« Bonsaï » traduit littéralement signifie simplement « planter dans un pot ». À l’origine dans la nature, une graine aurait pu tomber dans une « poche » dans une crevasse de pierre, de la matière organique est devenue de la terre et un arbre a pu pousser. Peut-être que Bonsai a commencé de cette façon.
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Amusez-vous avec le bonsaï
Les Japonais obtiennent le plus grand crédit pour le développement de Bonsai, cependant, l’histoire réelle est beaucoup plus internationale et contradictoire. Une plante n’a qu’une exigence d’être ligneuse, pour être considérée comme un sujet pour le bonsaï.
La taille des feuilles est importante. La taille des feuilles peut être réduite par une taille appropriée, mais seulement jusqu’à un certain point. L’« échelle » d’origine de la feuille ne doit pas être trop grande.
Pour juger un bon bonsaï, l’œil monte dans l’arbre de manière fluide et sans distraction, allant du fond du pot aux racines, au tronc et du tronc à la canopée.
L’astuce consiste à rendre le bonsaï aussi vieux et mature que possible. Le « mouvement » sculptural du tronc est vital. Le tronc est le point de « début » le plus important du bonsaï.
Le bonsaï reprend le caractère d’un véritable arbre et capture l’esprit de la nature, que ce soit à flanc de montagne, au bord de la mer ou ailleurs. Le bonsaï est plus qu’un simple petit arbre ; il crée un environnement entier.


Le type de sol, au mieux, doit être à drainage très rapide, cailloux sans matière organique. (Un mélange organique pourrait être créé, mais il doit être très rapide à égoutter).
Plus le sol draine rapidement, plus les racines fibreuses sont créées (et le bonsaï devrait avoir toutes les racines fibreuses en raison de leur efficacité à absorber les nutriments).
Le bonsaï subit des changements saisonniers, tout comme les feuilles, les bourgeons, les fruits et les couleurs des arbres dans la nature.
C’est une idée fausse que le bonsaï est une plante qui est « torturée ». Ce n’est pas du tout vrai. Le contraire est un fait, où la plante est très naturelle et ses systèmes extrêmement efficaces.
Trop d’attention est généralement la cause de la mort d’un bonsaï. N’arrosez qu’en cas de besoin, c’est l’astuce. Pas sec mais pas trop humide (uniquement sur le côté sec de l’humide).
L’humidité peut être vérifiée avec un morceau de baguette inséré dans le sol, un peu comme une jauge d’huile. Plus il y a de lumière, mieux c’est.
Le bonsaï a un devant, un dos et deux côtés. Assurez-vous que le « front » est déterminé avant le rempotage.


La masse racinaire du bonsaï doit être ancrée au fond du pot avec du fil pour maintenir l’arbre stable. La masse de racines fibreuses dans un sol à drainage rapide est une machine « semblable à une éponge » pour que les racines aient tout ce dont elles ont besoin pour absorber efficacement les nutriments. S’il y a beaucoup de racines, il y aura beaucoup de feuilles.
En 40 à 50 ans, un bonsaï se développe comme un « grand » arbre dans la nature. La couronne s’arrondit, les branches ont tendance à s’affaisser et le tronc s’épaissit.
Arrosez toujours par le haut. Ne pas « tremper » le pot dans un évier rempli d’eau. L’eau laisse aussi pour laver la poussière et les insectes. Les maisons sont sur le côté sec. Une brumisation quotidienne est acceptable (ou placez le pot sur un plateau humide de cailloux humides).
L’engrais liquide (équilibré) est le meilleur pour le bonsaï. N’utilisez pas de bâtons, de balles, etc. Le thé de compost ne doit pas être utilisé (il n’est pas bon d’avoir plus de bactéries microscopiques qui se nourrissent du sol).
Le bonsaï doit être accentué avec une « forme humaine, semblable à un ballet » avec du feuillage à divers endroits. Éliminez les branches verticales et descendant directement.
Gardez les branches horizontales ou légèrement vers le bas. Beaucoup de « clip and grow », « clip and grow », à plusieurs reprises pour un entraînement approprié avec beaucoup de taille directionnelle. Coupez les branches horizontales en feuilles vertes et saines, en enlevant toujours les nouvelles qui poussent directement vers le haut ou vers le bas. Une fois qu’une branche a atteint (5) nouvelles feuilles, coupez-la en (2).
Le « bonsaï instantané » n’existe pas. Toujours laisser pousser, réduire, laisser pousser, réduire.
Lorsque vous coupez des branches, coupez au ras du tronc. Utilisez des sécateurs de branches spéciaux conçus pour le bonsaï. C’est le contraire de la formation Horticole sur la taille des branches sur les grands arbres. L’arbre va « ralentir » en hiver avec peu de taille nécessaire car (5) les feuilles ne se développeront pas si vite.
« Le bonsaï a un début, mais pas de fin. Un bourgeon aujourd’hui devient une branche demain. Plus on le poursuit loin, plus il s’éloigne » (Chase Rosade).
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