
Au début de l’année je vous avais annoncé la publication d’un dossier clé en main avec tout ce qu’il faut savoir pour vous mettre facilement à l’abri du chômage en exploitant près de chez vous un distributeur automatique. Je ne l’ai toujours pas fait. En fait je suis passé à autre chose de beaucoup plus intéressant. Les gains potentiels sont jusqu’à des centaines de fois supérieurs. Ca pourrait vous servir aussi.
L’aggravation de la situation économique avec plus d’un million de nouveaux chômeurs depuis françois hollande et la pauvreté qui explose ne sont pas les seuls problèmes.
Depuis le massacre de Nice, les médias dissimulent maintenant jusqu’à 5 petits attentats par jour, à la hache, au couteau, à la machette, juste à côté de chez nous, soit ici dans nos villes et villages, soit chez nos voisins très proches, allemands par exemple. Toujours officiellement par « des déséquilibrés » (qui crient tous allah ackbar).
Ca y est, on n’est plus dans l’étincelle. Le feu de la guerre civile commence à prendre un peu partout.
Donc un travail principal ou d’appoint, de secours, ne dépendant pas d’un lieu, ça permet de ne rien perdre en cas d’obligation de s’éloigner.
Pouvoir travailler de n’importe où, indifféremment dans n’importe quelle monnaie, est aussi un moyen de simplement se mettre à l’abri de la taxation à environ 80% en France.
Quand on voit que cette fiscalité délirante ne permet même plus à une région sur trois de pouvoir payer l’aide sociale minimale. L’escroquerie de la dette avec des intérêts délirants est sur le point de mal finir.
Ce n’est pas que pour le RSA, mais pour tout le monde. La retraite par capitalisation perd de l’argent maintenant que les taux de prêts mondiaux sont négatifs, pour la première fois de toute l’histoire de l’humanité.
C’est généralisé. Des dizaines de banques essentielles dans les soi-disant meilleures économies du monde sont déjà quasiment en faillite. Il n’y a plus aucun espoir que ça aille mieux puisque maintenant avec les taux négatifs, le prêt ne rapporte plus mais coûte de plus en plus.
Presque tout le château de cartes de presque tous les pays du monde, basé sur de la dette, va bientôt s’écrouler. Plutôt que de subir sans solution, autant avoir la possibilité de basculer en un clic sur une des monnaies qui souffriront le moins, ou qui bénéficieront le plus de la perte de valeur des autres.
Avec une activité principalement sur internet c’est possible. Alors que quand on dépend à 100% des pièces et billets réels, locaux, quand l’économie du pays en faillite ne fait plus illusion sur sa solvabilité, c’est à dire la véritable non-valeur de ses faux billets, on peut perdre presque tout.
… oui, mais quoi faire ?
Les petits commerces sont tous en train de fermer, incapables de rivaliser avec les stocks et les gigantesques variétés de choix de produits des multinationales comme Auchan, Amazon, Carrefour,
Et bien sûr il ne vous viendrait pas à l’esprit de vous lancer dans le commerce en concurrençant Darty, la Fnac, Apple, Amazon,… ou n’importe quelles autres enseignes souvent multinationales au budget de dix pays, déjà implantées, parfaitement rodées, avec des milliers d’employés et tout et tout ?
C’est trop énorme. Il faudrait trop de moyens ?
Non ?
Moi c’est justement ce que je vais faire. Je suis convaincu que c’est justement ce qu’il faut faire maintenant.
Je vais vous donner toutes les idées pour le faire aussi. Je vais m’appuyer sur des exemples très concrets qui me touchent personnellement, mais c’est seulement pour illustrer clairement mes propos. A vous d’adapter les idées dans le(s) domaine(s) où vous êtes bons.
Si en 2017 l’élection présidentielle ne me donne pas le rôle de celui qui va donner l’ordre de fusiller hollande, valls et les 12000 fichés S qui attendent le moment de nous tuer, il est déjà fortement probable que j’emploierai une partie de mon temps libre à commencer à parasiter et pourrir les ventes des multinationales vendant de la très haute technologie à ondes, en proposant des alternatives simples et sans danger.
Je suis malade à cause de ces commerçants sans morale, alors autant créer des entreprises qui vont leur prendre de l’argent. (… ou qui servent aussi de prétexte pour faire réfléchir leurs clients potentiels et faire chuter leurs ventes d’appareils à ondes, qui irradient même ceux qui n’en ont pas achetés mais qui sont simplement autour).
Si si, je peux. J’ai des arguments en or.
Sentir les ondes, ne même pas pouvoir tenir quelques minutes près d’une box en wifi sans sautiller sur place et avoir envie de quitter la pièce, ça donne à la longue un niveau d’expertise qui ne s’apprend pas dans les livres.
Si je voulais créer moi-même des ordinateurs pour électrosensibles, je sais déjà que sur le fond, la technique, le matériel, la science, la publicité des produits, j’ai déjà tout ce qu’il faut pour que ça marche.
Il me faudra seulement un spécialiste des chiffres pour anticiper tous les coûts, les seuils de rentabilité, les marges… (<= une offre d’emploi, partenariat se cache peut être dans cet article).
Je sais même déjà comment financer tout le projet sans sortir un centime. Je vais vous en parler. Piquez vraiment sans hésiter toutes les idées qui pourraient vous servir, c’est fait pour.
Il y a quelques années, Christian Godefroy, un millionnaire, probablement le meilleur commercial de l’époque du début d’internet, parlait d’une de ses meilleures stratégies dans une de ses vidéos de cours commerciaux.
Il disait qu’il avait environ 80 sites internet. Si si, c’est possible, malgré le temps que normalement ça prend. Et encore plus dingue, il passait seulement environ un quart d’heure par semaine sur chaque site.
Si si, je vous dis.
Mais il avait un truc, évidemment. Il n’y passait en fait que pour vérifier que tout aille bien et pour donner les consignes pour la suite aux personnes chargées de l’animation des sites, des nouvelles publications, de la modération…
J’ai moi-même des forums où la modération doit se limiter à moins d’une heure de travail par an. Virer quelques indésirables ou supprimer des messages publicitaires qui réussissent à franchir les filtres automatiques, ce n’est pas ce qui prend le plus de temps. Une fois qu’un bon filtre est réglé, il n’y a plus à passer des semaines à contrôler les publications une par une.
Ce qui prend le plus de temps, c’est la rédaction des articles. Par exemple, celui que vous êtes en train de lire est un tas d’une quinzaine de post-it raturés, rassemblant en écritures aussi minuscules que des traces de pattes de mouches, une grosse centaine d’idées, arguments, exemples… entassés pendant un mois et demi. Puis au moins 60 heures de rédaction, corrections, améliorations devant le clavier. Je continue de réfléchir aux tournures de phrases pour emboiter des arguments venus de domaines très différents en jardinant, en me douchant, en faisant la vaisselle…
Et la recherche des illustrations parfaites, leur renommage intelligent pour intégrer les mots clés et expressions tapées par les gens dans les moteurs de recherche…
L’ajout d’éventuels liens de documentation, tout en vous expliquant à chaque fois pourquoi je choisis de faire ça plutôt que comme les autres, ça prend beaucoup, beaucoup de temps.
Cet article dépasse probablement les 100 heures de travail.
Ca peut sembler curieux que je prenne exemple sur un des meilleurs pour faire justement le contraire de lui mais vous allez comprendre au cours de l’article. Les technologies, les mentalités, le savoir, les sciences et surtout la situation catastrophique (économie et santé générale), ne sont plus vraiment comparables avec les choses d’il y a dix ans.
(Mais sur mes forums j’écris plutôt des articles très courts, un peu comme ceux qu’il achetait. Quelques exemples là.)
Des fois une seule image vaut mieux que 10 000 mots. Regardez qui est sur la première page du plus grand moteur de recherche du monde sur un des pires problèmes de santé publique pour toutes les générations actuellement en vie et la suivante :
Ta daaaaaa !
Et oui, moi. (Je vais vous remontrer comment faire pareil).
On voit avant moi 4 annonceurs payants, très visibles par la mise en page différente indiquant qu’il s’agit d’annonceurs qui paient pour être sur la première page, mais qui ne sont pas là parce qu’ils ont publiés les pages les plus populaires du net.
Le prix d’une campagne est plutôt délirant. Selon le sujet, l’effet de mode, l’actualité, des fois l’achat d’affichage et de clics pour 10 000 euros peut être flambé en même pas 12 heures. Une fois que l’argent investi dans la campagne est épuisé, ces personnes retombent dans les profondeurs des classements, peut être sur la 15000 ème page de résultats que jamais personne ne consultera, tellement leur site fait d’une seule page de vente est presque dénué d’intérêt pour les moteurs de recherche d’informations.
Vous comprenez pourquoi certain payent. Pour lancer instantanément leur activité sans attendre, mais ils disparaissent des classements naturels dès qu’ils ne paient plus les moteurs de recherches pour influencer les résultats.
Là, dans ce cas précis je ne sais pas combien ces gens payent.
Moi ça ne me coûte pas un centime.
Puis pour moi c’est définitif.
Je resterai probablement définitivement sur la première page puisque je reçois des dizaines de milliers de visites d’internautes francophones qui cherchent comment se protéger des ondes.
Presque à chaque fois la formulation est différente. Les gens emploient des mots différents, expriment des besoins particuliers, de nouveaux besoins adaptés aux technologies du moment, etc…
Et donc, comme je suis sur la première page des moteurs de recherche, j’ai accès à des statistiques connues seulement des moteurs et des premiers sites, sur ce que les gens veulent exactement, tout ce qu’ils veulent.
Donc, je suis quasiment certain de garder cinquante coups d’avance sur quasiment tous les concurrents possibles.
D’ailleurs vous allez juger par vous-mêmes la qualité de l’article.
Et c’est en licence totalement libre, sans droit d’auteur. Vous pouvez le copier en partie ou en totalité pour n’importe quel usage, pour n’importe lequel de vos besoins, et même faire de l’argent avec, sans me verser un centime ni demander la permission.
En fait, plus je suis cité et plus mon poids augmente dans tous les moteurs de recherches et mes pages sont propulsées toujours plus en tête des classements.
Donc, j’aurais toujours plus un meilleur classement que les gens qui font des campagnes de publicité payantes. On peut me voler mes articles ou mes images, je serai quand même gagnant. C’est beau la technologie quand même…
Une fois qu’on a compris comment ça marche on peut faire presque tout ce qu’on veut dans la matrice. Dans quelques jours vous verrez même mon programme pour la campagne présidentielle de 2017. J’ai utilisé le même principe.
Je suis sur les premières pages des moteurs sur près de 33 000 recherches de solutions aux problèmes des français. Donc c’était facile de savoir précisément ce dont les français ont besoin.
On va voir si quelqu’un qui sait lire des statistiques de visite fait mieux sans dépenser un centime que tous les partis politiques qui eux vont dépenser des dizaines de millions d’euros pour la campagne. Ca devrait être intéressant.
Mais revenons en à Christian Godefroy. Lui, avait complètement zappé la pire tâche. La rédaction d’articles. Il se contentait d’acheter, pour je crois environ seulement 15 euros, des articles prêts à publier, payés à des banques d’articles pour sites internet.
Les articles n’étaient vraiment pas le plus important dans son commerce. C’était juste pour donner l’impression que les sites étaient « vivants », pour donner confiance aux acheteurs, ne pas sembler être une coquille vide d’un site mort trainant encore sur internet.
C’était pour créer une petite animation, pour séduire les visiteurs qui revenaient.
C’était comme dire « bonjour » quand on rencontre quelqu’un ou qu’on commence une conversation. Un basique. Une règle sociétale, quand on veut avoir un comportement social… ou surtout quand un très bon commercial veut vous vendre un produit dont vous n’aviez pas besoin avant qu’il vous emmêle.
Lui, ce qui l’intéressait était seulement la vente. Le chiffre. La marge. Les patates, le blé, le flouze, l’oseille.
Sa solution de facilité, parfaitement rodée et reproduite environ 80 fois, était de faire des sites de niche.
Une niche est une minuscule portion spécialisée dans un domaine d’activité.
Le meilleur exemple que je connaisse date un peu mais il est parfait pour illustrer mes propos. Vous connaissez les appareils photos de la marque Leica ?
Ca doit être un peu la même chose avec les voitures Ferrari ou les montres Omega.
Je ne connais plus du tout les prix des appareils photos, puisque je ne fais plus de photos.
Je me contente de photos floues pourries à l’aspect super amateur que tout le monde peut faire avec un téléphone, justement pour bien faire comprendre que tout le monde peut faire facilement les choses que je vous montre pour vous mettre à l’abri de l’effondrement.
Tenez, des fois je pousse même un peu trop loin l’aspect Jemenfous et je suis finalement obligé de récupérer sur le net des images quand même bien moins pourries que celles que j’avais faites pour illustrer un article.
Par exemple, dans cet article, ni jamais en fait, vous ne verrez la photo floue, sous-exposée, sans flash, mal cadrée, avec un décor de gros bordel, que j’ai faite dans ma chambre, quand j’ai arraché la dernière carte wifi de la maison.
A la place vous verrez cette belle image bien proprette de carte wifi pci, prise dans un moteur de recherche :
Hooo, c’est beau !
Maintenant plus rien n’émet des ondes chez moi. Même la box internet est réglée pour ne plus rien émettre. Maintenant tout est câblé, à l’ancienne.
Je n’ai pas besoin d’images super racoleuses et coûteuses de l’ultra-haut de gamme avec des mannequins en bikini maquillés et photoshopés comme pour les pubs pour vendre des motos.
Je n’ai plus du tout besoin de très bon matériel photo pour ce que je fais maintenant. Et surtout, justement, avec internet on a accès à tellement de milliards d’images que je n’ai plus très souvent besoin de faire les miennes pour la plupart des articles. Donc, je ne connais plus du tout le prix des appareils photos actuels.
Donc, je prends l’exemple d’une marque complètement dingue il y a 20 ans.
Le marché était à la vente de millions et des millions d’appareils photos avec un moteurs pour la pellicule, faire des prises de vues en rafales, avec plein de capteurs, plein d’électronique, des zooms de folie sur les objectifs… des millions et des millions, ou plutôt des dizaines de millions d’appareils photo, vendus dans le monde par Canon, Nikon et quelques autres.
Un océan, un tsunami de références de modernité, d’automatisme, de simplicité, de polyvalence, de facilité d’utilisation.
A côté de ça, en décalage complet avec le marché, en opposition à tout ce qui se faisait, se vendaient à 15 ou 20 fois le prix d’un bon appareil moderne, des appareils photo Leica, sans électronique, sans automatisme, sans moteur, sans rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien, sauf une facture incroyable, et aussi quand même les meilleures optiques du monde.
Mais à ce prix complètement délirant il n’y avait même pas de zoom.
Il fallait dévisser l’objectif pour le remplacer par un autre objectif, aussi du prix d’une petite voiture, quand on voulait passer au grand angle ou au télé-objectif. Une horreur. Le truc le moins pratique et fonctionnel possible à priori.
Carrément l’emmerdement maximal, pratiquement sans avantage. Une horreur absolue pour le grand public.
Par contre pour les professionnels, les optiques parfaites permettaient des agrandissements exceptionnels, et surtout les optiques sans zoom de Leica captaient beaucoup plus de lumière que toute la concurrence.
A l’époque les pellicules sensibles pour faibles luminosité avaient un grain (une texture parasite) plutôt abominable.
… Et donc finalement, un Leica, c’était la possibilité d’avoir des images de bonne qualité dans des situations de luminosité pas du tout optimales. Pouvoir faire une image au moment où les choses se passent.
Par exemple Eddie Adams remporta le prix Pulitzer avec cette photo de la guerre du Vietnam qui scandalisa le monde entier :
Pour un photographe de terrain, journaliste ou même photographe de mariage ou d’autres évènements ordinaires, une optique qui avait besoin de jusqu’à 4 fois moins de lumière pour réussir une image, ça faisait une différence qui permettait d’avoir les photos bien nettes qui faisaient bouillir la marmite.
Un autre exemple : il ne vous viendrait pas à l’idée d’acheter un scalpel, ou du matériel chirurgical pour allonger la taille des jambes après avoir coupé les os ?
C’est trop spécialisé.
Pas pour le grand public. … Mais ça se vend. Et très cher, même.
Voilà l’idée.
Une niche, c’est ça.
Des choses bien différentes pour un usage très spécialisé.
Ou même pas du tout d’usage. Christian Godefroy parlait aussi de montres pour collectionneurs. Pas le genre de produit qui attire des centaines de personnes dans les commerces généralistes, mais seulement quelques visiteurs par jour, sur des sites internet très spécialisés, où il était quasiment le seul à proposer quelque chose dans sa niche d’activité.
Pas la petite montre en plastique jetable à 12 euros entre les rayons des rillettes et des pantoufles. LA montre vendue en 10 exemplaires par mois et qui permet de verser au moins deux salaires.
En commerce, niche ou pas, le changement est constant.
Par exemple des centaines de millions d’écrans d’ordinateurs à tubes ont été remplacés par les écrans plats à cristaux liquides. Pareil pour encore plus de télévisions.
Avec en plus les niches des moniteurs de télésurveillance, celle des caméras de recul…
Un progrès technologique populaire, c’est plein de possibilités de marchés pour le plus grand nombre et aussi des cas particuliers.
C’est comme ça pour tout, tout le temps.
Il y a des centaines d’exemples de marques qui ont été les meilleures du marché a une époque et qui ont quasiment disparues.
Quand de nouveaux procédés de fabrication permettent de faire des appareils plus légers, avec moins de matières premières, plus puissants, moins nouveaux, moins bugués, moins limités, les premiers à avoir ouvert la voie perdent des parts de marchés au profit des nouveaux arrivants.
Regardez il y a quelques années Apple avec ces merdiphones à trois fois le prix des autres portables. J’en ai eu un, une horreur. J’avais investi beaucoup plus cher pour être tranquille dans un but professionnel sous les conseils d’un ami qui ne m’en avait dit que du bien. J’ai l’impression que jusqu’à 20 fois par jour je passais mon temps à atterrir sur l’AppleStore ou iTunes ou d’autres services tous payants, parce que des liens et des icônes, étaient systématiquement mis au milieu à gêner volontairement pour que l’on clique dessus et passe pour la boutique Apple pour absolument tout, tout, tout, tout, tout.
Un système informatique totalement verrouillé, ça ne donne pas beaucoup de possibilité de choix. On est coincé.
Et donc maintenant Apple fait un flop, n’arrive même plus a écouler ses stocks de produits pourris finalement pas si hauts de gamme que ça.
Les smartphones sous le système libre et gratuit Android se sont imposés très massivement.
Vers le Google store on trouve des millions de logiciels et de jeux, dont beaucoup gratuits.
Le changement technologique est constant.
La seule chose qui ne change pas est justement que tout change tout le temps.
Une tendance de fond, massive, s’accompagne de plein de niches très spécialisées.
Tenez, regardez, l’immense marché du vêtement. Certains vendent encore des jeans à pattes d’éléphant des années 70, pour les collectionneurs, les déguisements, les amateurs de mode de très mauvais goûts, le cinéma, le théâtre… quelques niches.
Peut importe la tendance générale de la mode.
Ils ne sont pas en concurrence avec la grande distribution.
Actuellement certains se font encore énormément d’argent en vendant qu