Des français patriotes agissent illégalement pour empêcher les collabos de l’invasion musulmane de pouvoir travailler efficacement.
Leur méthode est sans violence.
Bien que personnellement, après les 500 français déchiquetés (360 blessés, 130 morts, des décapitations passées sous silence par les médias…) je suis convaincu que le meilleur moyen que ça ne recommence plus est de guillotiner en public les traitres coupables de la situation,
la manière d’agir amusante du collectif #OnFermeFrance mérite d’être diffusée dans ce contexte. Même juste pour détendre l’atmosphère.
Ils utilisent simplement quelques grammes de colle ou de mousse expansive, ou des antivols, pour empêcher les traitres d’avoir accès à leur locaux, donc à leurs matériels, téléphones, ordinateurs, qui permettent le pillage des ressources des français et le remplacement de notre population par tous ces islamistes soi-disant modérés.
Les locaux d’accueil aussi sont visés.
Les associations traitres subventionnées.
Certaines comme la Cimade ont déjà perdu des heures à déposer au moins 4 plaintes, en plus des énormes frais de serrurerie et d’intervention pour ré-ouvrir les locaux.
Les subventions détournées ne servent plus à accueillir des « migrants ». Je me demande combien il va falloir de temps avant que leurs contrats d’assurances deviennent hors de prix ou que plus aucune assurance n’accepte de les couvrir.
L’argent est le moteur de ces associations. Si leur budget ne couvre plus les pertes, impossible de continuer à nuire aux français…
Tous ceux qui se gavent grâce à l’invasion, comme le medef.
Et même plus encore…
Même les personnels pleurnichent. Les actions ne se limitent pas aux bureaux d’associations, aux locaux d’hébergements, aux serrures des véhicules, mais les collabos de l’invasion sont aussi directement touchés en dehors de leurs heures de service.
L’action ne prend que quelques secondes.
… puis ces héros pacifiques utilisent les réseaux sociaux comme twitter et facebook pour diffuser à des milliers d’autres français des idées pour agir efficacement et facilement, en quelques secondes, tout en faisant de l’humour.
C’est tellement amusant qu’on est de plus en plus nombreux à les suivre et à partager leurs oeuvres non-violentes.
… Il faut dire qu’on n’a plus très souvent l’occasion de rigoler.
Enfin, quand je dis que c’est rigolo, pas pour tout le monde, hein.
Imaginez que vous soyez une des ces associations racistes anti-françaises subventionnées qui ont dû faire intervenir 4 fois un serrurier à 2500 euros pour ouvrir leur porte blindée pour pouvoir à nouveau travailler, vous ne trouveriez pas ça aussi rigolible que moi.
Ne faites pas comme eux, hein. Je ne vous y encourage pas du tout du tout du tout du tout, mais alors pas du tout.
Je le jure sur la tête de valls.
Je republie seulement parce que ça me fait beaucoup rire. Pas pour vous donner des idées pour neutraliser et punir.
Surtout que maintenant, avec la surveillance généralisée soi-disant « légale » organisée sans vote populaire par la dictature en place, tout est écouté et archivé. Il est facile de relier une adresse patriote à un compte internet, une adresse IP, une ligne de téléphone mobile ou filaire… sans même l’intervention d’un juge.
Un petit fonctionnaire anti-français peut vous identifier très facilement, hors du cadre qui était légal et moral avant l’hollandisme, mais soi-disant légal maintenant.
N’importe qui est facilement identifiable en utilisant sa connexion internet habituelle ou son téléphone mobile pour faire et publier des photos sur les réseaux sociaux.
Enfin, n’importe qui…
Quoique oui, presque. Il suffit de savoir deux choses :
– Ne pas laisser des traces sur ses appareils
– et que les traces ineffaçables pointent vers d’autres personnes.
Et c’est incroyablement facile à faire.
Pas besoin d’être un pirate pas crédible de film hollywoodien.
Je peux vous apprendre, mais il faut me promettre de ne pas le faire.
En fait c’est presque marrant, ou triste, c’est selon votre point de vue. Non, marrant.
Oui, carrément.
Les méthodes que j’utilisais il y a déjà presque une dizaine d’années pour agir efficacement moi-même hors de tout cadre légal avec un ordinateur portable, plus efficacement que n’importe quel « juge » qui fait trainer avant de classer sans suite trois plaintes sur quatre,
sont celles qui fonctionnent toujours dans cet environnement moderne ultra-sécurisé.
C’est bizarre, hein ?
Vous savez sûrement qu’on ne peut punir certaines personnes qu’en contournant les « lois » qui les avantagent.
Je vous rappelle de ne pas le faire.
Ce n’est pas parce qu’être inidentifiable est facile que vous devez le faire.
Il suffit d’un ordinateur portable et d’un live dvd d’un linux gratuit.
Les versions « live » permettent de tester une version de linux sans rien modifier ni écrire sur un disque dur. Tout reste en mémoire vive, qui s’efface quand on éteint l’ordinateur.
Les lives dvd permettent aussi de contourner les « protections » de windows sans rien faire comme si en réalité il n’y en avait aucune, juste un bridage des utilisateurs.
Ce qui permet de récupérer des données sur un ordinateur planté, qui ne démarre plus, ou dont on ne se rappelle plus le mot de passe, par exemple.
Dans une trousse à outil légale, ça sert encore plus souvent qu’à un pirate.
Une fois l’ordinateur démarré sur un live DVD linux, il suffit de taper une seule ligne de code pour changer l’adresse mac de la carte wifi.
L’adresse mac est le numéro unique qui rend identifiable une antenne aussi surement que l’adn ou des empreintes digitales.
Il n’est pas possible de le modifier sous windows, et vu le peu de réglages élémentaires possibles sur tous les mini-appareils récents, comme les smartphones, ça m’étonnerait que l’on puisse faire quelque chose d’aussi simple.
Donc, juste une ligne à taper pour changer les numéros de l’adresse mac de l’antenne wifi de l’ordinateur portable, avant de rejoindre un réseau et d’y laisser des traces.
Par exemple, un wifi non-protégé pris au hasard loin de chez soi, ou pas au hasard appartenant à un traitre, ou tout simplement le wifi gratuit d’un mac do, depuis son parking, ni vu ni connu loin des caméras.
Et donc,
1. non seulement l’ordinateur portable ne garde aucune trace exploitable, mais
2. toutes les traces d’adresse mac qu’il faudrait effacer dans les logs de la box wifi sont falsifiées, et
3. pour finir toutes les traces de connexion et d’utilisation chez chaque intermédiaire du réseau et des serveurs remontent à la box qui ne nous appartient pas.
Oups…
C’est encore plus marrant que d’effacer ses traces. Laisser plein de traces qui font perdre du temps en fausses pistes à ceux qui cherchent qui a agi.
Surtout avec « l’état d’urgence » et ces perquisitions « administratives » illégales qui se comptent maintenant déjà par milliers en quelques jours. Les opposants sont pour encore au moins trois mois maintenant traités sans droits. Il est beau le pays des droits de l’homme.
En chine on peut faire 10 ans de travaux forcés pour un poème qui déplait à une « élite ». Ici c’est déjà 6 mois de prison ferme juste pour avoir écrit une évidence historique, comme « il n’y a jamais eu de celte noir ». Et à côté de ça, tous les terroristes qui n’étaient pas des « migrants » sont des criminels multi-récidivistes qui tuent pendant qu’ils sont sensé être en train de purger une peine de prison.
De toutes façons il n’y a plus vraiment d’autre solution furtive efficace maintenant que l’espionnage généralisé est sur chaque portion du réseau, grâce aux nouvelles « lois » socialistes.
L’utilisation de proxys anonymiseurs dans des pays à l’étranger qui ne collaborent pas avec notre gouvernement d’occupation ne sert plus à rien, puisque la connexion est écoutée dès le départ.
Ceux qui agissent encore depuis chez eux ou leur ligne habituelle ont du souci à se faire.
Enfin, je dis ça, mais juste comme ça, pour rigoler sur les failles nullissimes de cette pseudo sécurité informatique.
Je sais très bien que vous n’allez pas vous en servir pour faire sans risque ni traces des choses condamnables par ceux qui s’en prennent à notre peuple, par exemple en organisant des rassemblements de français en colère sans mendier la permission à un préfet.
J’écris ça juste parce que ça se marie bien avec les captures d’écran de choses marrantes.