Au début de l’année je vous avais annoncé la publication d’un dossier clé en main avec tout ce qu’il faut savoir pour vous mettre facilement à l’abri du chômage en exploitant près de chez vous un distributeur automatique. Je ne l’ai toujours pas fait. En fait je suis passé à autre chose de beaucoup plus intéressant. Les gains potentiels sont jusqu’à des centaines de fois supérieurs. Ca pourrait vous servir aussi.
L’aggravation de la situation économique avec plus d’un million de nouveaux chômeurs depuis françois hollande et la pauvreté qui explose ne sont pas les seuls problèmes.
Depuis le massacre de Nice, les médias dissimulent maintenant jusqu’à 5 petits attentats par jour, à la hache, au couteau, à la machette, juste à côté de chez nous, soit ici dans nos villes et villages, soit chez nos voisins très proches, allemands par exemple. Toujours officiellement par « des déséquilibrés » (qui crient tous allah ackbar).
Ca y est, on n’est plus dans l’étincelle. Le feu de la guerre civile commence à prendre un peu partout.
Donc un travail principal ou d’appoint, de secours, ne dépendant pas d’un lieu, ça permet de ne rien perdre en cas d’obligation de s’éloigner.
Pouvoir travailler de n’importe où, indifféremment dans n’importe quelle monnaie, est aussi un moyen de simplement se mettre à l’abri de la taxation à environ 80% en France.
Quand on voit que cette fiscalité délirante ne permet même plus à une région sur trois de pouvoir payer l’aide sociale minimale. L’escroquerie de la dette avec des intérêts délirants est sur le point de mal finir.
Ce n’est pas que pour le RSA, mais pour tout le monde. La retraite par capitalisation perd de l’argent maintenant que les taux de prêts mondiaux sont négatifs, pour la première fois de toute l’histoire de l’humanité.
C’est généralisé. Des dizaines de banques essentielles dans les soi-disant meilleures économies du monde sont déjà quasiment en faillite. Il n’y a plus aucun espoir que ça aille mieux puisque maintenant avec les taux négatifs, le prêt ne rapporte plus mais coûte de plus en plus.
Presque tout le château de cartes de presque tous les pays du monde, basé sur de la dette, va bientôt s’écrouler. Plutôt que de subir sans solution, autant avoir la possibilité de basculer en un clic sur une des monnaies qui souffriront le moins, ou qui bénéficieront le plus de la perte de valeur des autres.
Avec une activité principalement sur internet c’est possible. Alors que quand on dépend à 100% des pièces et billets réels, locaux, quand l’économie du pays en faillite ne fait plus illusion sur sa solvabilité, c’est à dire la véritable non-valeur de ses faux billets, on peut perdre presque tout.
… oui, mais quoi faire ?
Les petits commerces sont tous en train de fermer, incapables de rivaliser avec les stocks et les gigantesques variétés de choix de produits des multinationales comme Auchan, Amazon, Carrefour,
Et bien sûr il ne vous viendrait pas à l’esprit de vous lancer dans le commerce en concurrençant Darty, la Fnac, Apple, Amazon,… ou n’importe quelles autres enseignes souvent multinationales au budget de dix pays, déjà implantées, parfaitement rodées, avec des milliers d’employés et tout et tout ?
C’est trop énorme. Il faudrait trop de moyens ?
Non ?
Moi c’est justement ce que je vais faire. Je suis convaincu que c’est justement ce qu’il faut faire maintenant.
Je vais vous donner toutes les idées pour le faire aussi. Je vais m’appuyer sur des exemples très concrets qui me touchent personnellement, mais c’est seulement pour illustrer clairement mes propos. A vous d’adapter les idées dans le(s) domaine(s) où vous êtes bons.
Si en 2017 l’élection présidentielle ne me donne pas le rôle de celui qui va donner l’ordre de fusiller hollande, valls et les 12000 fichés S qui attendent le moment de nous tuer, il est déjà fortement probable que j’emploierai une partie de mon temps libre à commencer à parasiter et pourrir les ventes des multinationales vendant de la très haute technologie à ondes, en proposant des alternatives simples et sans danger.
Je suis malade à cause de ces commerçants sans morale, alors autant créer des entreprises qui vont leur prendre de l’argent. (… ou qui servent aussi de prétexte pour faire réfléchir leurs clients potentiels et faire chuter leurs ventes d’appareils à ondes, qui irradient même ceux qui n’en ont pas achetés mais qui sont simplement autour).
Si si, je peux. J’ai des arguments en or.
Sentir les ondes, ne même pas pouvoir tenir quelques minutes près d’une box en wifi sans sautiller sur place et avoir envie de quitter la pièce, ça donne à la longue un niveau d’expertise qui ne s’apprend pas dans les livres.
Si je voulais créer moi-même des ordinateurs pour électrosensibles, je sais déjà que sur le fond, la technique, le matériel, la science, la publicité des produits, j’ai déjà tout ce qu’il faut pour que ça marche.
Il me faudra seulement un spécialiste des chiffres pour anticiper tous les coûts, les seuils de rentabilité, les marges… (<= une offre d’emploi, partenariat se cache peut être dans cet article).
Je sais même déjà comment financer tout le projet sans sortir un centime. Je vais vous en parler. Piquez vraiment sans hésiter toutes les idées qui pourraient vous servir, c’est fait pour.
Il y a quelques années, Christian Godefroy, un millionnaire, probablement le meilleur commercial de l’époque du début d’internet, parlait d’une de ses meilleures stratégies dans une de ses vidéos de cours commerciaux.
Il disait qu’il avait environ 80 sites internet. Si si, c’est possible, malgré le temps que normalement ça prend. Et encore plus dingue, il passait seulement environ un quart d’heure par semaine sur chaque site.
Si si, je vous dis.
Mais il avait un truc, évidemment. Il n’y passait en fait que pour vérifier que tout aille bien et pour donner les consignes pour la suite aux personnes chargées de l’animation des sites, des nouvelles publications, de la modération…
J’ai moi-même des forums où la modération doit se limiter à moins d’une heure de travail par an. Virer quelques indésirables ou supprimer des messages publicitaires qui réussissent à franchir les filtres automatiques, ce n’est pas ce qui prend le plus de temps. Une fois qu’un bon filtre est réglé, il n’y a plus à passer des semaines à contrôler les publications une par une.
Ce qui prend le plus de temps, c’est la rédaction des articles. Par exemple, celui que vous êtes en train de lire est un tas d’une quinzaine de post-it raturés, rassemblant en écritures aussi minuscules que des traces de pattes de mouches, une grosse centaine d’idées, arguments, exemples… entassés pendant un mois et demi. Puis au moins 60 heures de rédaction, corrections, améliorations devant le clavier. Je continue de réfléchir aux tournures de phrases pour emboiter des arguments venus de domaines très différents en jardinant, en me douchant, en faisant la vaisselle…
Et la recherche des illustrations parfaites, leur renommage intelligent pour intégrer les mots clés et expressions tapées par les gens dans les moteurs de recherche…
L’ajout d’éventuels liens de documentation, tout en vous expliquant à chaque fois pourquoi je choisis de faire ça plutôt que comme les autres, ça prend beaucoup, beaucoup de temps.
Cet article dépasse probablement les 100 heures de travail.
Ca peut sembler curieux que je prenne exemple sur un des meilleurs pour faire justement le contraire de lui mais vous allez comprendre au cours de l’article. Les technologies, les mentalités, le savoir, les sciences et surtout la situation catastrophique (économie et santé générale), ne sont plus vraiment comparables avec les choses d’il y a dix ans.
(Mais sur mes forums j’écris plutôt des articles très courts, un peu comme ceux qu’il achetait. Quelques exemples là.)
Des fois une seule image vaut mieux que 10 000 mots. Regardez qui est sur la première page du plus grand moteur de recherche du monde sur un des pires problèmes de santé publique pour toutes les générations actuellement en vie et la suivante :
Ta daaaaaa !
Et oui, moi. (Je vais vous remontrer comment faire pareil).
On voit avant moi 4 annonceurs payants, très visibles par la mise en page différente indiquant qu’il s’agit d’annonceurs qui paient pour être sur la première page, mais qui ne sont pas là parce qu’ils ont publiés les pages les plus populaires du net.
Le prix d’une campagne est plutôt délirant. Selon le sujet, l’effet de mode, l’actualité, des fois l’achat d’affichage et de clics pour 10 000 euros peut être flambé en même pas 12 heures. Une fois que l’argent investi dans la campagne est épuisé, ces personnes retombent dans les profondeurs des classements, peut être sur la 15000 ème page de résultats que jamais personne ne consultera, tellement leur site fait d’une seule page de vente est presque dénué d’intérêt pour les moteurs de recherche d’informations.
Vous comprenez pourquoi certain payent. Pour lancer instantanément leur activité sans attendre, mais ils disparaissent des classements naturels dès qu’ils ne paient plus les moteurs de recherches pour influencer les résultats.
Là, dans ce cas précis je ne sais pas combien ces gens payent.
Moi ça ne me coûte pas un centime.
Puis pour moi c’est définitif.
Je resterai probablement définitivement sur la première page puisque je reçois des dizaines de milliers de visites d’internautes francophones qui cherchent comment se protéger des ondes.
Presque à chaque fois la formulation est différente. Les gens emploient des mots différents, expriment des besoins particuliers, de nouveaux besoins adaptés aux technologies du moment, etc…
Et donc, comme je suis sur la première page des moteurs de recherche, j’ai accès à des statistiques connues seulement des moteurs et des premiers sites, sur ce que les gens veulent exactement, tout ce qu’ils veulent.
Donc, je suis quasiment certain de garder cinquante coups d’avance sur quasiment tous les concurrents possibles.
D’ailleurs vous allez juger par vous-mêmes la qualité de l’article.
Et c’est en licence totalement libre, sans droit d’auteur. Vous pouvez le copier en partie ou en totalité pour n’importe quel usage, pour n’importe lequel de vos besoins, et même faire de l’argent avec, sans me verser un centime ni demander la permission.
En fait, plus je suis cité et plus mon poids augmente dans tous les moteurs de recherches et mes pages sont propulsées toujours plus en tête des classements.
Donc, j’aurais toujours plus un meilleur classement que les gens qui font des campagnes de publicité payantes. On peut me voler mes articles ou mes images, je serai quand même gagnant. C’est beau la technologie quand même…
Une fois qu’on a compris comment ça marche on peut faire presque tout ce qu’on veut dans la matrice. Dans quelques jours vous verrez même mon programme pour la campagne présidentielle de 2017. J’ai utilisé le même principe.
Je suis sur les premières pages des moteurs sur près de 33 000 recherches de solutions aux problèmes des français. Donc c’était facile de savoir précisément ce dont les français ont besoin.
On va voir si quelqu’un qui sait lire des statistiques de visite fait mieux sans dépenser un centime que tous les partis politiques qui eux vont dépenser des dizaines de millions d’euros pour la campagne. Ca devrait être intéressant.
Mais revenons en à Christian Godefroy. Lui, avait complètement zappé la pire tâche. La rédaction d’articles. Il se contentait d’acheter, pour je crois environ seulement 15 euros, des articles prêts à publier, payés à des banques d’articles pour sites internet.
Les articles n’étaient vraiment pas le plus important dans son commerce. C’était juste pour donner l’impression que les sites étaient « vivants », pour donner confiance aux acheteurs, ne pas sembler être une coquille vide d’un site mort trainant encore sur internet.
C’était pour créer une petite animation, pour séduire les visiteurs qui revenaient.
C’était comme dire « bonjour » quand on rencontre quelqu’un ou qu’on commence une conversation. Un basique. Une règle sociétale, quand on veut avoir un comportement social… ou surtout quand un très bon commercial veut vous vendre un produit dont vous n’aviez pas besoin avant qu’il vous emmêle.
Lui, ce qui l’intéressait était seulement la vente. Le chiffre. La marge. Les patates, le blé, le flouze, l’oseille.
Sa solution de facilité, parfaitement rodée et reproduite environ 80 fois, était de faire des sites de niche.
Une niche est une minuscule portion spécialisée dans un domaine d’activité.
Le meilleur exemple que je connaisse date un peu mais il est parfait pour illustrer mes propos. Vous connaissez les appareils photos de la marque Leica ?
Ca doit être un peu la même chose avec les voitures Ferrari ou les montres Omega.
Je ne connais plus du tout les prix des appareils photos, puisque je ne fais plus de photos.
Je me contente de photos floues pourries à l’aspect super amateur que tout le monde peut faire avec un téléphone, justement pour bien faire comprendre que tout le monde peut faire facilement les choses que je vous montre pour vous mettre à l’abri de l’effondrement.
Tenez, des fois je pousse même un peu trop loin l’aspect Jemenfous et je suis finalement obligé de récupérer sur le net des images quand même bien moins pourries que celles que j’avais faites pour illustrer un article.
Par exemple, dans cet article, ni jamais en fait, vous ne verrez la photo floue, sous-exposée, sans flash, mal cadrée, avec un décor de gros bordel, que j’ai faite dans ma chambre, quand j’ai arraché la dernière carte wifi de la maison.
A la place vous verrez cette belle image bien proprette de carte wifi pci, prise dans un moteur de recherche :
Hooo, c’est beau !
Maintenant plus rien n’émet des ondes chez moi. Même la box internet est réglée pour ne plus rien émettre. Maintenant tout est câblé, à l’ancienne.
Je n’ai pas besoin d’images super racoleuses et coûteuses de l’ultra-haut de gamme avec des mannequins en bikini maquillés et photoshopés comme pour les pubs pour vendre des motos.
Je n’ai plus du tout besoin de très bon matériel photo pour ce que je fais maintenant. Et surtout, justement, avec internet on a accès à tellement de milliards d’images que je n’ai plus très souvent besoin de faire les miennes pour la plupart des articles. Donc, je ne connais plus du tout le prix des appareils photos actuels.
Donc, je prends l’exemple d’une marque complètement dingue il y a 20 ans.
Le marché était à la vente de millions et des millions d’appareils photos avec un moteurs pour la pellicule, faire des prises de vues en rafales, avec plein de capteurs, plein d’électronique, des zooms de folie sur les objectifs… des millions et des millions, ou plutôt des dizaines de millions d’appareils photo, vendus dans le monde par Canon, Nikon et quelques autres.
Un océan, un tsunami de références de modernité, d’automatisme, de simplicité, de polyvalence, de facilité d’utilisation.
A côté de ça, en décalage complet avec le marché, en opposition à tout ce qui se faisait, se vendaient à 15 ou 20 fois le prix d’un bon appareil moderne, des appareils photo Leica, sans électronique, sans automatisme, sans moteur, sans rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien de rien, sauf une facture incroyable, et aussi quand même les meilleures optiques du monde.
Mais à ce prix complètement délirant il n’y avait même pas de zoom.
Il fallait dévisser l’objectif pour le remplacer par un autre objectif, aussi du prix d’une petite voiture, quand on voulait passer au grand angle ou au télé-objectif. Une horreur. Le truc le moins pratique et fonctionnel possible à priori.
Carrément l’emmerdement maximal, pratiquement sans avantage. Une horreur absolue pour le grand public.
Par contre pour les professionnels, les optiques parfaites permettaient des agrandissements exceptionnels, et surtout les optiques sans zoom de Leica captaient beaucoup plus de lumière que toute la concurrence.
A l’époque les pellicules sensibles pour faibles luminosité avaient un grain (une texture parasite) plutôt abominable.
… Et donc finalement, un Leica, c’était la possibilité d’avoir des images de bonne qualité dans des situations de luminosité pas du tout optimales. Pouvoir faire une image au moment où les choses se passent.
Par exemple Eddie Adams remporta le prix Pulitzer avec cette photo de la guerre du Vietnam qui scandalisa le monde entier :
Pour un photographe de terrain, journaliste ou même photographe de mariage ou d’autres évènements ordinaires, une optique qui avait besoin de jusqu’à 4 fois moins de lumière pour réussir une image, ça faisait une différence qui permettait d’avoir les photos bien nettes qui faisaient bouillir la marmite.
Un autre exemple : il ne vous viendrait pas à l’idée d’acheter un scalpel, ou du matériel chirurgical pour allonger la taille des jambes après avoir coupé les os ?
C’est trop spécialisé.
Pas pour le grand public. … Mais ça se vend. Et très cher, même.
Voilà l’idée.
Une niche, c’est ça.
Des choses bien différentes pour un usage très spécialisé.
Ou même pas du tout d’usage. Christian Godefroy parlait aussi de montres pour collectionneurs. Pas le genre de produit qui attire des centaines de personnes dans les commerces généralistes, mais seulement quelques visiteurs par jour, sur des sites internet très spécialisés, où il était quasiment le seul à proposer quelque chose dans sa niche d’activité.
Pas la petite montre en plastique jetable à 12 euros entre les rayons des rillettes et des pantoufles. LA montre vendue en 10 exemplaires par mois et qui permet de verser au moins deux salaires.
En commerce, niche ou pas, le changement est constant.
Par exemple des centaines de millions d’écrans d’ordinateurs à tubes ont été remplacés par les écrans plats à cristaux liquides. Pareil pour encore plus de télévisions.
Avec en plus les niches des moniteurs de télésurveillance, celle des caméras de recul…
Un progrès technologique populaire, c’est plein de possibilités de marchés pour le plus grand nombre et aussi des cas particuliers.
C’est comme ça pour tout, tout le temps.
Il y a des centaines d’exemples de marques qui ont été les meilleures du marché a une époque et qui ont quasiment disparues.
Quand de nouveaux procédés de fabrication permettent de faire des appareils plus légers, avec moins de matières premières, plus puissants, moins nouveaux, moins bugués, moins limités, les premiers à avoir ouvert la voie perdent des parts de marchés au profit des nouveaux arrivants.
Regardez il y a quelques années Apple avec ces merdiphones à trois fois le prix des autres portables. J’en ai eu un, une horreur. J’avais investi beaucoup plus cher pour être tranquille dans un but professionnel sous les conseils d’un ami qui ne m’en avait dit que du bien. J’ai l’impression que jusqu’à 20 fois par jour je passais mon temps à atterrir sur l’AppleStore ou iTunes ou d’autres services tous payants, parce que des liens et des icônes, étaient systématiquement mis au milieu à gêner volontairement pour que l’on clique dessus et passe pour la boutique Apple pour absolument tout, tout, tout, tout, tout.
Un système informatique totalement verrouillé, ça ne donne pas beaucoup de possibilité de choix. On est coincé.
Et donc maintenant Apple fait un flop, n’arrive même plus a écouler ses stocks de produits pourris finalement pas si hauts de gamme que ça.
Les smartphones sous le système libre et gratuit Android se sont imposés très massivement.
Vers le Google store on trouve des millions de logiciels et de jeux, dont beaucoup gratuits.
Le changement technologique est constant.
La seule chose qui ne change pas est justement que tout change tout le temps.
Une tendance de fond, massive, s’accompagne de plein de niches très spécialisées.
Tenez, regardez, l’immense marché du vêtement. Certains vendent encore des jeans à pattes d’éléphant des années 70, pour les collectionneurs, les déguisements, les amateurs de mode de très mauvais goûts, le cinéma, le théâtre… quelques niches.
Peut importe la tendance générale de la mode.
Ils ne sont pas en concurrence avec la grande distribution.
Actuellement certains se font encore énormément d’argent en vendant quelques Goldorak articulés en plastique ou en métal des années 80, Albator en poupée en mousse, ou des cartouches de jeux vidéos de l’époque.
La nostalgie des choses de l’enfance est aussi un moteur pour le commerce de niche.
Tenez, regardez le Joueur du grenier, sur Youtube. Son fond de commerce est la niche des jeux vidéos de son enfance, et ça cartonne.
Et oui, on peut racheter deux fois le même produit dans une vie. Une fois pour le casser quand on est gosse, puis une deuxième à 30 fois son prix de l’époque pour avoir le plaisir de l’exposer sur une étagère.
Des fois, le commerce, c’est con.
Donc il y a certainement probablement des domaines où vos préférences, votre formation, votre parcours de vie, font de vous une personne éclairée, ayant une maitrise du sujet bien au-dessus de la moyenne.
Des niches exploitables par vous.
Comme il y a plus de 10 millions de français qui ne vivent pas décemment d’un travail, le rappel n’est pas superflu.
Et parfois ce n’est pas un diplôme qui vous apporte une compétence. Ca peut être un des hasards de la vie.
Vous utilisiez le wifi plus de 6 heures par jours pendant des années par exemple.
En ce moment il commence à se créer très massivement des dizaines de niches en rapport avec les effets nocifs des ondes.
Le progrès technologique a encore frappé, pour tout changer massivement.
Sauf que maintenant c’est les humains qui commencent à tomber en panne.
Pour ne pas devenir trop vite une épave, il faut investir dans du matériel pour se protéger soi-même, pas juste pour être à la mode.
Quoique…
Ca c’est quand même le plus haut niveau de la connerie humaine. Acheter un combiné de téléphone en plastique 5 fois plus épais, lourd, encombrant, que le minuscule téléphone mobile, pour recevoir moins d’ondes cancérigènes dans le cerveau, au lieu d’arrêter d’utiliser un smartphone.
Il y a de la demande. Les gens sont complètement accrocs.
Plutôt que de jeter (ou revendre sur leboncoin) les appareils dangereux, une gigantesque niche se crée.
Des pastilles à 30 euros à coller sur les portables, même si les tests semblent montrer une quasi-inefficacité, quand ça n’amplifie pas carrément les ondes, l’effet contraire du but recherché.
Des objets décoratifs, pas forcément toujours d’un goût extra, mais toujours par contre d’un prix délirant.
Vous avez vu les prix ?
On peut parler d’arnaques, là.
Ou d’Eldorado.
Comme il n’y a pas encore de concurrence, les premiers à proposer leur gamme de produits fixent des prix couramment 10 à 50 fois la valeur réelle.
Un sac de couchage à 330 euros parce qu’il contient quelques fils métalliques.
Un sweet-shirt qui vieillit incroyablement vite, qui bouloche, qui ne se conserve pas, parce qu’il faut le décharger de l’électricité statique en le relavant tous les trois jours, 265 euros !
Le même tissu existe maintenant avec actuellement très peu de choix, dans un peu toutes les gammes de produits. Par exemple un bandeau anti-ondes pour le ventre des femmes enceintes qui veulent absolument continuer a jouer en wifi a Candy crush saga, ou quelques pantalons, des carrés de tissus pour la tête, ou des casquettes…
Personnellement je ne mettrais pas 120 euros dans une casquette, mais pour le moment il y a encore trop peu de choix possibles.
Il est déjà absolument certain que ce secteur d’activité va connaitre une croissance monstrueuse pour une raison simple. Regardez bien cette image :
Cette image ne montre que le wifi des voisins et ça fait déjà peur.
Elle ne montre pas les antennes relais, les ondes des différents réseaux de téléphonie mobile, le bluetooth, le NFC, les téléphones Dect, la TNT, les ondes de toutes les radios, les détecteurs de présence, les appareils connectés, les nouveaux compteurs d’électricité, de gaz, d’eau, etc etc etc…
Même si chez vous vous supprimez tous les appareils à ondes vous allez tomber malade grâce aux voisins.
Une estimation scientifique prévoit une personne sur deux malade des ondes dans 20 ans.
Je crois que l’estimation est beaucoup trop optimiste vu la quantité de millions de nouveaux appareils partout.
Je crois que l’on est déjà tous beaucoup trop atteints par les ondes. Regardez à quel point tout le monde va mal. Toutes ces maladies émergentes, tous ces cancers, presque tout le monde est insomniaque, épuisé, sous anti-dépresseur ou diagnostiqué comme malade imaginaire chochotte par les médecins sans remèdes qui prennent votre argent pour vous mettre plein de mercure dans les veines et les dents et aggraver les problèmes.
Vous allez parfois dans les foires et salons du bio et du bien-être ?
Il y a quatre ans on n’y voyait aucun produit pour personne électro-hyper-sensible.
Maintenant par foire vous trouvez déjà 5 à 10 stands qui ont au moins un produit. Par exemple des étuis anti-ondes pour téléphone portable, des plaids en fibres métalliques pour le ventre des femmes enceintes, des tapis et coussins à relier à la prise de terre…
Le marché commence à peine.
Et comme justement il n’y a pas encore de recul, on trouve de tout et beaucoup trop de n’importe quoi, comme la zéolite vendue presque au prix du diamant. C’est juste une poudre de caillou, avec quelques unes des capacités du charbon de bois pour barbecue à 4 euros les 6 litres à la superette trop chère du coin de la rue.
Les magasins bio et les pharmacies le vendent 100 fois plus cher en l’appelant « activé » ou « super-activé ». J’ai déjà fait un gros article sur le charbon, là.
Ca a été très efficace sur moi.
Avant à plus de 500 mètres d’une antenne relai je commençais déjà à cuire et l’irritation me faisait me tourner vers l’antenne, toujours, sans faute. Je sentais leur présence à des centaines de mètres.
Maintenant, après grosso-modo une cuillère de charbon en poudre 4 ou 5 soirs par semaine, la sensation de cuisson, vraiment désagréable, à la base du crane, apparait à environ 30 gros mètres d’une antenne relai.
La formule mathématique, physique, pour calculer la puissance nocive est un truc du genre : chaque fois que l’on diminue la distance de moitié entre l’émetteur et la cible, la puissance des ondes est multipliée au carré. La formule exacte, je l’ai oubliée. Je déteste les maths. Mais c’est des notions de valeurs complètement folles.
Du genre, si je cuis à 30 mètres alors qu’avant c’était à environ 600, avec la multiplication au carré et tout le tralala, ça veut dire que maintenant je suis des milliers de fois moins sensible aux ondes des pylônes de téléphonie mobile.
En réduisant le périmètre désagréable autour des antennes relais, j’ai gagné des dizaines d’hectares de zones confortables pour moi, en plein air.
Cool. Une énorme amélioration.
… mais non. Il y a un problème.
Ca m’a permis d’apprendre de nouvelles choses vraiment mauvaises, vu que je me documente toujours plus sur le sujet.
Maintenant je sais que la maladie des ondes empire constamment une fois qu’elle est installée. Petit à petit toutes les gammes d’ondes s’ajoutent. Si au départ il n’y avait par exemple que le wifi qui provoquait des insomnies sans remèdes, ou les détecteurs de présence des alarmes qui faisaient mal, petit à petit toutes les ondes deviennent nocives.
Basses fréquences, hautes fréquences, tous les trucs sans fils…
Mais aussi, le seuil d’intolérance diminue constamment. A des niveaux de plus en plus faibles les choses deviennent difficilement supportables.
En début d’article je vous parlais de la toute dernière carte wifi de la maison qui a été supprimée. Ce qui a permis de désactiver aussi carrément le wifi sur la box internet.
Avant même près du téléphone filaire, à quarante centimètres de la box, je n’avais qu’une envie c’était de raccrocher le plus vite possible. Je vois que c’était le wifi puisque maintenant je passe du temps dans un coin de la maison où je n’étais jamais.
Hier je suis passé 3 minutes dans un bâtiment administratif. Des frissons en quelques secondes. Un capteur de présence à l’intérieur au-dessus de la porte. Un téléphone de bureau sans fil Dect et le télephone portable de la secrétaire.
Apparemment maintenant que je suis moins sensible aux antennes très puissantes, les petites intensités me sont devenues pénibles.
Les sensations de cuisson à côté des petits appareils ordinaires ne sont plus masquées par les émetteurs surpuissants très loin.
Comme je continue de prendre du charbon en poudre je verrai dans quelques mois si après avoir diminué la sensibilité aux pires antennes mobiles, ça diminue aussi la sensibilité aux ondes des appareils plus ordinaires.
Pour le moment c’est pas la joie.
Un autre exemple encore plus extrême, sur le bureau de ma chambre, depuis trois mois il n’y a même plus de souris optique. Même ça, avec fil, en USB, ça me dérange. Le courant qui passe dans la led me chauffe la main.
Maintenant j’utilise tout le temps un vieux trackball. C’est une souris à l’envers, avec les boules à l’ancienne.
Une technologie qui était à priori totalement périmée il y a déjà plus de 15 ans.
Je me demandais pourquoi je ne faisais qu’utiliser ce truc pas pratique, qui n’a même pas de molette pour faire défiler l’écran. Il faut tout le temps repasser par le clavier pour utiliser les flèches.
Une horreur.
Et j’ai eu le déclic. J’ai repensé à un truc fou, complètement absurde à priori, que j’avais vu sur un site anglophone de matériel pour électro-sensibles. Une souris à boule, à fil… à 18 dollars.
Dingue !
La vieille souris trop moche de l’époque de mamie, toute grise, avec le fil, la boule qui ramasse les dépôts collants sur le bureau où la main transpire, qu’il faut démonter souvent pour nettoyer sinon les contacts autour de la bille ne fonctionnent plus, la corvée d’avant les bonnes souris non-démontables avec des diodes à led qui rayonnent non-stop, toujours super-précises, ultra-modernes, qui ne coûtent presque plus rien.
Là non, le fossile à 18 dollars.
Il y a 5 ans ça n’en valait même plus 3.
Allez, 2,99 euros, pour la niche des collectionneurs nostalgiques. Mais pas 18 dollars.
Et donc, c’est bon à savoir. Puisque très bientôt au moins une personne sur deux sera touchée par le mal des ondes, que la maladie ne fait qu’empirer.
Vous imaginez ?
Vous avez un commerce spécialisé dans les souris à boules. Pas que des fossiles gris dégueux. Aussi des roses à paillettes pour les adolescentes. Des souris pour les gosses dont la boule ressemble au nouveau robot de la nouvelle série Star Wars…
Quand vous savez déjà ce qui va se passer, vous pouvez agir pour en profiter.
Si vous savez déjà que des centaines de milliers de français vont se mettre a racheter des câbles Ethernet, vous pouvez en commercialiser.Vous avez déjà vu en rayons des câbles « blindés » vendus des dizaines d’euros plus chers que le câble premier prix posé à côté ?
Je vais vous dire un secret.
Les câbles blindés c’est juste que quelques fils de métal très fins ont été ajoutés autour des fils électriques, éventuellement parfois aussi une fine feuille de métal, avant la dernière couche de plastique qui maintient ensemble tous les petits fils du câble.
En fait, technologiquement, le surcoût à la fabrication est presque négligeable, mais on trouve fréquemment des câbles blindés vendus des dizaines d’euros plus chers. Les gens ne savent pas, alors ils n’ont pas l’impression de se faire carrément voler.
Y’a écrit blindé dessus.
Les tissus anti-ondes c’est la même chose. Un tissage métallique extrêmement fin, intégré dans les fils en matière naturelle ou en matière plastique. Et hop, 100 fois plus cher.
Si vous fabriquez ce genre de choses, la marge est carrément hallucinante.
Si vous êtes revendeur, c’est pas mal aussi. Entre un câble à 2,99 euros et le même dans une jolie pochette avec écrit « blindé » dessus, « anti-ondes », « parfait pour personnes électro-hyper-sensibles », à 23 euros, ça fait 20 euro de plus par client.
Quoi ? vous en vendrez peu. Y’en aura moins qui achèteront ?
C’est pas sûr.
Tenez, cadeau :
« Ce câble est idéal dans une chambre d’enfant pour réduire les effets nocifs des ondes ».
Et pof, 40 000 clients potentiels en plus.
« Ce convertisseur USB 2.0 Ethernet RJ45 permet le branchement d’un câble réseau blindé sur les ordinateurs et tablettes modernes dépourvus de port RJ45.
Une fois le wifi désactivé, vous pourrez retrouver le plaisir de jouer à Candy crush saga sans crainte, même pendant votre grossesse ! »
« Nous vendons aussi une large gamme de câbles blindés de toutes les tailles pour tous les usages, partout chez vous ou au travail. 0.80 m, 1.50m, 2m, 4m, 6m, 8m, 10m, 15m, 20m et 25 mètres. »
« Notre boutique a prévu aussi la possibilité de partager votre connexion internet avec vos visiteurs d’un simple geste, avec ces doubleurs de câbles RJ45.
Fini la corvée de la saisie des mots de passe interminables. Une seule prise à clipser pour obtenir instantanément une connexion en très haut débit. »
Et voilà, le bout de plastique à 25 centimes commercialisé à 16 euros.
« … mais indispensable. »
Je déconne mais quand une simple souris d’ordinateur donne une sensation de cuisson dans la main, là ça craint vraiment.
Est-ce que vous savez qu’il y a déjà des milliers de français(e)s qui ont pété les plombs et qui vivent dans des tentes en forets, dans des camionnettes sous des arbres, dans des yourtes sans rien autour, loin de tout ce qui est électrique ?
Non, enfin, plutôt qui « survivent », pas qui vivent.
Impossible d’utiliser un ordinateur, consulter des emails, insulter hollande sur son Facebook comme tout le monde ou faire d’autres trucs aussi utiles, peut être aussi de la comptabilité, un peu, la déclaration d’impôts, monter des vidéos, gérer un planning, travailler…
Chercher sur internet pourquoi on est malade, à quoi correspondent nos symptômes, comment se soigner ou diminuer les nuisances…
Impossible de trouver des informations s’il est impossible de tenir prêt d’un ordinateur.
Pour de plus en plus de dizaines de milliers de français – et partout dans le monde moderne, dans toutes les langues -, être à côté d’un ordinateur va être une épreuve désagréable pour une personne sur deux. Vous imaginez le marché ?
Pas seulement pour les ordinateurs, ni tous les produits autour, câbles, adaptateurs, filtres, supports blindés, souris à fil…
mais aussi pour les vêtements anti-ondes, les protections des habitations, les jouets avec fils, les médicaments de détoxication des métaux, les étuis pour téléphones portables…
C’est un marché de dizaines de milliards dans toutes les monnaies, rien que pour les quelques années qui viennent. Après ça ne fera que grandir. Au moins une personne sur deux à avoir besoin de protection à cause des symptômes désagréables ou handicapants.
Des milliers de niches autour du même problème de santé publique qui commence.
La vente d’objets n’est pas la seule manière d’en profiter pour mettre sa famille à l’abri du chômage généralisé. Il y a aussi les services comme les installations à domicile, les vérifications du système électrique par exemple. Mais aussi les soins aux malades. Les aides pour ceux qui ne peuvent plus aller en centre ville…
Cette technologie démente des ondes nocives partout va créer ou déplacer des centaines de milliers d’emplois rien qu’en France.
Il y a forcément une niche (au minimum) qui corresponde à vos compétences.
Et, tenez, encore un exemple. Sans faire de vente, sans avoir déjà des produits à forte marge à vendre, juste avec la visibilité des articles, de l’argent circule.
Par exemple une à quatre fois chaque mois je reçois ce genre de propositions par email :
Je n’ai même plus à chercher des publicités pour auto-financer mes sites. Les annonceurs viennent d’eux-mêmes. Quand il y en a un qui semble valable je le teste.
Pour celui-ci (themoneytizer.com) la première impression est bonne. Un petit encart dans la barre de navigation du site, là ===>
fait tranquillement 24h sur 24 monter les gains.
Ca avance plus vite que chez les autres régies testées, sauf Google Adsens qui est très largement au-dessus.
Les affichages publicitaires, c’est des petites sommes mais c’est constant.
Ce n’est qu’un des annonceurs du site.
Avoir tous ses oeufs dans un même panier ce n’est pas survivaliste.
Plusieurs petites sources de revenus différentes sont plus sûres qu’une seule.
Il faut impérativement que je vous montre un truc flippant. Ca va vous faire une idée de la situation économique plus proche de la réalité que le « La France va mieux ! » d’hollande.
Tenez regardez cette image, dans le coin, en bas :
Le taux d’annulation est proche de 100%. C’est à dire que les commissions qui étaient sensées être versées par cet annonceur ont quasiment toutes été annulées.
C’était un service autour de la garde d’enfants. Je n’étais pas affilié à son programme. C’était de la curiosité, en fouillant partout, quand j’arrive dans une nouvelle régie publicitaire, pour voir les performances, les avis, les retours, les mauvais plans…
Il semblerait que les services sur le web soient aussi en train de bien se casser la gueule.
Après la prise d’un abonnement les demandes d’annulation ou de remboursement sont très massives. En dehors de ce cas extrême à 95%, j’ai surtout vu des wagons d’annonceurs avec des taux d’annulation entre 40 et 65%.
Les affiliations par pourcentage sur les ventes ne semblent plus marcher. Il n’y a plus d’argent qui coule. Le système semblait très prometteur il y a cinq ans mais maintenant les petites sommes à l’affichage publicitaire font autant voire plus que les commissions sur les ventes, trop souvent annulées.
En plus des achats frauduleux avec des cartes bancaires volées en progression constante, donc des ventes annulées, il y a aussi le problème des demandes d’annulation après les ventes. C’est une arnaque.
C’est un moyen qui devient courant pour voler les auteurs.
Quelqu’un achète un livre électronique (eBook) ou un cours vidéo de formation, un abonnement, un pack coaching et vidéos de membres, un accès à un forum pro…
et quand il a vu, eu, copié ce qu’il voulait, il demande l’annulation de la vente, du contrat, de la transaction, la résiliation de l’abonnement…
… donc l’auteur ou l’annonceur rembourse, mais garde à sa charge tous les frais financiers des intermédiaires. Des fois ça peut être un carnage. Des charges qui deviennent supérieures aux rentrées d’argent.
L’année dernière j’avais testé la fonction « Faire un don » de Paypal, qui m’a permis de lancer très vite deux nouveaux forums grâce à un généreux coup de pouce des visiteurs de .
Je ne sais pas si c’est toujours le cas, mais sur chaque don, même minuscule, Paypal prenait automatiquement 50 centimes.
Selon les services et les structures, un auteur peut par exemple avoir 4% de commissions sur les ventes de son eBook pour la centrale de vente, avec des dizaines de frais cachés, comme chez les banques. Par exemple votre compte est resté inactif pendant trois mois, hop, des (prétendus) frais de gestion de comptes inactifs. Vous n’avez pas cumulé assez pour atteindre le plafond pour toucher vos sous. Les frais mensuels finissent par tout vous prendre, vous avez travaillé pour rien.
Un de mes meilleurs amis me parle souvent (depuis cinq ans quand même) de son projet d’eBook pour survivalistes et néo-ruraux. Je sais qu’il a une manière particulière de gérer les idées, bien différente de la norme. Comme moi il remarque les choses qui sont invisibles au plus grand nombre. Et vu qu’il creuse le sujet depuis cinq ans, ça devrait valoir le coup d’oeil quand il publiera enfin.
Récemment il m’a montré les sites de vente des livres sur les potagers d’autosuffisance, anti-crise, bio… des dizaines et des dizaines de références.
Il y a quatre ans, il y en avait très peu.
Le pire c’était dans les bibliothèques de Marseille. Les livres étaient introuvables. Maintenant il y a presque toutes les meilleures références.
Je lui ai dit : « Tu vois, tu as trop tardé. Maintenant le marché est saturé. Il y a trop de concurrence ».
Il m’a répondu : « Au contraire. C’est révélateur d’un marché en pleine croissance. C’est clairement ce que veulent maintenant les gens. C’est le moment idéal. »
C’est curieux comme sur un même fait on peut avoir des avis très différents, en fonction des croyances de celui qui regarde.
Une même vérité change de sens. Des opportunités supplémentaires ou des confirmations pour certains.
Pour le moment je suis dans la stratégie des petits cours d’eau qui se rassemblent pour donner une rivière.
Ca correspond à ce que je vois du marché en ligne, des taux d’annulations chez les annonceurs, du pouvoir d’achat des français qui sont 1 sur 4 à découvert tous les mois.
Les publicités non dépendantes d’une validation de l’achat, ça marche.
Les publicités aussi évoluent. Par exemple dans un seul et même petit encart on peut voir carrément 15 produits en promo avec des prix en rouge.
Vous réalisez ?
Il n’y a tellement plus d’argent qui circule que même le plus gros annonceur du monde se brade et affiche 15 pubs pour le prix d’une seule.
Le système financier en entier est sur le point de s’arrêter. Vivement son redémarrage.
En attendant, les pubs ça marche encore un peu.
Et donc, si vous avez des pages web, un site de vente, avec un peu d’ancienneté, vous passez devant les autres sur les résultats des moteurs de recherches.
Donc, les pubs, c’est vous qui les affichez. Ca marche déjà.
… et quand vous vous lancerez plus activement, pour vendre vos propres produits, ou ceux des autres, dans les niches où vous êtes experts, vous aurez l’ancienneté, le haut du classement, et donc vous ferez des ventes directes sans frais d’intermédiaires, sans milliers d’euros à gaspiller dans des campagnes temporaires de publicité.
Avoir ses propres page web, je pense que maintenant c’est vraiment la base.
La création de pages web c’est comme mettre des graines en terre pour avoir plus tard des fruits à récolter.
Là avec cet article, en partageant les solutions que j’utilise moi-même, j’en profite pour rajouter des mots clés et expressions courantes dans les noms de la quarantaine d’images, au lieu de noms comme « pic_75016576578768 ».
Je joins l’utile à l’utile et encore à l’utile de tous les côtés. Vous, vous trouvez les choses que vous cherchiez. Et même plus. Vous restez tellement longtemps sur les longs articles que les moteurs ne vous voient plus revenir pour faire une autre recherche, et enregistrent que mes pages sont donc pertinentes et ils me classent avant les autres.
Je gagne des mots clés donc des dizaines ou centaines de milliers de visiteurs futurs, qui affichent des publicités qui financent mes projets, pendant que d’autres complètent mes propos avec leurs commentaires.
C’est planté pour plus tard.
Quand j’en aurai besoin, ça sera là.
Tiens, justement, j’y reviens.
Donc je vous ai dit tout au début de l’article que si l’élection présidentielle de 2017 ne me donne pas le pouvoir d’en finir avec l’europe, le terrorisme, de mettre en cage les politiciens, je suis presque sûr de me lancer moi aussi dans la commercialisation d’appareils spécifiques pour électro-sensibles.
J’ai démonté des centaines d’ordinateurs, téléphones, tous les trucs électroniques en panne qui me tombaient sous la main toute ma vie, pour comprendre comment les choses marchent, donc j’ai sans avoir les diplômes pour, des compétences qui s’ajoutent à celles apportées par ma maladie.
On peut dire que j’ai une vision d’expert dans ma niche, unique, ou quasiment.
Je sais qu’il ne suffit pas de tendre un tissus « blindé » autour d’un appareil qui rayonne, des tresses métalliques autour des fils, des grilles devant des composants, ou seulement d’une longue plaque de cuivre totalement opaque, ou un coffrage en aluminium pour arrêter des ondes. En fait selon la nature de l’onde et sa puissance c’est l’effet inverse qui se produit. C’est différent presque sur chaque pièce. Au lieu de diminuer la nocivité elle peut être canalisée et amplifiée.
C’est justement un problème déjà noté par une association de consommateurs qui a testé les pastilles à coller au dos des téléphones portables. Et pof ! la douche froide. Le patch sensé vous protéger vous donne plus vite un cancer du cerveau.
… ceci pour dire qu’il est inutile de purement et simplement me piquer l’idée de niche de commercialiser des ordinateurs portables pour électrosensibles. Pour une fois je ne vous révèle pas tout dès le départ pour garder quelques infos stratégiques. Comme ça si quelqu’un veut essayer de piquer précisément mon idée il a de grandes chances de se retrouver à essayer de commercialiser des trottinettes en panne quand je proposerai des Ferrari.
Mais je vais quand même vous donner tous les grands axes, ça pourrait vous être utile pour vos prochains achats.
On est dans l’idée de tomber bientôt dans un monde où une personne sur deux souffrira des ondes. Maintenant presque tout est numérique. Tout est connecté.
Les personnes les plus électro-hyper-sensibles vont avoir besoin de matériel parfaitement spécifique pour garder des contacts avec le reste du monde, famille, travail, amis, études, commerce en ligne, loisirs…
… euh… avant de me lancer dans encore un énorme pavé de texte je vais aérer avec une image.
Regardez cette merveille :
Yzibook. Une nouvelle génération de portable, sous Android.
Android dans un grand écran, avec un vrai clavier, une autonomie gigantesque, des prises…
Wow.
Ca a l’air d’être un rêve.
Trop beau pour être vrai.
En fait non, c’est réellement merveilleux. C’est un ordinateur ultraportable réellement très bon, une nouvelle génération qui améliore beaucoup de choses, mais pas du tout adapté aux personnes électrosensibles.
Au premier coup d’oeil je remarque que la mémoire de stockage ne fait que 8 gigas. C’est minuscule.
C’est réellement un appareil pour être connecté tout le temps, qui utilise des ressources en réseau, comme tous les contenus en ligne. Par exemple Youtube avec des milliards de vidéos.
Quand on n’est pas connecté, il faut un vrai gros disque dur. Les vidéos enregistrées pour plus tard ça prend beaucoup de place.
Donc, le vrai disque dur interne est impératif. C’est épais, ça consomme et ça chauffe.
Ensuite, il y a seulement 2 ports USB.
C’est presque inutilisable pour un électrosensible.
Si on branche une souris et une clé, pas possible d’utiliser l’imprimante, ou de mettre un vrai grand clavier de bureau. Il faut tout le temps intervertir les prises.
4 ports USB c’est un minimum.
Ensuite il y a un problème que seul les gens déjà expérimentés connaissent. L’appareil a une connexion WiFi b/g/n et le système d’exploitation est Android.
Ca veut dire qu’à chaque démarrage, le système prévu pour être connecté va automatiquement émettre pour se connecter, et que l’on doit soi-même à chaque fois désactiver ce putain de wifi pourri.
Presque tous les nouveaux Linux semblent avoir le même comportement. Je dis presque mais en fait les plus de quinze distributions Linux que j’ai essayées ces deux dernières années faisaient pareil.
Connexion automatique aux wifi connus dès le démarrage.
Personnellement j’ai résolu le problème en arrachant purement et simplement la carte wifi de mon ordinateur de test. … mais ce qu’il est possible de faire avec un PC de bureau n’est pas possible avec un ordinateur portable. Le démontage casse des trucs presque une fois sur trois. C’est pas prévu pour être démonté.
… donc dès le départ il faudra un ordinateur monté sans aucune antenne wifi, bluetooth, NFC… à l’intérieur.
Il faut que ces périphériques se branchent par les ports USB quand on est vraiment obligé de s’en servir.
Tant qu’à faire, autant ajouter directement une antenne wifi directionnelle, avec deux ou trois mètres de câbles blindés, pour avoir une connexion à l’autre bout de la pièce, donc beaucoup moins nocive.
Ca m’étonnerait qu’un électrosensible branche plusieurs émetteurs d’ondes différentes en même temps, mais à chaque fois c’est un port USB qui est utilisé.
L’USB a le défaut d’avoir été très mal conçu dès le départ. Il n’y a pas de détrompeur. Souvent pour arriver à enfin enfoncer la prise il faut retourner 4 fois l’embout. … donc, obligatoirement de la casse prématurée, surtout si on partage son ordinateur avec des enfants ou des personnes âgées.
J’ai parlé de 4 ports USB minimum mais en vérité il en faudrait 6. Donc un net surcoût par rapport aux seulement deux sur les portables modernes.
6, si on veut un ordinateur durable. Et justement, là, le marché impose que l’ordinateur soit beaucoup plus durable que la moyenne.
En France, environ 90% des personnes en situation de handicap vivent, non survivent, en-dessous du seuil de pauvreté.
Une personne en situation de handicap ne peut pas racheter constamment des merdes prévues pour une durée de vie de deux ans et demi. L’achat doit être presque définitif.
Quitte à mettre 100 euros de plus dans un appareil avec une coque beaucoup plus solide, des composants capables d’évoluer, un ventilateur accessible…
Dans un ordinateur portable tout le système de refroidissement, le ventilateur, les dissipateurs, les trous d’aération, quelques gaines d’airs, tout s’encrasse et se bouche en un à trois ans. C’est du jetable. Même si vous mettez 1600 euros dans un ordinateur portable haut de gamme, c’est toujours le même principe. Les industriels sont dans le tout jetable et l’obsolescence programmée pour vous prendre le plus possible de fric.
Là, au contraire, puisque les clients n’ont pas les moyens de racheter, il faut que tout le refroidissement soit facilement nettoyable, sans risque de toucher ou d’abimer les pièces autour. Donc, ouverture, capot, vis, supports de vis… les vis sont des antennes qu’il faut aussi isoler, donc encore du surcoût.
Quitte à pouvoir ouvrir l’ordinateur, autant y rajouter la possibilité de changer des pièces que l’on n’est pas sensé pouvoir changer sur un portable, pour pouvoir le rendre presque éternel. C’est un argument commercial exceptionnel. Qui séduira les écologistes mais qui est surtout un argument économique essentiel quand le pouvoir d’achat fond comme maintenant. J’y reviendrai plus loin.
Je n’ai pas encore creusé en détail tous les surcoûts liés à toutes les modifications nécessaires, dont aussi celles dont je ne parlerai pas dans cet article, mais à vue de nez pour obtenir un portable réellement totalement anti-ondes la facture juste pour la fabrication risque d’être salée. Donc il faut produire en série et là aussi j’ai la solution. J’en parlerai à la fin.
L’écran doit avoir un filtre anti-ondes. Quand on voit le prix des filtres juste pour de simples fenêtres, en qualité pour l’électronique et sans gêner la visibilité sur l’écran, ça risque de faire mal.
Oups… Je viens de vérifier, oui ça fait mal au porte-monnaie :
Un filtre un peu du même genre risque d’équiper le touchpad… s’il y a un touchpad. Je n’ai pas encore étudié en détail l’effet de ces pièces sur les personnes électrosensibles. Comme c’est un projet pour dans un an, j’ai le temps de bien faire les choses.
Pour le moment je suis carrément dans l’idée (peut être absurde) de revenir au système à boule des tous premiers ordinateurs portables, puisque je ne sens pas moi-même d’ondes gênantes autour de cette chose, sur mon propre bureau.
Mais c’est tellement ancien que ça ne se fabrique peut être plus à un prix abordable. Ce n’est plus du tout un composant standard. (Pour le moment. Peut être que plus tard ça risque de le redevenir avec l’explosion des morts par cancers).
On est dans un cas unique qui va à contre courant de toutes les règles du commerce technologique.
Normalement tout ce qui est technologique perd rapidement de sa valeur. Très rapidement les composants sont obsolètes, plus assez puissants, un concurrent met moins de matériaux, miniaturise plus donc produit moins cher, de nouveaux marchés se créent qui remplacent les anciens…
Normalement tout ce qui est technologique perd de sa valeur rapidement.
C’est un gros problème. Si vous voulez vous lancer dans la haute technologie avec une idée géniale, une nouvelle invention, votre plan de vente va devoir tenir compte de la perte de valeur.
Disons que vous vendez vos machines à 900 euros. L’année suivante les concurrents auront fait baisser votre prix. Votre stock vaut 700 euros par pièce. L’année d’après vous avez du mal à en vendre à 450 euros.
Si votre seuil de rentabilité est 550 euros, c’est la faillite.
Pour des machines fabriquées en très petites séries, le coût sera énorme. Si par contre dès la première commande c’est pour fabriquer 3000 pièces, immédiatement presque tous les coûts sont considérablement réduits.
Ca peut sembler beaucoup, 3000 dès la première fois, mais en fait ce n’est vraiment pas grand chose sur 65 millions de français.
400 millions de francophones, dont un sur deux sera bientôt malade.
200 millions.
Plus haut je vous parlais de ma stratégie des petites rivières qui vont former un grand cours d’eau, de l’intérêt d’avoir des pages web un peu anciennes, référencées sur des mots clés et expressions stratégiques dans le texte et dans les noms d’images.
200 millions de francophones qui vont voir mon site sur la première page de Google quand ils vont chercher comment se protéger des ondes, qui vont voir les pubs que j’affiche ou qui verront mes propres produits. On n’est plus dans l’ordre d’idée de petits ruisseaux.
Voilà pourquoi il faut de l’ancienneté et des mots clés. Avoir quelques pages web le plus tôt possible c’est la base qui facilite les suites possibles.
Grosso modo, un site web de qualité peut coûter seulement environ 40 euros par année chez un hébergeur mutualisé, avec une bande passante illimitée. C’est l’investissement minimum.
Pour du commercial il ne faut surtout pas utiliser d’hébergeur gratuit.
Et les clients ne seront pas seulement les personnes tellement trop super malades que la douleur les pousse à acheter une souris à boule à 18 dollars sans avoir réfléchi. La douleur est un moteur trop puissant.
Ce genre d’appareil ne sera pas seulement vendu aux personnes déjà malades des ondes. Ca peut très fortement intéresser préventivement toutes les personnes obligées de passer plusieurs heures par jour sur un ordinateur : secrétaires, standardistes, infographistes, webmasters, télétravailleurs, commerçants en ligne…
qui ne veulent pas attendre que la maladie se déclare pour agir intelligemment.
Ou même des grands parents qui veulent faire un cadeau technologique qui permet de tout faire mais sans les dangers des ondes qui traversent trois fois plus profondément dans le corps des enfants.
Les idées et les raisons ne manquent pas. Ca devrait assez facilement se vendre à 10 000 exemplaires rien qu’en France dès la première année de production, et toujours énormément plus tous les ans.
Je repense à la femme que j’aimais il y a 5 ans, bien avant que je ne connaisse la maladie des ondes.
Elle ne supportait pas son ordinateur portable. Au bout de quelques minutes sur son ventre elle le jetait presque, loin d’elle, en disant « Ca me chauffe !!! ».
Je lui avais fabriqué sur mesure une table spéciale pour l’isoler.
Après elle ne quittait presque plus son ordinateur. Elle pouvait y passer des heures, confortablement installée sur son lit.
Maintenant je sais ce qu’elle avait.
C’était dû à son stérilet, métallique, juste sous l’antenne wifi du portable.
L’isolation a tout changé.
Donc la pièce maitresse sera la coque du dessous, mais là, je garde le secret de sa fabrication. Comme je vous ai déjà dit plus haut, une feuille métallique, même épaisse n’est pas une protection efficace pour tous les composants et les fils, selon la nature du courant qu’ils transportent. Des fois ça peut au contraire amplifier la nuisance. Là je sais déjà que ça va marcher.
… donc, on peut aussi rajouter dans la liste des acheteuses potentielles, les femmes portant un stérilet.
… toutes les personnes avec une prothèse métallique aussi.
Le produit qui était au départ pensé pour une niche un peu confidentielle pourrait en fait intéresser beaucoup plus de monde.
Encore des dizaines de milliers de plus si j’arrive à faire exactement ce que je voudrais avec les pièces des standards déjà existants.
L’idée est vraiment toute simple. J’ai eu des ordinateurs portables très chers, devenus d’un coup irréparables à cause du prix du technicien pour des machines trop compliquées à démonter sans casse soi-même (HP pavillon avec les cartes graphiques toutes défectueuses), ou la puce à 2 euros du bios d’un magnifique Toshiba plantée et qui nécessitait l’achat d’une nouvelle carte mètre entière, donc une réparation à 360 euros avec la main d’oeuvre. Autant acheter un ordinateur neuf.
Donc l’idée est toute bête. Puisque je veux que la coque puisse s’ouvrir pour nettoyer tout le circuit de refroidissement et rendre le portable durable, autant faire les choses bien dès le départ.
Il n’y aura pas de carte mère faite sur mesure pour un portable spécifique, obligeant à racheter uniquement chez le fabricant, à des prix délirants imposés par lui, puisque sans concurrence possible.
Non, là ça va être bien. La carte mère sera une (bonne) carte pour mini pc ou micro pc. En deux minutes avec un simple tournevis, n’importe qui pourra remplacer une carte mère en panne par n’importe quelle carte mère vendue n’importe où.
Donc non seulement l’ordinateur sera réparable aussi facilement qu’un ordinateur de bureau, mais en plus le côté très évolutif peut intéresser tous les amateurs de technologies, les passionnés d’informatique, ceux qui ont besoin de matériel toujours plus puissant…
Et sans gaspillage puisque la pièce changée lors d’une mise à jour est toujours fonctionnelle, dans un standard compatible avec les autres pièces d’ordinateur. Pas une pièce faite sur mesure uniquement pour un seul modèle de portable.
Elle peut être réemployée, recyclée dans d’autres ordinateurs.
C’est rendu possible par la miniaturisation constante des pièces internes ET le besoin particulier qui rend nécessaire une grande coque externe pour les blindages, un disque dur et toutes les connexions filaires, USB, Ethernet RJ45, et même une prise pour se connecter par fil à un écran plus grand.
On n’est pas du tout dans la gamme de produit qui doit être ultra-plat, miniature, super nomade, toujours dans une poche, dont tous les contenus sont ailleurs, accessibles par une connexion sans fil par wifi ou téléphonie mobile.
Ces appareils n’ont pas la grosse prise pour un câble Ethernet.
Ce n’est tout simplement pas du tout le même genre de produit, pas pour les mêmes usages qu’une tablette ou qu’un smartphone.
Autant profiter de la taille pour avoir vraiment tout ce qui se fait de mieux sur les ordinateurs, les tablettes, les smartphones…
Je vous disais qu’on est dans une période exceptionnelle où les règles changent.
Une chose qui m’étonne est que l’on a apparemment inversé la course vers des systèmes d’exploitation demandant toujours plus de ressources, en périmant toujours plus vite les machines.
Par exemple d’un windows à l’autre il fallait presque à chaque fois une machine quatre fois plus puissante, parce que le système passait d’une taille d’un demi CD a une palette entière, plus l’antivirus obligatoire avec 400 millions de signatures, sans oublier le programme de sécurité pour les logiciels malveillants qui ne sont pas vraiment considérés comme des virus mais qui vous espionnent, volent vos données, vous inondent de publicités, installent d’autres logiciels, remplacent votre navigateur…. rhaaaaaa!!!!
Une fusée avec les meilleurs composants devenant une limace sous la charge de travail des logiciels.
Apparemment on en a enfin terminé avec les systèmes d’exploitation tellement mal conçus qu’il faut des bêtes de course toutes neuves, très chères, pour les faire tourner.
La semaine dernière sur une simple clè USB j’ai testé deux versions d’Android pour PC.
C’est gratuit. L’installation demande moins d’une demie heure tout compris.
Pas besoin d’antivirus. C’est un sous-produit Linux. Il n’existe quasiment pas de faille.
Je me suis connecté avec le fil RJ45 à la box internet. Les tout derniers systèmes d’exploitation gèrent encore cette vieille connexion.
J’ai joué à Clash of Clan sur le super vieux pc de la chambre, de 2001, qui normalement ne me sert quasiment qu’à taper et du texte et qui rame quand une simple animation flash est lancée.
C’est hallucinant.
Du moins, du super méga moins.
Très peu de ressources sont nécessaires pour faire fonctionner les nouveaux systèmes d’exploitation. Pas d’antivirus, rien.
Donc imaginez un ordinateur moyen de gamme de maintenant. C’est à dire facilement au moins 400 fois plus puissant que le vieux machin sans ondes dont je me sers toujours dans ma chambre.
En fait, il ne se périmera plus.
Si vous n’utilisez pas Windows mais un système libre comme un Linux ou Android, ou une autre merveille qui n’existe pas encore mais qui pourrait équiper des dizaines de millions d’appareils dans trois ans, comme ça s’est déjà produit.
Le système d’exploitation pourra être remplacé quand il sera dépassé, mais le matériel restera assez puissant très durablement.
Maintenant avec les nouveaux logiciels, sans accident de transport, sans maladresse, on peut être dans l’idée d’un ordinateur portable dont les pièces seront toujours très performantes dans 5 ans.
J’ai connu l’époque pas si lointaine où un ordinateur acheté neuf en grande surface, sous windows XP, était totalement incapable de passer à windows Vista moins de 6 mois après. Trois ans après la sortie de Vista il n’existait toujours pas de pilotes pour faire fonctionner les pièces de cet ordinateur (carte graphique, carte wifi, haut parleur…).
Maintenant n’importe quel Linux s’installe sur quasiment n’importe quoi et tout marche quasiment toujours dès le premier démarrage.
Maintenant on peut vraiment être dans l’idée de vendre des ordinateurs portables qui seront toujours aussi bons dans 5 ans.
Tenez, par exemple Linux Mint, un autre système d’exploitation qui devient de plus en plus populaire.
C’est une version améliorée de la célèbre Ubuntu. Tous les logiciels indispensables sont déjà intégrés dès le démarrage. Par exemple, pas besoin de manipulations supplémentaires pour ajouter tous les codecs audios et vidéos pour lire des dvd, ou d’autres formats propriétaires, non-libres. Tout est compris dès le premier démarrage.
Si vous voulez tester chez vous, une installation sur le disque dur n’est pas nécessaire. Ca marche sans installation juste à partir d’un DVD. On peut aussi avoir une installation complète, avec toutes les mises à jour et toutes les personnalisations, en installant le système d’exploitation sur une clé usb.
La version avec l’environnement graphique xfce est très agréable, claire, fonctionnelle. Il y a un menu toujours accessible sur un bord, comme le menu démarrer des anciens windows, mais tout est mieux classé, tout est plus clair et très intuitif.
L’environnement xfce a aussi l’avantage d’être plus léger que les autres. Il permet de donner un énorme coup de jeune à de vieux ordinateurs poussifs.
C’est un Linux donc le système d’exploitation est gratuit, comme Android.
Comme Android, les Linux ont des centaines de milliers de logiciels gratuits.
On peut même y installer des logiciels prévus seulement pour windows.
C’est un environnement qui permet de faire tout ce que les ordinateurs font de mieux et bien plus encore.
Par exemple vous pouvez en tapant manuellement deux lignes de codes, changer jusqu’aux traces d’identification de vos matériels réseaux. Il faut une usine à gaz sous windows. C’est impossible sur tous les autres appareils, smartphones, tablettes, Android…
Un Linux fait ça naturellement.
C’est à dire que c’est éventuellement aussi un outil de niche pour des dizaines de milliers de personnes, grâce à cette fonction.
Je vous ai dit que la chose la plus constante est le changement. Le changement crée constamment des nouvelles niches.
Le changement peut être pour plein de raisons différentes en plus des progrès technologiques. Par exemple des nouvelles lois.
Regardez l’espionnage généralisé mis en place par les socialistes qui font venir des millions de « migrants » (95% d’hommes jeunes habitués à la guerre et qui haïssent l’occident).
Si on dit purement est simplement que c’est une invasion, un acte de guerre, on peut être poursuivi pour racisme, se faire casser sa porte en pleine nuit grâce à l’état d’urgence, être menotté, se faire confisquer tout son matériel informatique.
Sur les plus de 3000 perquisitions depuis l’état d’urgence, seulement une a donné une procédure pour terrorisme. Une grande partie du reste visait les patriotes.
Sur internet maintenant on est tous écouté. On ne peut plus avoir de secret. Même des secrets industriels. Les socialistes ont fait en sorte que les pires services des américains, les moins respectueux du monde, les plus nuisibles de la planète, aient accès en clair à tout ce qui circule sur internet. Messagerie, dossiers de travail, brevets, plannings, conversations privées ou intimes…
Tout est volé sous prétexte de lutte contre le terrorisme (organisé par la dictature UMPS justement pour pouvoir tout voler soi-disant « légalement »).
Chaque connexion à internet laisse une trace unique qui est l’identifiant de connexion que l’on avait. C’est seulement quelques chiffres. Comme une empreinte digitale de la connexion utilisée. Plusieurs personnes peuvent utiliser en même temps la même adresse IP, en partageant une box internet ou un réseaux wifi public par exemple.
Après, l’appareil qui permet la connexion à internet (box, routeur, FAI…) enregistre d’autres traces comme le numéro unique au monde de l’appareil qui s’est connecté. C’est comme un ADN ou une empreinte digitale normalement infalsifiable de votre clé wifi, votre antenne bluetooth, le numéro IMEI d’un téléphone portable…
Mais si vous avez un système d’exploitation Linux il vous suffit de taper deux lignes de code pour changer l’adresse mac.
Si vous le faites à partir d’un wifi non sécurisé, celui d’un mac do par exemple, non seulement ce ne sera pas votre adresse IP qui sera tracée mais celle du mc do.
L’adresse mac changée ne correspondra pas à la votre. Aucune des traces laissées ne remonte à vous.
Et si vous utilisez un dvd Linux en version Live (sans installation), tout ce que vous faites est uniquement chargé en mémoire vive sans laisser la moindre trace sur votre ordinateur. Quand vous l’éteignez, quand le courant n’alimente plus la mémoire vivre, elle est vidée, effacée définitivement. Votre ordinateur portable n’aura enregistré aucune trace des choses faites pendant qu’il était allumé.
L’intermédiaire (box, routeur…) a enregistré que ce n’était pas vous.
Tous les intermédiaires successifs sur tout le réseau internet ont enregistré que c’était le mc do.
Voilà.
Etre gouverné par des cons et des incompétents complets ça donne ça. Malgré les systèmes d’espionnages de plus en plus étouffants et généralisés, la transformation du quotidien de 65 millions de français en enfer technologique, des logiciels de sécurité de plus en plus monstrueux, des espions dans tous les smartphones, dans tous les ordinateurs sous windows, il est possible de passer totalement au travers avec toujours les mêmes techniques qu’il y a dix ans, qui s’apprennent en 5 minutes, avec un CD de Linux téléchargé gratuitement.
Je ne dis pas ça pour ceux qui voudraient préparer sans traces des choses illégales. Enfin, vous faites ce que vous voulez…
On en est arrivé à un niveau de dictature, de corruption, de haute trahison, de complicité très active de toute la classe politique, que simplement diffuser légalement en clair la liste des 153 députés ayant voté contre la fermeture des mosquées salafistes permettant le terrorisme sur notre sol, fait que « la police » peut venir casser la porte en pleine nuit des patriotes identifiables pour voler tout leur matériel informatique et téléphonique, puisque ces « députés » ont voté des lois pour que les fonctionnaires couvrent leurs crimes et les aident à nous tuer.
Quand il n’y a plus de liberté, ni de justice, finalement n’importe qui peut devenir un client intéressé par une niche d’appareils permettant de publier des vérités sans être tracé par les systèmes de la dictature.
Un changement (progrès, situation, nouvelles lois…) ==> une ou plusieurs niches.
C’est la constante.
Des fois il suffit juste d’un argument pour créer l’intérêt. Des intérêts différents, sur un même produit.
Vous ne voulez pas que windows 10 enregistre de 5 manières différentes quelles vidéos vous préférez sur xhamster ou chez xvideos, ou tout simplement qu’il copie automatiquement tous vos mots de passe à deux endroits de l’autre côté du monde, alors le plus simple est de ne pas avoir de windows.
Ni d’Android.
Peut être un des meilleurs Linux comme un Linux Mint Xfce.
65 000 000 de français espionnés « légalement ». Certains pourraient payer avec plaisir pour avoir clé en main un ordinateur qui les protège des abus.
Des niches, des niches partout.
Vous connaissez les filtres antiparasites électromagnétique en ferrite ?
Il y en a de toutes les tailles, pour tous les appareils, pour tous les usages.
Il faudrait que je teste sur la souris optique qui me chauffe la main si en enroulant le câble dans un de ces petits blocs je sens encore une gêne.
Ca réduit les mauvaises ondes portées par les fils électriques comme s’ils étaient des antennes.
Puisque les nouveaux compteurs électriques Linkys sont des générateurs ultra-nocifs de CPL, le commerce des ferrites antiparasites pour entourer les lignes électriques pourrait connaitre un gigantesque boum.
Même si vous êtes électro-hypersensible et que vous réussissez à éviter l’installation de ce compteur chez vous, les ondes CPL de ceux des voisins sont en partie transportées dans presque tout votre réseau électrique et les appareils branchés de votre domicile.
Changement (technique, législation, progrès…) ==> niches.
Un humain sur deux bientôt malade des ondes.
Bientôt 3 500 000 000 de clients potentiels à l’international.
Des niches, des niches, des niches…
A chaque changement de langue une nouvelle niche.
Certaines niches n’ont même pas de barrière de la langue.
Si vous voulez fabriquer des panneaux à visser avec un logo interdisant les téléphones mobiles, c’est pour bientôt 3,5 milliards de malades, et déjà 7 milliards d’humains qui n’ont pas forcément envie d’être dérangés par des portables, ou pour des règles de sécurité : risque de provoquer une étincelle près des pompes à essence. Silence dans les hôpitaux, les bibliothèques…
Niches, niches, niches…
Pour l’auto-financement vu l’état des banques et de l’économie d’une manière générale, il vaut mieux bannir le crédit.
Pas d’emprunt, pas de banques, pas de taux, de mensualités à rembourser même pendant l’effondrement.
Des dizaines de milliers d’emprunteurs espagnols et portugais ont perdu les maisons et appartements qu’ils avaient fait construire avant la crise.
Les banques ont tout saisi.
Donc, pas de crédit quand ça va mal.
S’il n’est pas possible de s’auto-financer soi-même, il existe de plus en plus de sites internet d’économie collaborative comme kisskissbankbank ou Kickstarter, toujours plus nombreux, à faire ce que ces escrocs de banquiers en faillite à cause de leurs escroqueries, ne font plus : prêter à des gens qui en ont besoin.
Les banquiers « prêtent » (louent très cher) un parapluie à ceux qui n’en ont pas besoin, quand il fait beau, et le reprennent quand il pleut, avec tout ce qu’ils peuvent légalement emporter.
… donc dans ces sites, des particuliers jouent aux investisseurs. Ils prêtent leurs fonds propres à des entreprises prometteuses, et prennent des intérêts, comme les banquiers.
… sauf que les banquiers ne prêtent plus. Donc ces sites se substituent très souvent aux banques.
Pour le moment mon idée de lancement passe par un auto-répondeur.
Un auto-répondeur et simplement un logiciel qui envoie des emails pré-programmés en fonctions des situations : inscription, désinscription, demande de mot de passe oublié par exemple.
Il en existe des gratuits mais il semblerait qu’il faille dès le départ investir dans un service payant hébergé sur le web (comme aweber par exemple) pour être parfaitement tranquille.
Ces entreprises « achètent » tous les intermédiaires du réseau internet pour que les emails venant de leurs machines ne soient jamais reconnus comme des emails indésirables, même s’ils en envoient par millions.
Sans ce racket vous risqueriez de vous retrouver du jour au lendemain avec toutes vos listes de contacts, abonnés, clients, fournisseurs… bloquées, d’un coup. Pof ! vos emails qui passaient avant, tous effacés.
Donc, un service payant hébergé chez un très gros est une bonne sécurité anti-désastre pour la suite.
L’idée, pour mon projet de fabrication d’ordinateurs portables entièrement équipés pour personnes sévèrement électro-hyper-sensibles, avec tous les accessoires blindés et isolés, une coque démontable pour rendre toutes les pièces remplaçables et évolutives, est de proposer une pré-inscription.
Quelqu’un qui aimerait avoir un de ces ordinateurs s’inscrit. Il reçoit périodiquement des emails l’informant de l’évolution des précommandes, des modifications techniques par rapport au projet initial, des ajustements de prix en fonction des fournisseurs…
En fonction de la quantité, le coût de production n’est pas le même.
400 euros me semble juste, pour un produit aussi spécialisé.
Il y aura tout dès le départ, pas besoin d’investir par la suite dans des appareils chers ou peu pratiques.
S’il faut 3000 exemplaires pour arriver à expédier à chacun un ordinateur à ce prix, alors on attend jusqu’à ce qu’on soit 4000.
Je vous ai parlé plus haut des annulations de plus en plus fréquentes.
A 4000 toute la liste reçoit l’email annonçant qu’on est assez nombreux pour l’achat groupé. Si 3000 achètent, ça nous fait tant, si on est 3500, le prix descend à tant, etc…
Quand l’auto-répondeur reçoit le nombre suffisant de confirmations d’achat, on lance la fabrication.
Comme ça il n’y a pas d’argent à sortir avant. La seule charge est l’auto-répondeur.
Donc la première série ne sera fabriquée que lorsque elle sera entièrement pré-vendue.
Pour l’ordre d’idée de valeur, 3000 exemplaires vendus à 400 euros, c’est 1 200 000 euros.
C’est à dire qu’il n’y a pas eu besoin d’enrichir un banquier et d’alourdir les coûts à cause de ses intérêts sur une grosse somme (impossible à emprunter de toute façon actuellement dans une banque), pour lancer la première série.
Après, les recettes autofinancent les prochains achats groupés. Et tous les frais, comme le service après vente des appareils défectueux, les premers salaires…
S’il y a quelques centaines d’annulations après lancement de la commande, ce n’est pas si terrible. Si les sous-traitants sont payés 30 jours après livraison, ça laisse très largement le temps de trouver de nouveaux acheteurs.
Je vous rappelle l’idée que je fais ce qu’il faut avec un article comme celui-là, long et plein de mots clés dans le texte et les images, pour être en première position naturellement et en permanence, dans les résultats d’affichages des moteurs de recherches.
Pas besoin d’investir un seul centime dans une campagne publicitaire de lancement de produit chez une régie d’affichage.
J’affiche moi-même.
Sur des pages très spécialisés presque seulement à des visiteurs venus spécifiquement précisément pour ce sujet, sur les mêmes mots clés de la page.
Donc « matériel informatique anti-ondes pour électro-sensible ».
Les gens touchés par un sujet intime ont le clic facile sur les icônes de publication sur les réseaux sociaux.
Un malade peut diffuser dans un groupe Facebook de 4500 personnes, malades, familles de malades, soignants, journalistes… un lien vers ce qu’il aime.
Une grande partie va continuer à repartager, en attirant un trafic hautement qualifié.
Et leurs liens resteront visibles publiquement pendant des années.
Quand je vous dis que maintenant la base c’est d’avoir quelques grosses pages avec les mots clés qui vous intéressent, de préférence dans une niche, pour ne pas être noyé par la concurrence, vous voyez tout ce que ça permet.
Voilà.
C’était très long mais ça n’est pas vraiment compliqué.
Prenez toutes les idées qui pourraient vous servir dans les domaines où vous êtes bons.
Alexandre
Pas de copyright, servez-vous. Prenez juste une partie ou la totalité de l’article pour tous les usages que vous voulez.
Maintenant vous savez comment ça marche. Non seulement vous ne me privez de rien mais en copiant c’est plutôt comme si vous apportiez de l’eau et de l’engrais sur les graines que j’ai semées pour plus tard. Donc servez-vous.