impulse est large comme un Boeing, pour un avion ultra-léger.
La surface est tellement gigantesque que cet avion révolutionnaire ne peut pas voler s’il y a un petit vent.
Le rendement de la transformation de la lumière en électricité avec des cellules photovoltaïques est d’environ 20%.
Mais regardez, une manière très différente d’utiliser une cellule photovoltaïque.
Celle-là est conçue pour encaisser une très haute température. Le rendement grimpe à 70%. Le capteur est minuscule.
Par contre le globe de verre est hors de prix. Et il faut un système complet de haute précision pour suivre la course du soleil…
A mon avis c’est seulement une étape expérimentale, pas utilisable pour produire de l’électricité propre, puisque l’appareil mettra de très longues années à se rentabiliser.
Ce principe général est déjà utilisé couramment un peu différemment pour produire de l’électricité avec d’énormes paraboles.
La minuscule cellule photovoltaïque pour très haute température est remplacée par un système de chauffe d’un circuit d’eau, plus ordinaire qui a très largement fait ses preuves, un peu comme les vieilles locomotives à vapeur.
L’eau dilatée ou carrément transformée en vapeur pousse une turbine et crée de l’électricité.
Il existe aussi des moteurs qui n’utilisent même pas d’eau, juste de l’air chauffé, comme les très simples moteurs Stirling.
Ces paraboles sont des installations très lourdes, gigantesques, souvent sur plusieurs hectares.
C’est toujours pour la même aberration, produire de l’électricité à des centaines de kilomètres de lignes à haute tension, de l’endroit où un abonné au réseau appuiera sur un bouton pour avoir instantanément ce qu’il veut. Donc ca signifie qu’une bonne partie de l’énergie produite est gaspillée par les kilomètres de lignes, les transformateurs et tous les intermédiaires.
Le rendement réel est largement inférieur à ce qui est prétendu commercialement.
Le problème est toujours de produire très loin, pour vous enchainer à seulement quelques producteurs ou un seul, dont vous êtes totalement dépendant, et devez accepter le doublement des prix sur dix ans.
Pof.
Ceux qui arrosent les politiciens corrompus ont tout compris. Tout le peuple français travaille pour eux.
Il existe de très nombreuses variantes de centrales à concentration solaire.
Par exemple là, c’est une tour solaire chauffée à des milliers de degrés, éclairée par des hectares de miroirs plats.
En fait, si vous regardez avec du recul, vous voyez que c’est toujours le même principe de base, que ce soit en seulement quelques tonnes sur support orientable ou en dur construit dans le sol.
Les miroirs forment globalement une parabole et il y a au centre un système qui transforme la chaleur en énergie utilisable.
Les paraboles solaires ont les mêmes défauts que les lentilles de concentration, les loupes.
L’usage est limité parce que la température n’est pas réglable. En quelques secondes des centaines (ou milliers de degrés selon la taille et l’ensoleillement) transforment du métal en vapeur. Impossible de simplement chauffer un biberon avec ça.
L’autre limitation des usages est qu’en plus la distance d’utilisation est fixe.
Une loupe ou une parabole concentre ses rayons à un point très précis.
Ca peut être très pratique pour cuire rapidement à feu vif, pour faire très vite bouillir de l’eau, pour déclencher un feu, pour faire fondre des métaux ou les vaporiser carrément… mais grosso modo, loupes et paraboles sont montées dès le départ pour un usage généralement unique, précis, spécialisé, incapable de s’adapter à d’autres usages.
C’est puissant mais pas polyvalent du tout.
Par contre, justement c’est puissant. Donc il ne faut pas s’en priver.
C’est incroyablement facile à faire.
Vous avez une vieille parabole satellite inutilisée qui rouille tranquillement sur le toit, en faisant trembler la cheminée pour la casser petit à petit à chaque grosse bourrasque de vent ?
Ce n’est peut être pas idiot de la décrocher.
Un petit démontage facile, de 6 ou 8 boulons, un bon coup de chiffon humide…
Et un film de décoration adhésif à effet miroir, dans n’importe quel magasin de bricolage…
Rien de compliqué. Un gosse peut le faire.
Puis pendant de très longues années c’est d’énormes quantités de watts gratuits pour tous les usages nécessitant de la puissance.
Vous voulez allumer un feu sans produit chimique ?
Désherber sans pétrole ni poisons ?
Transformer de la terre ou du sable en matériaux de construction, en objets utiles, en bijoux fantaisie, faire des briques et des tuiles gratuites, des pots…
créer votre emploi,
faire de l’argent à partir des choses gratuites que la nature nous fournit, sans les modifier avec de l’énergie nucléaire ou des sous-produits de pétrole ?
Le problème est seulement que vos maitres vous ont fait croire que l’énergie pour tout devait être payante et passer toujours par eux.
En fait la nature nous donne tout.
La lumière est une forme d’énergie propre, illimitée, éternelle, qui crée la vie et la mort sur notre planète. Gratuitement.
L’hiver dernier j’ai plusieurs fois chauffé ma chambre en dirigeant mes plaques solaires vers ma fenêtre comme sur cette photo trouvée sur le net.
Un seul miroir d’une trentaine de centimètres dirigé sur une fenêtre a fait lever très vite la température des plusieurs degrés de confort qui manquaient dans la pièce.
Plus la surface à chauffer ou éclairer par un reflet est éloignée du miroir et plus la course du soleil se fait sentir.
Pour chauffer une casserole à un mètre on peut poser un miroir qui renvoie le soleil dans sa direction, 20 minutes plus tard il sera toujours en grande partie sur le récipient
Mais si la cible est à plusieurs dizaines de mètres du miroir, en quelques minutes la tache de lumière est déjà loin.
Donc si vous utilisez des miroirs pour faire cuire un nid de frelons mortels sans prendre le risque de vous approcher, sans utiliser de poisons chimiques qui tuent toutes les autres espèces, il faut rester pour surveiller.
Ca peut aller très vite en fonction du nombre de miroirs.
L’avantage des vrais miroirs est la pureté et la qualité de la lumière. On peut envoyer à des centaines de mètres la chaleur du soleil.
Vous savez ce qu’est un laser ?
« Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation », c’est à dire un rayon de lumière dont la puissance a été amplifiée.
En cherchant des moyens d’utiliser la puissance d’une parabole à toutes les distances, pas seulement au point focal, finalement ça donne une sorte de laser, à énergie propre et sans pièce électronique.
La lumière va tout droit et est amplifiée. Au lieu d’avoir juste un petit trait, la taille des miroirs correspond à la surface chauffée ou éclairée.
Il y a quand même une contrainte. Vu que contrairement aux lasers du commerce il n’y a pas de batterie, pas de piles, pas de fil électrique, que l’énergie est la lumière ambiante, ça n’est pas efficacement utilisable quand la lumière est de mauvaise qualité : ciel trop voilé, pluie, brouillard…
La lumière doit être franche. Pas forcément que la lumière du soleil. J’ai vérifié l’idée en lisant sans problème quelques pages en concentrant la lumière de la lune sur un livre.
La nuit on peut aussi mettre la plaque sous un réverbère pour renvoyer à des dizaines de mètres un rayon de lumière amplifiée.
Quand j’ai fait ces quelques photos de thermomètre posé contre un mur à l’ombre, c’était un 21 décembre à 16 heures, donc avec un soleil bas et « peu » puissant.
+ 12 degrés en quelques minutes, avec un seul miroir.
Donc, j’ai continué avec 3 miroirs mais j’ai dû m’arrêter presque immédiatement pour ne pas faire éclater le thermomètre qui ne peut se dilater que jusqu’à 50 degrés.
Donc, je vous préviens, pour ne pas que vous ayez des ennuis à vous en servir pour détruire de l’électronique avant que la guerre civile n’ait enfin commencée :
non non non non non non non, vous ne devez pas renvoyer la lumière de quelques miroirs vers des radars automatiques qui soi-disant sauveraient des vies et qui volent surement 40 millions d’automobilistes français illégalement sur tout notre territoire.
Woui oui, les condamnations automatiques sont illégales et anticonstitutionnelles. C’était l’argument pour faire annuler les (très rares) peines d’inéligibilité automatique pour les politiciens corrompus (miraculeusement) condamnés (malgré une « justice » complice). Chaque jugement et chaque peine doit être adapté au cas par cas pour être légal, constitutionnel.
Ce qui n’est pas le cas des centaines de millions d’amendes automatiques qui ont déjà pillé notre peuple, décidées par les quelques pourris qui détruisent la France, sans jamais avoir eu l’accord du peuple.
Ce n’est pas parce que vous pouvez le faire discrètement depuis n’importe où, depuis votre balcon, en pique nique, depuis la cour de récré, dans un silence absolu, sans déclencher les alarmes anti-vandalisme, que vous pouvez croire vous prendre le droit de détériorer ces machines anticonstitutionnelles qui n’ont jamais jamais été approuvées par notre peuple.
Attention, ne faites pas les cons.
L’électronique d’une manière générale commence à souffrir à peine à 56 degrés. Il suffit de quelques miroirs.
Donc même très involontairement, accidentellement, faites très attention de ne pas diriger accidentellement tous vos miroirs sur des surfaces fragiles.
Le bois et le papier s’enflamment à seulement 230 degrés, ça correspond à vraiment très peu de miroirs sous un soleil de midi.
Vous avez surement déjà perdu des stylos et objets en plastique ou électroniques simplement oubliés une heure dans une voiture garée au soleil avec les vitres fermées.
Alors attention.
Ce n’est pas parce que je compte m’en servir moi-même comme d’une arme incroyable pour punir les salopards responsables de la guerre civile quand elle aura commencée, pour détruire leurs biens personnels, que vous pouvez vous en servir dès maintenant pour nuire à d’autres, détruire les objets nuisibles, dératiser tous les camps de cafards sans vous approcher de leur odeur, rendre inutilisable tout ce qui nous nuit collectivement, comme les antennes relais en plastique et en électronique fragile, inaccessibles au-dessus des toits qui provoquent des douleurs à déjà plus de deux millions de français, tout ça…
Quand je m’en servirai pour attaquer, il n’y aura plus de lois. Pour le moment, l’ordre règne encore un tout petit peu. S’en servir sera puni (et surtout si vous êtes français, blanc, chrétien).
Attention, c’est très très très puissant.
Et pas forcément pour détruire instantanément, en faisant fondre des minéraux comme du sable ou de la terre, de la lave, en concentrant suffisamment de miroirs même à des centaines de mètres.
Ca peut aussi faire fondre déformer et faire s’effondrer des structures métalliques, chauffer au point de faire exploser tout ce qui contient un carburant, même un char d’assaut à 500 mètres du moment qu’il reste immobile plusieurs minutes puisque les blindages ne protègent pas de la chaleur.
Attention.
Tout ce qui est en plastique, peut fondre presque instantanément.
Des portes et fenêtres en PVC peuvent se ramollir en un clin d’oeil pour les ouvrir sans effort.
Je vous dis que lorsque leur guerre civile va enfin commencer, je m’en servirai pour punir et vaincre, faire tout ce qui semble impossible, mais pour le moment c’est la paix.
Oui oui, malgré le nombre de français victimes de « français de papiers » de toujours la même communauté nouvelle venue, on n’est pas encore vraiment en guerre civile. Juste 500 parisiens déchiquetés par ci par là, ce n’est pas encore un chaos de guerre partout presque tous les jours, où plus rien ne revient à la normale.
Donc pour le moment, je vous recommande de ne surtout pas utiliser plusieurs miroirs pour attaquer tout ce qui vous nuit.
Contentez-vous des usages civils, fonctionnels, créatifs… la cuisine, le chauffage, éclairer une fête sur une plage la nuit avec la lumière de la lune, charger vos cancerphones déchargés avec la lueur d’un réverbère, ou parce que le réseau électrique est coupé depuis plusieurs jours à cause d’une catastrophe climatique ou d’un attentat terroriste sur des transformateurs haute tension et qu’il vous faut absolument votre dose de portable, votre cerveau étant devenu accroc aux ondes…
Comment vous croyez que la guerre civile se passera ?
Les grandes villes vont être assiégées comme Sarajevo pendant un an et demi il y a une vingtaine d’années ?
Vous imaginez les dégâts sur toute la population ennemie, sans distinction, si des canalisations de réserves d’eau sont chauffées mais sans bouillir, à environ 70 degrés, pour développer les micro-organismes qui provoquent diarrhées, vomissements, déshydratation, qui tuent toutes les personnes fragilisées par les privations, les maladies, les blessures, l’absence de médicaments…
La nature est plus impitoyable et mortelle qu’un homme avec un fusil.
Comme je suis passionné d’énergies libres je suis obligatoirement au courant de ces choses là pour ne pas provoquer de génocides, involontairement.
Par exemple on ne crée pas n’importe comment un circuit de chauffe pour eau stagnante. Les bactéries comme la legionella pourraient s’y multiplier comme dans un circuit de climatisation sale, et tuer ceux qui respirent juste quelques micro-gouttelettes.
C’est bête pour les musulmans de n’avoir le droit de lire qu’un seul livre, qui ne contient pas de science, quand l’occident envoie des milliers de satellites utiles autour de la terre.
Etre tout le temps en train d’agresser, voler et sauter sur tous les prétextes pour libérer leur haine de ceux qui inventent et produisent tout ce qu’ils utilisent, ce n’est vraiment pas malin.
Le djihad va leur faire mal.
Peut être aussi un avant goût de la chaleur de l’enfer…
Bien.
Pendant que je suis dans un passage où le ton s’y prête, je vous préviens de ne pas utiliser les mauvaises « lois » pour déposer les mots « Lumiplaque » ou « Amplilux » pour votre exclusivité.
Je souhaite que ces noms soient des thermes génériques, un peu comme un frigo désigne une chambre de refroidissement.
De ma part il n’y aura pas de perte de temps en « justice ».
Je vous laisse imaginer ce que je peux vous faire. Presque rien au-dessus du sol n’est hors de ma portée.
Vous pouvez utiliser les mots, mais pas en faire une marque exclusive.
Ou alors vous changez une lettre, ou… tout ce que vous voulez, mais pas d’empêchement pour les autres.
Immédiatement dans les jours qui ont suivis les exécutions des franc-maçons insultants de charlie hebdo, des dizaines de parasites ont voulu déposer l’exclusivité de « Je suis charlie », pour obliger tout le monde à leur verser des millions grâce aux « lois » infâmes.
Bien.
Alors, pour la fabrication :
Je me suis imposé dès le départ l’idée que chaque pièce cassée doit pouvoir être remplacée ou refabriquée par quelqu’un qui ne sait pas lire, et même par un gosse, puisque en réalité des centaines de millions de gosses pauvres travaillent dans le monde.
Donc que des pièces d’une simplicité maximale, et qui peuvent être remplacées par un équivalent avec les matériaux locaux, n’importe où sur la planète.
Ca peut être du métal, du plastique, du bois…
Peu importe.
Quels que soient les matériaux, les principes sont les mêmes.
Au moins un angle droit qui pivote sur ses deux extrémités.
Ca permet d’orienter le reflet de lumière précisément à la verticale et à l’horizontale.
Pendant un an et demi j’ai perdu mon temps a vouloir faire des rotules qui ne coûtent quasiment rien et super faciles à faire, même sans outils.
C’était une erreur.
Ca m’avait semblé une énorme amélioration d’avoir seulement une boule qui pivote simplement elle toute seule dans toutes les directions, plutôt que de devoir apprendre à orienter les miroirs sur au moins deux axes perpendiculaires, mais en réalité ça crée des problèmes.
J’appelle « pétales » les miroirs autour du miroir central.
Quand ils sont tenus par une rotule, ils « tournent » de façon non-désirée sur eux-mêmes et les angles se touchent, se gênent mutuellement, bloquent les mouvements des autres, ne restent pas droits et finalement donnent un aspect général de brouillon raté.
Il faut rajouter plein de pièces pour caler.
Cette rotation indésirable avec des rotules n’est pas un problème si vous utilisez seulement des miroirs ronds, ce qui n’est pas mon cas.
Je cherche à optimiser la place, le rendement, donc a avoir un maximum de surface réfléchissante dans un minimum de place, pour réduire le coût des matériaux et rendre tout transportable facilement pour tous les usages : camping, pique nique, loisirs, réfugiés, sans domiciles fixes, militaires sur le terrain…
Donc les rotules était une erreur intéressante pendant que je faisais des prototypes, mais je ne les garde pas au final et je ne vous les conseille pas.
Je vous laisse fouiller par vous-mêmes partout sur internet pour voir le prix des rotules avec un système de serrage. C’est du délire.
Même la moins chère coûte presque le prix d’une lumiplaque entière faite à la main avec quelques fournitures de base, des outils manuels et une perceuse.
Et il faut autant d’articulations que de « pétales », donc les rotules du commerce sont inabordables, mais c’est plutôt facile à faire soi-même.
J’ai aussi essayé de faire des moulages d’une seule pièce pour fabriquer des rotules de différents matériaux et soit la solidité n’était pas au rendez-vous, soit la matière était difficile a retravailler pour les finitions, soit le prix n’était pas accessible à tout le monde. Je pense par exemple aux résines de moulage vendues en magasins de loisirs créatifs… houlaaaa… la facture devient immédiatement dissuasive.
Techniquement parlant, fabriquer des moules n’est pas compliqué. C’est juste lent, avec toutes les étapes de séchage de chaque partie.
Selon les techniques que vous maitrisez, les matériaux que vous avez la possibilité d’utiliser, comme par exemple savoir fondre des déchets d’aluminium de boites de conserves pour couler vos pièces, ça peut quand même être intéressant.
Un moule permet de reproduire autant de pièces que l’on veut, toutes identiques, plutôt rapidement et avec peu d’efforts.
Le sable du désert peut être fondu en pièces de verre, presque inusables et plutôt solides.
Pareil pour la terre africaine sous un soleil brulant.
Il suffit de 900 à 1300 degrés pour la cuisson des différentes terres, pour fabriquer des moules ou des éléments de construction.
Il y a donc déjà ce qu’il faut sur place, partout dans le monde, pour fabriquer des machines. Il suffit de s’adapter aux matériaux locaux.
Si le matériaux est très lourd, il faut faire des pièces épaisses, pour des machines collectives non-transportables.
Pour les machines très légères en plastique recyclé, là par contre alors, une rotule au centre de chaque pétale semble être une bonne solution.
Vous savez qu’il y a des tas d’ordures de plastiques flottants, qui forment des « continents » de déchets, jusqu’à plus de 30 mètres d’épaisseurs, à plusieurs endroits sur les océans ?
Le plastique ne manque vraiment pas.
D’autant plus que le récupérer est déjà solutionné. Un adolescent a trouvé comme fabriquer des barrages flottants qui utilisent les courants naturels pour récupérer les déchets flottants, et les rassembler dans des barges grâce à un système autonome à énergie solaire.
Oui, il ne savait pas encore que c’était supposé être impossible alors il l’a fait.
Après il reste à recycler le plastique.
Ceux qui croient que c’est impossible à cause du coût voient les plastiques comme des déchets. Pour moi le vieux plastique est plutôt une richesse presque inépuisable dont presque personne ne veut, donc dont le prix est très bas.
Imaginez que vous utilisiez une lumiplaque pour faire fondre du plastique, pour fabriquer d’autres lumiplaques dont vous faites profiter les gens autours de vous. Ceux qui s’en serviront vraiment, pas ceux qui entassent dans des placards.
Non seulement le besoin en énergies sales (nucléaire, pétrole, piles au mercure…) diminue, mais les déchets sont progressivement retirés de l’environnement, chaque fois que quelqu’un récupère du plastique pour faire ce qu’il veut.
En créant même des emplois, pour les gens qui vont se servir des plaques pour eux-mêmes, en fabriquer pour les autres, les réparer, les vendre…
Le plastique est très facile a utiliser, recycler, travailler, de diverses façons, simples pour la plupart.
J’ai recyclé de vieux jouets Lego Bionicle avec quelques coups de pinces et de cutters, pour avoir les petites rotules auto-bloquantes de mes maquettes.
Certaines choses ne peuvent pas être comprises juste en restant au stade du dessin sur papier. Il faut pouvoir manipuler, changer les angles, les distances, les tailles, les directions… voir ce qui bloque, si des pièces doivent être rajoutées…
En changeant de matériaux il y a toujours de nouveaux problèmes.
Le métal épais est épuisant à travailler sans outils industriels. Ca prend mille ans.
Ca ne casse pas mais ça se déforme. C’est louuuuuuuuuurd.
Les pièces mobiles se tordent à chaque déplacement, à chaque souffle de vent, si on n’a pas fait des pièces assez épaisses, souvent impossibles à fabriquer à la main.
Le métal comme matériau principal n’est pas une bonne idée, pour le grand public.
Sauf pour les pièces mobiles, qui seront plus solides, moins déformables et presque inusables.
Il n’y a même pas besoin d’usines énormes ni de matériel industriel pour en fabriquer.
En fait, maintenant je comprends pourquoi il a fallut 10 000 essais pour inventer quelque chose d’à priori aussi incroyablement simple que l’ampoule (une boule de verre, un gaz inerte, un simple filament relié à deux plots électriques).
Thomas Edison disait « Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10.000 solutions qui ne fonctionnent pas. »
J’en suis déjà à environ 670 changements.
Rien que pour comprendre que la meilleure organisation de l’ensemble est d’avoir un miroir central (de taille et/ou de forme différente des autres pour faciliter le repérage et l’utilisation),
tout autour duquel sont fixés les autres miroirs à peu près aux mêmes distances,
il a fallu gaspiller des semaines en ratages.
Pour optimiser les surfaces, pour la meilleure puissance, pour une fabrication simple, pour les particuliers et les industriels, hop, encore des mois disparus…
C’est que franchement, si le but est de dépolluer la planète, est-ce qu’on peut dès le départ accepter un défaut de conception qui implique que pour la fabrication des pièces de base, il faut produire énormément de déchets en découpe.
Les cercles, les figures à 5 cotés, 7 cotés, 8 cotés… c’est énormément de matière perdue sur des planches de bois, des plaques de plastique, sur du métal…
En dehors des carrés, des rectangles et des certains triangles quand ils vont par deux, il n’y a que les hexagones qui n’entrainent quasiment pas de gaspillage à la découpe.
… et encore, sur du plastique fin, souple, facile à découper, ça va à peu près sans gaspillage, mais pour faire un octogone à partir d’un miroir carré, sans outil professionnel de découpe, c’est un carnage.
J’ai jeté trois miroirs sur 4 sur lesquels j’ai voulu faire des modifications, des formes particulières, des trous…
Et quand j’étais tout content de moi d’avoir enfin réussi à ne pas casser un miroir, hop, le vent s’en est chargé peu après.
Le pied n’était pas assez lourd et stable. Une toute petite rafale et hop ! encore un prototype qui se transforme en réserve de pièces pour les essais suivants.
Les adhésifs pour miroirs, ça marche en décoration à la maison, pour fixer contre un mur définitivement immobile. Mais pour fixer un miroir en vrai verre bien lourd sur quelque chose qu’on déplace tout le temps, ou qui vibre a chaque souffle d’air parce que la grande surface fine subit le vent comme une voile, ça ne suffit pas.
Et pof !
Et pof !
Crack !
Et pof !
Aiïe !
Oups…
Vlan !
Tout le temps.
Paf…
Pour comprendre qu’un miroir mobile ne peut pas être collé, soudé, scotché mais qu’il doit être impérativement encastré, il faut avoir raté et raté et raté encore.
Pour comprendre qu’au lieu de couper stupidement tous les angles d’un carré pour faire un octogone puis devoir rajouter un cadre entier difficile a fabriquer à cette forme bizarre, ou remplacer le cadre par de très longs fils de fer,
on peut tout simplement laisser les angles et juste fixer les coins avec quelques courts bouts de fils de fer en un clin d’oeil, je ne vous dirai pas combien de temps ça m’a pris, là c’est tellement idiot que j’ai honte.
Ce prototype se rapproche de la forme finale.
9 miroirs c’est vraiment bien, pour avoir une idée générale de la puissance. C’est 1 + 9, donc 10 soleils, donc juste un zéro a ajouter, sur les chiffres indiquant les watts reçus par les panneaux solaires, en fonction des zones géographiques et des saisons.
Par contre la taille de tous les miroirs doit être presque la même. Pas besoin d’avoir des dizaines de facettes de minuscules miroirs, tous avec des articulations, donc un mécanisme coûteux et lent à mettre en service.
Si le miroir central est d’une taille ou d’une forme légèrement différente des autres, sa tache de lumière sert très facilement de viseur, sans hésitation. On rajoute d’autres tâches de lumière en rabattant dessus autant de miroirs qu’il faut de puissance, pour chaque usage.
Vu la position centrale, un miroir rond et légèrement plus grand facilite l’utilisation, mais aussi la conception. Les articulations et fixations des 8 miroirs autour peuvent toutes être identiques. Pas d’erreur, pas de mauvaise surprise. Une fabrication simplifiée, donc plus rapide et moins coûteuse.
Un miroir central différent des autres, qui sert de viseur.
8 miroirs identiques autour, mobiles, à rabattre chaque fois qu’on veut rajouter plus de lumière-chaleur le jour ou juste plus de lumière la nuit.
C’est un bon chiffre. Si on dirige les neufs miroirs sur une cible déjà au soleil, on arrive à 10 fois la puissance du soleil. C’est plus simple pour les calculs.
En plus du problème des rotules qui ne maintiennent pas les miroirs dans la bonne direction (il faudrait rajouter des cales), cette plaque a deux autres gros défauts, dus à l’idée d’essayer de faire quelque chose le plus léger et transportable possible.
Ca ne marche pas.
La plaque est donc toute plate, facile à glisser sous un lit par exemple, et se pose sur un trépied très léger.
Mais c’est pénible à l’usage.
Le pied est tellement léger et instable sur trois petits points de contact au sol que la plaque est inutilisable quand le vent souffle un tout petit peu.
Quand la plaque n’est pas emboitée sur le pied (juste par une fente, en une seconde), qu’on ne la pose pas à plat mais à la verticale, les « pétales » (les miroirs sur les côtés) se tordent ou se cassent, très facilement sous le poids de l’ensemble.
Il faut impérativement un cadre tout autour, un coffrage solide qui protège tout l’ensemble.
Ce n’est pas compliqué à fabriquer.
En plus sur le capot extérieur on peut éventuellement rajouter un simple grand miroir ordinaire tout plat, pour servir de réflecteur, pour utiliser la plaque ou la parabole même quand la source de lumière ou la cible ne sont pas dans de bonnes positions.
Et il faut impérativement un pied extrêmement stable, bien large, et de préférence lesté.
Ci-dessous un exemple avec le tout premier pied, fait en un clin d’oeil avec des matériaux recyclés.
Là c’est quelques vieux bouts de bois recyclés, gratuits, utilisés pour vérifier les idées avant de passer à mieux.
Pour tester du vieux bois gratuit suffit.
Et si ça marche, il suffit d’un coup de papier de verre et de quelques coups de pinceau pour faire la propreté.
(Du blanc qui rend visible la moindre trace, j’ai l’intuition que c’est encore une idée stupide que vous allez éviter).
Les petites réalisations simples en un clin d’oeil permettent de voir combien il manque de centimètres, combien il faut en enlever, où il faut percer, où rajouter une cale, quelle pièce se tord anormalement…
Même s’il est simplissime à fabriquer, ce pied n’est pas bon du tout à l’usage.
Il est comme une tige au centre d’une fleur, une conception presque aussi simple, sauf qu’une fleur est profondément enfoncée dans la terre, pas ça.
Au moindre souffle de vent, la grande surface plate est ballotée dans tous les sens.
Paf !
Encore.
Donc quelque chose plus dans ce genre là, c’est bon :
Un tréteau qui s’ouvre en deux parties, qui s’étale sur une grande surface au sol.
… mais ça reste léger.
Donc la solution que j’ai retenue et d’ajouter un capot qui sert pour le transport, le stockage, pour protéger la lumiplaque de la salissure, des coups, des toiles d’araignées… mais surtout pour ne pas avoir d’accidents pendant le stockage ou le transport (brûlure, incendie, explosion…) grâce au capot opaque.
Vous vous êtes déjà pris un très méchant coup de soleil ?
Vous n’aviez pas senti que vous bruliez.
Là c’est pire. Dix fois pire. C’est dix fois la puissance du soleil.
Si vous sentez de la douleur c’est que vous êtes déjà brûlé très en profondeur.
C’est une chaleur douce, c’est traitre. Vous serrez blessés avant de sentir la chaleur.
Donc un capot opaque.
Et comme je vous ai parlé tout au début de la puissance impressionnante des paraboles, qui permettent de faire bouillir une grande casserole d’eau en quelques minutes, ça serait bien d’en profiter. Donc, le capot intègre une parabole.
Ca serait un peu comme une valise séparable dont les deux moitiés contiendraient une lumiplaque d’un côté et une parabole de l’autre.
Si le soleil ou la cible ne sont pas dans la bonne position, un gros miroir plat en plus peut permettre d’utiliser quand même les machines.
Eventuellement on peut même se servir des parties non utilisées pour alourdir le pied, à cause de la prise au vent.
Et quand on a plutôt besoin de la puissance de la parabole, c’est plutôt la lumiplaque que l’on utilise comme lest, sur le pied, face contre terre.
Toute la puissance du soleil, pour tous les usages, rassemblés dans une petite machine transportable, qui ne coûte presque rien à produire.
Tenez, je vais vous montrer quelques photos de la fabrication d’un prototype en bois recyclé pour que vous puissiez voir par vous-mêmes à quel point à la base c’est faisable facilement avec presque rien.
Du vieux bois, d’une mini-serre à semis qui partait en miettes, dont quelques morceaux ont été récupérés.
Une équerre graduée, un crayon.
Si toutes les pièces sont de formes simplissimes et standardisées, elles sont réutilisables pour d’autre montages, au besoin avec des petites modifications, un trou supplémentaire, une recoupe, une épaisseur de quelques millimètres en plus avec un bout d’emballage en plastique…
Ne faites pas comme j’en tendance à faire. Au lieu de faire une grande quantité de pièces, faites-en deux et vérifiez que c’est bon, avant de tout faire. Des fois que…
Percer en série sur des longs bois avant de les couper permet de travailler très vite, facilement et confortablement, en sécurité.
Un serre joint qui cale la pièce et hop, toute la rangée de trous peut se faire dans la foulée.
Tenez, regardez ça comme c’est beau.
Une meule en forme de boule pour perceuse.
C’est incroyable. Les industriels fabriquent vraiment n’importe quoi.
A coté du magasin de bricolage, le magasin de loisirs créatifs vend des perles en bois du même diamètre.
Les industriels vendent vraiment n’importe quoi, je vous dis.
Le plus fou c’est qu’il y a toujours des gens pour acheter leur n’importe quoi.
Et voilà, pas besoin de gagner le salaire de valls pour avoir des dizaines de rotules.
Quand la meule commence à être chaude, la surface du bois noircit. Un léger ponçage après enlève la noirceur.
On peut aussi peindre les deux mâchoires de la partie femelle de la rotule.
(Ou en faisant 20 fois plus vite qu’en limant avec une boule abrasive, on peut juste faire de simples trous avec un gros forêt ordinaire. La surface de contact avec la boule sera suffisante).
Il ne faut pas peindre aussi la boule. Peinture contre peinture, le tout serré dans la même position pendant des semaines, ça a tendance à coller, coincer ou à s’arracher.
Ca, c’est une des premières plaques de bois que j’ai utilisées pour les prototypes.
Là aussi c’était une erreur presque dès le départ qui m’a pris un an et demi à corriger.
J’ai voulu passer trop vite à la réalisation, pour tester mes idées, en utilisant ce que j’avais sous la main, sans attendre.
Le seul support dur que j’avais de disponible, pour y coller le miroir central, tous les miroirs articulés autour, et y fixer le pied derrière, était une petite table de chevet en pin qui trainait dehors. Donc, au lieu de commencer à réfléchir en cherchant les dimensions idéales, j’ai limité bêtement ma pensée en essayant de faire ce que je pouvais avec les moyens du bord.
C’est pour ça que les pétales n’arrêtaient pas de se tordre et se casser à l’usage, en déplacement, pendant le stockage…
Dès le départ il aurait fallu une plaque de support solide d’une taille supérieure à tous les miroirs réunis dans leur position finale.
Un essai de fabrication de rotules mâles dans un modèle différent, toujours à partir des mêmes éléments de base qui se trouvent à petit prix dans les bricailleries et quelques pièces en bois simple.
Là, c’est pour avoir les rotules sur un côté des pétales, comme les fleurs. Bin oui, le nom vient de là parce que ça y ressemblait un peu. Je n’ai pas été très créatif sur ce coup là.
On peut très bien sauver le monde en inventant la machine à énergie propre du futur sans forcément avoir à réinventer le dictionère.
Là aussi en fait c’est un demi-ratage.
La place des rotules pourrait convenir sur une plaque légère, et solide, toute en plastique moulé, par exemple.
Par contre que la rotule ne soit pas au centre du miroir apporte beaucoup de forces parasites et de contraintes. Les pétales lourdes en métal, ou avec un miroir en verre épais de 30 centimètres de côtés, ne conviennent pas du tout. Les vis qui tiennent la boule se décrochent rapidement.
Si on colle, ce n’est plus démontable, et de toute façon, la colle c’est… heu… est-ce que vous avez déjà vu quelque chose de lourd, collé, qui ne se soit pas cassé ?
La colle ce n’est pas pour faire les choses une fois pour toute.
Il parait que les nouveaux avions n’ont plus de soudures mais les ailes simplement collées.
Qu’est-ce qu’il tombe comme gros avions cette année.
La fabrication des pétales est aussi simple.
On prend un miroir, on le pose sur une plaque découpable (bois, carton épais, plastique, métal…) et on dessine son contour.
Là c’est des morceaux de contreplaqué de dos de vieux meubles, et d’aggloméré de vieux (façon de parler) meubles ikea de grande qualité très étonnamment déjà cassés pour au moins la troisième fois et plus du tout réparables, malgré la très grande qualité des meubles ikea.
Donc au lieu de les jeter…
Autour du contour du miroir on laisse un peu de marge, pour encaisser les coups à la place du verre, et aussi pour manipuler les pétales sans faire plein de traces graisseuses sur les miroirs.
Quelques trous pour attacher le système d’inclinaison réglable. Dans cet exemple, la partie femelle d’une rotule faite maison.
Deux petits trous à chaque angle de miroir pour faire passer un petit bout de fil de fer pour les fixer plus solidement qu’avec de la colle.
Il ne reste plus qu’à adoucir les angles avec un léger ponçage.
Vous pouvez aussi peindre.
Si vous comptez peindre en clair, en blanc, n’utilisez pas un gros marqueur noir pour faire vos petits traits de repères, hein. Ca vous obligerait bêtement à passer 4 couches au lieu de deux.
Non je dis ça juste comme ça.
Quand toutes les pièces sont faites, l’assemblage ne se fait pas en quelques secondes. Ca prend largement plus d’une heure.
… donc si vous comptez piquer l’idée (gratuite, servez-vous) pour fabriquer des plaques transportables qui transforment la lumière en énergie utilisable et les vendre,
en France vu le prix délirant de la main d’oeuvre il n’est à priori pas intéressant ni compétitif de monter l’ensemble.
Vendre un kit de pièces en sachets, comme les me… euh… les machins vendus chez ikea, semble une meilleure idée.
Voilà. Rien de compliqué.
Mais je suis surpris par les milliers d’heures investies pour arriver à faire quelque chose d’aussi simple, fonctionnel, pouvant être facilement fabriqué, utilisé et réparé par n’importe qui n’importe où sur la planète.
Ca va changer beaucoup de choses.
Jusqu’à présent le solaire photovoltaïque était limité par son faible rendement, de seulement 20%.
Les paraboles et les lentilles chauffaient énormément trop pour être utilisables couramment.
Même les centaines de variations déjà existantes de cuiseurs solaires avaient toutes le même défaut, impossible de régler la température de cuisson.
Tous les appareils étaient encombrants, tous conçus pour un usage spécialisé, ce qui rend souvent l’investissement non-rentable.
Un séchoir solaire pour conserver les aliments ne pouvait pas aussi permettre de fabriquer des objets en céramique, de fabriquer des tuiles, des briques, du verre, faire fondre du métal, recycler du plastique…
Maintenant il suffit d’une ou plusieurs lumiplaques pour pouvoir quasiment tout faire.
Et surtout, aucun ne permettait de changer de distance d’utilisation.
La lumière n’est pas utilisable qu’en lumière et/ou en chaleur.
Est-ce que vous savez ce qu’est un radiomètre de Crookes ?
C’est un appareil ancien de conception extrêmement simple, à l’abri du vent dans une cloche de verre.
Sur un axe une hélice a toutes les faces d’un même sens couvertes d’un matériaux réfléchissant et les faces opposées sombres et mates.
Du côté clair la lumière rebondit, du côté noir elle est transformée en force motrice.
Elle est absorbée par la surface, qui chauffe, qui repousse les molécules d’air autour, et l’hélice est poussée.
Plus il y a de lumière plus l’appareil tourne vite.
Donc imaginez une lumière amplifiée, concentrée, sur une hélice de ce type, en plus grand et plus solide. Sans pièce électronique, transformer la lumière en pompe à eau, en aspirateur, en climatiseur, pour apporter ou enlever de l’air chaud…
Avec des canalisations chauffées d’un côté on peut obtenir du froid de l’autre, pour conserver des aliments, des médicaments en plein désert…
Plus c’est chaud, plus on peut produire de froid.
En fait, plus on augmente un déséquilibre naturel et plus il est exploitable.
Par exemple en chauffant une surface pendant la journée, la fraicheur de la nuit se colle aux parois sous forme de condensation.
Il est possible de puiser de l’eau dans l’air.
Il existe déjà des puis aériens capables de récupérer la rosée, mais le rendement n’est pas très important. En amplifiant le contraste entre la chaleur du jour et le froid de la nuit, beaucoup plus d’air froid sera aspiré par les puis, donc plus d’humidité qui va se déposer.
1,7 milliard d’humains n’ont pas accès à de l’eau potable.
En plus de l’humidité prise dans l’air ambiant, loin de tout cours d’eau, il est possible de faire bouillir de l’eau pour tuer les germes et la potabiliser.
Une lumière plus vive, c’est énormément plus d’UV, donc il est aussi possible de tuer presque 100% des germes dangereux juste en exposant de l’eau en bouteille, sans même la faire bouillir. C’est intéressant par exemple pour potabiliser très rapidement d’énormes quantités d’eau, dans un camp de réfugiés par exemple.
On peut même désaliniser l’eau des océans en la distillant, sans dépenser des ressources immenses en énergie.
Un désanilisateur à l’énergie solaire comme l’Eliodomestico, qui produit environ 5 litres d’eau potable par jour, doit pouvoir assez facilement avoir son rendement multiplié par dix en concentrant le soleil pour accélérer l’évaporation-condensation.
Encore plus fou, on peut tranquillement casser tous les jours les molécules d’eau totalement illimitées sur notre planète, pour transformer H2O en oxygène et en hydrogène qui brûle à 2500 degrés. Une énergie incroyable stockée dans un élément aussi simple.
Jusqu’à présent il n’était pas rentable de dépenser beaucoup d’énergie à casser les molécules pour les stocker, pour faire fonctionner des voitures, des moteurs, souder, chauffer, cuisiner…
mais si l’énergie du soleil devient exploitable tous les jours en quantité largement plus que suffisante pour transformer de l’eau en hydrogène et oxygène, il n’y a plus besoin de centrales nucléaires, de déchets nucléaires, de charbon, de pétrole…
Donc les pays dont c’est la seule ressource ont intérêt à m’empêcher de publier.
Pour ceux qui croient en la théorie du complot, à la disparition des inventeurs des machines à énergies libres…
Pour ma part jusqu’à il y a quelques jours je croyais que les intérêts financiers en jeu actuellement, même s’ils sont absolument colossaux, des budgets de plusieurs états carrément, n’empêchent pas ceux qui ont tout l’argent de savoir que le pétrole sera bientôt terminé, dans une poignée de décennies.
C’est tellement le fond des réserves que partout dans le monde ils cherchent les pires solutions comme le pétrole bitumeux, le gaz de schiste, pour continuer à avoir encore un peu de carburant fossile à vendre, quelles que soient les conséquences catastrophiques pour l’environnement (pollutions des nappes phréatiques, effondrement des terrains, tremblements de terre…).
Le nucléaire entraine énormément trop de nuisances dont le coût réel n’a pas encore été divulgué, l’addition n’est pas encore tombée pour tous.
Tchernobyl et sa zone morte, les dizaines de milliers de français à la thyroïde malade du nuage qui « n’a pas traversé nos frontières » d’après les assassins qui vous gouvernent,
Fukushima, avec tout l’océan autour qui devient une zone sans poisson ni vie,
sans oublier les centaines de tonnes de déchets de fluor impossibles à stocker mais frauduleusement revendus comme complément alimentaires dans l’eau « potable » de ville pour « réduire le nombre de caries »…
Je crois que même les « élites » savent maintenant être allées trop loin, et qu’il est urgent, vital, une nécessité impérative de corriger le tir si ça peut encore l’être, avant l’extermination de tous.
Si tout le monde est mort, personne n’achète les bons iphones à ondes à 800 euros.
Donc j’étais sans souci. Puis ii y a quelques jours, le site a été attaqué d’une force impressionnante. Même les sauvegardes ont été rendues inutilisables. J’ai toujours été plus fort que les pirates, ces 16 dernières années. Pas là.
… et en y réfléchissant un peu, en fait c’est logique, si on commence à croire en la théorie du complot pour censurer les énergies libres.
Comme je ne dépose pas de brevet, il ne peut pas être enterré et disparaitre mystérieusement dans un fond de tiroir. Le seul moyen de m’empêcher de diffuser était de détruire le site et cet article en brouillon depuis des mois, sur le point d’être enfin publié.
M’enfin, peu importe la raison, complot ou juste panne, les sites ont tendance à disparaitre. Si vous voulez être sûrs de pouvoir un jour relire cette page, vous devriez l’enregistrer sur un de vos appareils, et ne pas vous contenter d’un signet ajouté dans les favoris de votre navigateur.
Juste au cas où…
Mais sinon, jusqu’à cette attaque informatique, je pensais que les « élites » me laisseraient le champ libre.
Ceux qui ont l’argent peuvent gratuitement utiliser le principe pour fabriquer des plaques de concentration de lumière, potentiellement utiles par 7 milliards de clients dans tous les pays du monde.
Et sans me verser un centime en brevet parce que c’est du libre, pas comme un windows de plusieurs centaines d’euros qui équipe plus de 80% des ordinateurs du monde.
C’est un Cadeau avec un C majuscule.
Encore mieux que l’invention de l’ampoule, non ?
Même plus besoin de réseau électrique. N’importe où dans le monde, sans cour d’eau, sans carburant, sans vent… l’énergie qui permet de presque tout faire, apporté par une machine autonome, qui concentre la lumière présente partout.
Je crois que c’est incroyablement génial !!!! !!
… et pourtant, je vais vous faire une confidence.
Humblement.
Je vais vous dire une chose qui va à contrecourant de mes provocations du début, sur l’intelligence apparemment complètement lamentable des crétins neurotypiques soi-disant « normaux », qui votent françois hollande, ne font rien pour changer les choses, se soumettent à tout, s’endettent pour se payer un smartphone à ondes périmé au bout d’un an, qui saccagent une ville pour un match de foot perdu, qui trouvent normal de payer 60% de taxe sur leur travail, tout ça…
En fait, je crois que les idées ne viennent pas que de moi. Je crois que le métal en trop dans mon corps qui abime ma vie m’apporte des milliards de petites antennes partout dans le cerveau et le système nerveux, pour me faire capter plein de choses.
Au réveil je note, je note, je note.
Quand j’ai un moment le cerveau vide, relâché, les nouvelles idées en profitent pour installer des images. Sans avoir à réfléchir les choses viennent…
Il y a une chose absolument impossible quand je tire les cartes, elles ne se trompent jamais. C’est physiquement, mathématiquement, logiquement, impossible que les bonnes cartes soient toujours précisément au bon endroit, malgré l’infinité de possibilités.
La seule explication un peu rationnelle est que les images que je vois sur les cartes ne correspondent pas aux cartes réellement tirées.
Peut être que des puissances invisibles me font voir ce qu’elles veulent parce qu’elles savent que je les écoute.
Peu importe la nature des « puissances supérieures ».
Ca semble compatible avec toutes les croyances.
Les matérialistes terre à terre peuvent penser que c’est un mécanisme psychologique, ou un bug, une construction (a?)normale de la pensée,
ceux qui croient en un ou plusieurs dieux, aux anges, aux esprits, peuvent comprendre ma sensation d’être guidé, en confiance.
Ceux qui croient aux extra-terrestres…
ou même aux théories les plus farfelues comme le voyage dans le temps, que des survivants d’un futur apocalyptique nous envoient des images pour rendre un autre avenir possible…
Voilà.
La balle est dans votre camp. A vous d’en faire ce que vous voudrez.
Si vous croyez au complot des riches pour faire disparaitre les inventeurs de machines à énergies libres, enregistrez la page pour la conserver et/où diffusez-là de la manière que vous voulez.
Vous pouvez modifier tout ce que vous voulez. Je refuse les copyrights, les interdictions de copie, les brevets, pour tout ce qui concerne l’intérêt général.
Servez-vous, c’est gratuit.
… mais ne vous contentez pas de vous comporter en mouton qui suit ce que font les autres.
Faites-vous plaisir.
Dans le temps qui vous reste si vous voulez faire fondre des bouteilles pour les transformer en plat à sushi unique, allez-y.
Si vous voulez faire des bijoux en perles de verre de toutes les couleurs, allez-y.
Si vous voulez faire cuire vos sculptures en terre, gratuitement, profitez-en.
Cette page est une base pour rebondir vers vos propres créations, vos projets, vos rêves, vos envies…
Pour ma part, en tant qu’ancien collectionneur de bandes dessinées de super héros, vu que ma parabole à sensiblement la même taille que le bouclier de Captain America, je vais peut être en profiter pour jouer au super héros.
Mon imaginaire et mes buts sont compatibles avec les icônes de ma culture populaire.
… mais non je ne vais pas sautiller dans tous les sens et taper des gens avec ma parabole. Tsss…
C’est plus de mon âge.
C’est juste pour faire fondre des câbles et antennes inaccessibles quand la guerre civile va enfin commencer. Même si c’est à 30 mètres du sol, ou sur le toit d’un immeuble, ou à 200 mètres derrière des barbelés. Même pour abimer des caméras ou des capteurs de présence.
L’électronique est le pire point faible de notre société moderne. Autant en profiter, plutôt que de brûler des bâtiments et ressources dont notre peuple aura besoin après la dératisation.
Il suffira de changer quelques pièces pour tout remettre en état, rapidement, sans que ça coûte un bras.
Ici c’est notre sol.
Et peut être même qu’avec la parabole je ferai fondre l’or qui coulera à flot tout au début du chaos total, récupéré sur les cadavres des traitres. avant que les pénuries de tout s’installent.
Des lingots marqués numérotés et des pièces d’argent de riches franc-maçons, des dents en or de socialistes fanatiques anti-français, des bijoux de politiciens morts ayant transformé toutes les générations de mon peuple en clochards…
Tous ceux qui ont oeuvré fanatiquement à provoquer une guerre auront ce qu’ils ont mérité. C’est comme ça partout dans le monde, depuis toujours. Il n’y a aucune raison que ça soit différent ici. Autant en profiter pour récupérer le meilleur de ce qui tombera.
Pour le moment, dans cette France dévastée, le seul endroit où l’ont trouve un peu d’or, c’est sur les contacts des vieilles pièces électroniques.
L’or fond à seulement 1064 degrés.
Il a la même valeur quand il n’a plus de traces reconnaissables, de numéros de série identifiable…
Bon, pour le moment mis à part l’or de récup sur les déchets, ce n’est pas « légal » de faire fondre de l’or numéroté, mais bientôt, dans le chaos d’une guerre, sans autorité, dans la survie, les « lois » construites sur mesure juste pour les quelques fumiers qui auront provoqué la guerre, ne s’appliqueront plus.
Le moment venu, j’aurai tous mes outils de prêts pour en profiter au maximum.
Sans 60% de taxe sur mes efforts.
Pour le moment je reste sagement hors des ennuis. Je ne fais rien d’illégal, pour ne pas être hors de course quand le moment sera venu d’enfin en profiter.
Et si la guerre tarde encore à éclater, ça me laisse plus de temps pour mettre au point d’autres choses.
Actuellement nos hébergements d’urgence sont envahis à plus de 95% par des étrangers, en grande partie en présence irrégulière. Les hôtels subventionnés à 150 euros la chambre, pour chaque nuit, sont quasiment réservés aux étrangers qui ont choisi de violer nos lois et qui obtiennent plus que les nôtres, qui font l’erreur de respecter ces lois grotesques.
Les plus pauvres français sans domicile fixe sont laissés à mourir de froid dans la rue.
J’ai commencé à tester des accumulateurs de chaleur totalement gratuits en matériaux de récupération ordinaires que l’on trouve partout. Des bocaux vides, à remplir avec du métal de récupération, des vieux clous, des pièces de centimes d’euros, n’importe quoi…
L’idée est d’utiliser une lumiplaque pour chauffer les bocaux. Le verre crée un effet de serre qui accélère la chauffe du métal en empêchant la chaleur de partir, puis permet de toucher et déplacer le métal sans se brûler.
Il conserve aussi la chaleur plus longtemps.
Il faut que ça reste relativement léger, mais en conservant le plus longtemps possible une agréable inertie thermique.
Avec quelques dizaines de gros bocaux, ça devrait même pouvoir bien stabiliser la température d’une serre pendant la saison froide, sans dépenser un centime en chauffage. Il faut que je teste…
Je crois qu’il faut des pièces métalliques d’environ au moins un centimètre d’épaisseur.
Quand le métal est fin il chauffe vite, mais il refroidit aussi très vite. C’est d’ailleurs le principe utilisé dans les ordinateurs pour empêcher les processeurs de brûler.
Donc je crois qu’il faut faire le contraire des dissipateurs de chaleur et utiliser un métal dur, lourd et épais, tout en gardant un minimum de circulation de l’air pour chauffer l’ensemble.
A l’occasion je testerai.
Ou vous.
Avec déjà presque 9 millions de français en dessous du seuil de pauvreté, vous êtes nombreux à vouloir que vos gosses aient bien chaud malgré l’effondrement économique et l’explosion du coût des énergies polluantes.
Nos politiciens qui nous font tant de bien ont déjà planifié encore une augmentation d’au moins 50% du prix de l’électricité dans les 5 ans à venir…
L’accumulateur de chaleur en bocaux et métal dont je viens de vous parler juste au-dessus est intéressant parce qu’il est gratuit, mais il y à encore mieux.
La chaleur peut être stockée sous forme de bloc et réutilisée des centaines de fois plus tard, quand le froid se fait sentir.
C’est le principe des nouvelles chaufferettes.
Une enveloppe en plastique, un produit quasiment pas polluant à l’intérieur, considérablement moins polluant que le chauffage de toute une pièce en continu avec des moyens polluants.
Quand on a envie de chaleur, on « clique » une petite pièce qui agite les cristaux et les font libérer la chaleur stockée.
Ce n’est même pas vraiment un procédé chimique. C’est plutôt presque uniquement une propriété physique du mélange.
Et le plus beau est qu’en faisant bouillir la bouillotte, on la recharge. Ce n’est pas un usage unique. Elle peut durer des années et servir uniquement quand on en a vraiment besoin, sans aucun gaspillage de cette énergie qui devient si chère.
… mais c’est pas encore fini. La cerise sur le gâteau est que quand on commence à s’intéresser aux énergies libres et à mélanger les choses, ça donne des résultats incroyables.
Imaginez que vous achetiez quelques bouillottes à deux euros, et que vous ne dépensiez pas un seul centime en gaz ou en électricité, en pétrole, en charbon pour les recharger.
Pas de pollution sur la planète.
Juste avec une parabole. Quand le ciel est clair, vous en profitez pour ré-accumuler de la bonne chaleur pour les nuits froides, même des semaines plus tard…
Et paf !
Magique, non ?
C’est tellement un bon plan que je pense que ça sera une des sources principales de revenus de l’entreprise d’énergie libre que je suis sur le point de créer.
Il n’y aura même pas de concurrence. Les sociétés qui fabriquent déjà des bouillottes seront contentes de me voir débarquer pour leur permettre d’écouler considérablement plus de leurs produits qui complètent mes machines.
On est sur un marché de potentiellement 7 milliards d’humains intéressés, du très pauvre pour sa survie, au très riche pour le confort ou pour la frime écolo.
L’énergie libre c’est gigantesque. Servez-vous. Pour on sera nombreux à faire des choses d’intérêt général qui améliorent aussi nos vies et celles de nos proches, notre pouvoir d’achat, et plus tout ira mieux pour tout le monde.
Ne vous mettez simplement pas en concurrence en plagiant ce qui se fait déjà. Apportez votre touche pour en faire quelque chose de complémentaire.
Peut être que certains veulent des grosses bouillottes en forme d’animaux de bandes dessinées ?
Ou des gants autochauffants, ou… je ne sais pas. Si vous croyez que ça n’existe pas déjà, ni comme vous l’auriez fait, lancez-vous.
Si vous comptez sur le pole emploi pour vous trouver un job, autant vous prévenir que vous devrez vous contenter d’un stage obligatoire non rémunéré pour faire du travail d’esclave, au bout de 4 ans d’exclusion du marché du travail.
Et vous savez que je n’exagère même pas. C’est triste.
Donc servez-vous.
Il n’y a pas de copyright, de brevets, de limitations, sur tout ce que je publie sur internet.
On est tous liés.
Notre intérêt est d’aller tous mieux, et donc chacun mieux.
Si vous utilisez des brevets et verrouillez tout, vos projets resteront de rêves qui prendront la poussière, parce que vous devrez banquer pour tout tout tout, tout tout.
Vous devrez avoir des employés pour chaque tache, au lieu de faire partie de l’humanité qui offre du temps pour créer un avenir meilleur.
Tenez regardez ce petit blog. Les visiteurs ont laissé presque 4000 messages, dont pas loin du quart concerne des conseils, trucs, astuces, leçons de l’expérience, pour améliorer la vie des autres. Tous des inconnus qui s’entraident en se faisant plaisir.
La gratuité crée les plus belles choses.
Regardez ce qui marche super bien en ce moment, pour les fêtes de Noël : les drones.
C’est le jouet roi.
A tous les âges les gens deviennent accrocs.
Et ce n’est pas seulement un jouet. C’est une nouvelle manière de trouver des informations en faisant prendre de la hauteur aux caméras et appareils photos, ne pas se mettre en danger pour filmer un volcan, faire des images d’art, des paysages exceptionnels…
Le marché démarre à peine.
Mais ces gadgets ont de très gros défauts de jeunesse. Grosso-modo ça reste à peine plus d’un quart d’heure en vol.
Avec l’énergie libre j’ai compris comment les recharger en vol pour les laisser en l’air presque en illimité. Je pense diffuser les dessins dans quelques semaines.
Là aussi, le marché est de centaines de millions d’utilisateurs pour des dizaines de raisons différentes partout sur la planète. C’est des millions d’emplois directs et indirects, en fabrication, vente, transport, réparations, formation…
A diffuser gratuitement les idées en énergies libres, sans brevet, sans limitation, on crée un cercle vertueux utile au plus grand nombre.
Enfin, je vous parle de drones, de murs en verre qui laissent passer la chaleur du soleil, de terre cuite pour tous les usages, d’outils pour survivre à une guerre, pour améliorer le quotidien, mais ça, c’est juste mes idées.
Vous êtes des millions à être créatifs tous différemment.
Maintenant que vous savez concentrer facilement la lumière pour la transformer en énergie illimitée, propre et gratuite pour tous les usages, vous pouvez faire presque tout ce que vous voulez.